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Pensées

Ces pensées, exprimées par différents serviteurs de Dieu, sont destinées à l'encouragement des lecteurs chrétiens.

Pensées (rattachées à aucun sujet particulier)

Dieu s'inquiète non de l'importance des dons de l'homme, mais de l'usage que l'on en fait.

Lorsque l'homme est arrivé à la fin de ses ressources, c'est une opportunité pour celles de Dieu.

Dieu n'a pas transformé les ténèbres où nous étions pour les rendre lumière. Il nous a transportés d'un royaume à l'autre.

« Vous avez d'ardents désirs », écrit l'apôtre Jacques, en faisant allusion aux convoitises de nos coeurs. L'envie est à l'âme ce que la rouille est au fer ; elle ronge.

Ce n'est pas seulement le regret du passé qui nous gâte le présent, c'est surtout la crainte de l'avenir. Ayons confiance en Dieu !

Le monde ne peut remplir le coeur mais Christ le peut.

Sans la force du Seigneur, on ne peut avancer. Il faut très peu de chose pour trébucher.

L'état de notre âme peut se mesurer à l'effet que produit sur nous le nom de Jésus.

Dieu n'abaisse jamais le niveau de sa sainteté. La Parole ne parle jamais de tolérance.

La situation désespérée où nous pouvons nous trouver est une belle occasion pour le déploiement de la puissance et de la sagesse divines. La vie divine en elle-même n'a pas de puissance : elle vient du Saint Esprit.

Les bonnes intentions ne suffisent pas. Ne négligeons pas les nombreuses occasions qui nous sont offertes de montrer autour de nous un peu du grand amour manifesté si merveilleusement par le Seigneur durant sa vie sur la terre.

Dieu n'est pas le serviteur de notre volonté. Il faut connaître la sienne pour obtenir ce que nous demandons ; ce n'est possible que si l'on vit très près du Seigneur, nourris de sa Parole. Alors nous veillons au jugement de nous-mêmes, examinant nos désirs dans sa lumière. Nos motifs sont épurés et nous pouvons obtenir ce que nous demandons. Nous n'avons recherché que ce qui était conforme à la volonté de Dieu.

Attribuer la création à une force indéfinie, plutôt qu'au Créateur, donne à l'athée l'illusion d'échapper à sa responsabilité, à ses devoirs, aux comptes qu'il doit rendre à Celui qui lui a donné la vie.

Ne désirons pas être des chrétiens dont on parle ; mais des chrétiens que le Seigneur approuve.

Il n'y a point de crainte quand nous voyons Christ dans la gloire d'en-haut. Chaque rayon de cette gloire nous dit qu'il n'y a plus de condamnation : Christ est là-haut parce que le péché est ôté.

En Christ nous sommes dans un état définitif. Tout ce que Dieu a fait depuis la création du monde jusqu'à Christ était provisoire.

Non seulement le chrétien infidèle se prive de récompenses pour le jour de Christ ; mais il prive le Seigneur de la joie qu'Il aurait de le récompenser.

Faire de grands arrangements en vue de poursuivre une oeuvre chrétienne, c'est souvent méconnaître le bonheur qui découle de la bénédiction de ne rien espérer des fils des hommes (Mich. 5 : 7). Je n'attends rien de l'homme si j'ai foi en Dieu !

Il est impossible qu'un homme rempli de lui-même soit un vase où le Saint Esprit puisse habiter : il faut qu'il soit vidé pour que l'Esprit puisse s'en servir.

Les fleuves d'eau vive coulent seulement de celui qui, ayant d'abord eu soif pour lui-même, est venu à Christ pour boire (Jean 7 : 37-38).

Quand l'excellence des choses du ciel remplit le coeur, on n'est plus préoccupé par le « moi ».

Toute parure qui a pour but d'orner le vieil homme, a pour effet de cacher Christ.