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Pensées

Ces pensées, exprimées par différents serviteurs de Dieu, sont destinées à l'encouragement des lecteurs chrétiens.

Servir le Seigneur

Si nous travaillons plus que nous ne prions, alors la présence et la puissance de Dieu ne se manifeste pas dans notre travail comme nous le souhaiterions.

L'œuvre de Dieu, faite à la manière de Dieu, ne manquera jamais des provisions de Dieu.

La vraie grandeur est de servir sans que l'on en parle, et de travailler sans que l'on vous voit.

La vie intérieure avec Dieu est le seul et unique moyen de vivre extérieurement pour Lui. Toute activité extérieure, qui n'est pas le fruit de la vie intérieure, tend à nous faire agir sans Christ et à Le remplacer par le moi. J'ai peur d’une grande activité sans grande communion.

Oh que Dieu donne des ouvriers selon son coeur, qui puissent présenter Christ aux âmes !
Un vrai ouvrier, un « homme de Dieu », est un grand trésor, le plus grand qui soit au monde.

De petites choses peuvent avoir un grand résultat si vous les faites pour plaire à Dieu.

Tout ce que l'on fait pour le Seigneur mérite d'être fait avec soin.

La grandeur du parfait serviteur dans son abaissement, dans l'évangile de Marc, fait redouter d'en trahir l'exemple et l'enseignement.

On a si vite la tendance à se croire nécessaire, ou même utile, alors qu'un seul est nécessaire, Celui qui est toujours présent en réponse à la foi pour la bénédiction de ses chères assemblées.

Dieu agit providentiellement, mais les hommes ne restent pas inactifs pour autant. Si on commandait à un homme d’ensemencer un champ, pourrait-il excuser sa paresse en disant qu’il est inutile de semer aussi longtemps que Dieu ne fait pas croître ?

Qu'est-ce que le service ? C'est avoir part au ministère d'amour de Christ.

Il faut que la grâce de Dieu opère pour que le serviteur apprenne à se cacher derrière son Maître.

Un service ne s'exerce pas sur un terrain d'indépendance, chacun faisant ce qui est bon à ses yeux. Il faut que la communion dans le service soit réalisée.

La vraie « grandeur » pour un chrétien c'est de servir sans être vu et de travailler sans se faire remarquer.

Puisque nous devons vivre les uns avec les autres, souvenons-nous qu'il faut apprendre à vivre les uns pour les autres.

Dieu ne s'inquiète pas de l'importance des dons d'un homme, - il les a reçu de Sa part - mais de l'usage que cet homme en fait.

Un gain réel vient dans ce qui est entré du ciel en toi mais surtout dans ce que tu as fait pour le ciel.

Rendre un service ou accorder un bienfait, c'est écrire des lettres sans espérer une réponse (Luc 6 : 35).

« Venez à l'écart vous-mêmes dans un lieu désert, et reposez-vous un peu » (Marc 6 : 31). Un temps de retraite est une très bonne chose dans notre service, il nous place devant Dieu, au lieu que nous ayons notre oeuvre devant les yeux ; et, par ce moyen, nous sentons aussi que cette dernière est dans Ses mains et non dans les nôtres.

Tout service fructueux découle de la connaissance de Christ et de l'attachement à sa Personne. Elle a un plus grand prix pour le coeur que ce que l'on fait pour lui.

La vraie grandeur chez le chrétien c'est de servir sans être remarqué et de travailler sans être vu.

Le service doit toujours être en rapport avec la foi et la communion réalisés avec Dieu. Saül lui-même a pu prophétiser quand il se trouvait au milieu des prophètes ; mais David était habituellement prophète, dans la caverne et ailleurs.

La grande chose pour chacun, c'est d'être trouvé occupant la place assignée par le Seigneur et faisant son oeuvre avec détermination ; plus cela se fera humblement, tranquillement et simplement, mieux cela vaudra.

Si Dieu honore un homme en lui confiant un grand travail à faire, qu'il s'en réjouisse et ne murmure pas ; car s'il le fait, cet honneur pourra lui être promptement enlevé. Les instruments ne font pas défaut à Dieu.

Puissions-nous avoir un coeur prêt à servir le Seigneur, un coeur patient, humble, vidé de lui-même, dévoué ! Un coeur prêt à servir en compagnie d'autres et prêt aussi à servir seul. Un coeur tellement rempli d'amour pour Christ qu'il trouve sa joie, sa plus grande joie, à Le servir, quels que soient la sphère et le caractère du service.

Tout service, quel qu'il soit, nous devient agréable parce qu'ayant livré notre volonté au Seigneur, Il produit en nous le vouloir et le faire selon son bon plaisir ; alors nous voulons ce que Dieu veut.

Qu'est-ce qu'une bonne oeuvre ? C'est une oeuvre désintéressée. La tentation est grande de faire du bien pour être admiré, honoré, pour s'attacher des personnes qui nous seront utiles en retour.

Paul vivait dans la lumière du jour à venir, cela l'aidait à prendre la juste place vis-à-vis du monde, à porter l'opprobre de la croix de Christ et à endurer les peines et les afflictions, ainsi que les tribulations d'un témoignage et d'un service fidèles pour son Seigneur.

Quand le Seigneur veut bien se servir de quelqu'un, l'instrument qu'Il choisit a peu d'importance.

Nous ne pouvons pas rester attachés aux choses d'en bas si nous combattons pour le Seigneur.

Le Seigneur nous engage à laisser tomber des épis pour ceux qui sont autour de nous.

L'activité dont nous avons le plus pressant besoin est celle qui se propose de présenter sans cesse Christ aux âmes. Ainsi il y aura du dévouement pour Lui. La mondanité sera absente. Notre coeur n'aura plus qu'un seul but : montrer que Christ est désormais tout pour nous. Notre foyer, nos vêtements, toute notre manière d'être en seront la démonstration.

Pour être en mesure de combattre pour le Seigneur, il ne faut pas nous attacher aux choses d'en bas.

Que le Seigneur nous accorde de nous confier en Lui avec plus de simplicité et de travailler pour Lui avec plus de zèle ! Il faut se confier avec l'esprit d'un enfant et travailler avec l'énergie d'un homme.

Lorsque notre journée de labeur sera terminée, alors commencera notre éternité d'adoration.

Marthe a compris que la vraie grandeur consiste à servir inconnue et à travailler sans être vue.
Tâche pesante, mais l'une des manières les plus élevées de témoigner de son amour.

Le serviteur n'est pas plus grand que son maître ; un chrétien fidèle ne sera pas moins méprisé dans son témoignage que celui du Seigneur ne l'a été.

Je ne regarde pas ce que j'ai fait mais ce qui me reste à faire. Ce que j'ai à faire c'est de montrer l'amour de Dieu.

Qui sait ? Aujourd'hui le coeur d'un pécheur orgueilleux sera peut-être atteint par l'évangile.

S'acquitter fidèlement du message que Dieu nous a confié est un rafraîchissement pour ceux qui le reçoivent, mais aussi une satisfaction pour le coeur de Celui qui nous a envoyé.