Pensées
Ces pensées, exprimées par différents serviteurs de Dieu, sont destinées à l'encouragement des lecteurs chrétiens.
Amour
Si nous croyons vraiment en l'amour et la toute-puissance de Dieu, nous ne devons pas avoir peur de ne pas recevoir ce qu'il nous a destiné.
C'est la nature même de l'amour de se donner et de s'oublier lui-même pour le bien des autres. Il prend leurs besoins et les fait siens. Il trouve une vraie joie à vivre et mourir pour les autres comme Christ l'a fait.
C'est l'amour pour Jésus qui nous pousse au travail : je ne connais pas d'autre motif. Tout vrai service doit résulter de la connaissance de Lui-même.
Vous savez depuis longtemps que vous êtes aimés ; mais l'heure de l'affliction viendra vous apprendre combien Dieu vous aime.
L'amour du monde produit du trouble dans la conscience. Il cherche à la mettre sous le joug de la loi, et la détourne par ce moyen de la croix de Christ, qui est la puissance de Dieu pour purifier la conscience. A la croix resplendit un amour si pur, si désintéressé, si profond, que l'amour du monde n'a plus d'entrée dans le coeur devant cet amour. Le but de Dieu à la croix est de purifier la conscience. La croix donne au pécheur qui s'y confie en elle la victoire sur le monde.
Nous devons avoir le coeur assez large pour embrasser dans nos affections tous les enfants de Dieu ; si nous ne le faisons pas, nous perdons en esprit la bénédiction même qui se trouve dans le chemin étroit. L'apôtre dit : « l'amour... que tu as... pour tous les saints » (Phm. 5). Nous ne pouvons proprement pas réaliser l'amour de Christ dans la communion avec Lui, sans y englober tous ceux qu'il aime comme siens.
L'homme justifié est assuré que rien ne pourra le séparer de l'amour de son Sauveur. Lorsqu'il comparaîtra devant le tribunal de Christ, il pourra éventuellement perdre des récompenses qu'une plus grande fidélité lui aurait values (1 Cor. 3 : 15), mais il ne sera jamais dépouillé de son statut d'homme justifié qui lui est acquis pour l'éternité.
Le Saint Esprit nous fait sentir l'amour du Père. Il nous montre, non pas que nous sommes petits, mais combien Dieu est grand.
La lance du soldat qui perça le côté de Jésus ne fit que manifester ce qui parlait d'amour et de miséricorde : le sang qui expie et l'eau qui purifie.
Nous aimerons le Seigneur dans la mesure où nous jouirons de son amour.
Il est impossible de trouver une limite à la grâce, à l'amour et aux compassions du Seigneur.
Si nous comprenions comment le Seigneur a aimé, nous saurions comment nous devons l'aimer.
La grande affaire est d'être près de Christ et d'y demeurer constamment car c'est là que l'âme est gardée en paix dans le sentiment profond de son amour.