NOTES SUR L'EVANGILE DE JEAN (21)
CHAPITRE 21
1 – Jésus se manifeste à sept disciples : v. 1-14
1.1 Une pêche infructueuse (v. 1-3)
Le Seigneur Jésus avait dit à ses disciples d'aller en Galilée : là, ils le verraient (Matt. 28 : 10). C'est cette rencontre que nous rapporte ce dernier chapitre de l'évangile de Jean.
Les disciples ont bien obéi au Seigneur : ils se sont rendus en Galilée mais nous voyons qu'ils retournent à leur activité de pêcheur, alors que le Seigneur leur avait dit de se rendre là pour le voir. Ils avaient pourtant été témoins de sa mort et de sa résurrection, ils s'étaient réjouis de Le voir au milieu d'eux, mais maintenant ils reviennent à leurs occupations antérieures. Toutefois le Seigneur est fidèle. Il ne manque jamais à ses promesses, et il va venir lui-même à leur rencontre.
Pierre déclare : « Je m'en vais pêcher », et les autres suivent : « Nous allons aussi avec toi » (v. 3). Nous devons veiller à l'exemple que nous donnons parce que nous risquons d'entraîner nos frères, peut-être dans une mauvaise direction. La question est de savoir ce qui remplit notre coeur. Est-ce la personne du Seigneur, non seulement le dimanche, mais tous les jours de la semaine ?
Pour servir utilement le Seigneur, il faut que notre coeur soit rempli de lui. Jésus avait déclaré : « Séparés de moi, vous ne pouvez rien faire » (Jean 15 : 5). Toutes les bonnes oeuvres que nous pourrions accomplir, si ce n'est pas avec le Seigneur, sont sans valeur ! Nous en avons bien l'illustration ici. Les disciples ont travaillé toute la nuit et ils n'ont rien pris. Au début de Luc 5, Pierre et ses compagnons avaient vécu une scène semblable. Comme les disciples nous sommes lents à apprendre les leçons !
Lorsque Jésus parle, tout change, et le résultat dépasse toutes les espérances. Quel avantage y avait-il en effet à jeter le filet du côté droit plutôt que du côté gauche ? Simplement le Seigneur l'avait commandé ! En disant : « Jetez le filet du côté droit de la barque », le Seigneur donne un ordre. Mais il ajoute aussitôt : « et vous trouverez » (v. 6). C'est un encouragement direct. Quand le Seigneur ordonne quelque chose, il donne aussi des promesses certaines qui fortifient la foi. Ainsi lorsque le Seigneur dit : « Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés… », il ajoute immédiatement : « Je vous donnerai du repos » (Matt. 11 : 28).
1.2 Nouvelle apparition du Seigneur (v. 4-7)
C'est curieux. Les disciples ne semblent pas avoir tout de suite reconnu Jésus ; mais n'est-il pas vrai que lorsque les occupations de la terre remplissent nos coeurs, elles nous voilent le Seigneur Jésus. Jean qui se nomme à nouveau ici le disciple que Jésus aimait, le reconnaît le premier et dit : « C'est le Seigneur » (v. 7). Quel discernement spirituel nous donne le sentiment de l'amour du Seigneur pour nous !
Pierre, avec sa fougue habituelle, se jette à l'eau pour aller vers Jésus. Notons qu'il prend soin au préalable de se revêtir correctement avant d'aller vers le Seigneur.
En se jetant à la mer, Pierre laisse la barque et les poissons. Il ne calcule pas ; une seule personne l'attire : le Seigneur. Malheureusement, combien de fois nous hésitons à aller directement à Lui parce que trop de choses nous encombrent ou nous préoccupent !
Un autre point à souligner, c'est l'entraide fraternelle. Pierre a sauté à la mer pour aller vers le Seigneur tandis que les autres disciples ont ramené la barque au rivage en traînant derrière eux le filet de poissons. Puis Pierre va, à son tour, tirer le filet resté près du bateau pour apporter quelques poissons (v. 7-11).
1.3 Le Fils de Dieu ressuscité (v. 8-14)
Lorsque les disciples atteignent le rivage, ils voient que tout est déjà préparé. Le Seigneur n'avait pas besoin d'eux pour les nourrir, mais Il les invite à contribuer au repas avec quelques-uns des poissons qu'ils ont pris.
De même le Seigneur veut nous employer si nous sommes à son écoute. Il veut bien utiliser « le peu » que nous faisons pour Lui. C'est ainsi qu'Il s'est déjà servi des cinq pains et des deux poissons du petit garçon pour nourrir toute une foule. En 1 Corinthiens 3, il est parlé de celui qui sème, de celui qui plante, de celui qui arrose, mais il est dit que c'est Dieu qui donne l'accroissement. Quelle grâce Dieu nous fait ainsi de collaborer à son oeuvre ! Il prend soin même du filet qui ne se rompt pas malgré la grande quantité de poissons capturés. Ainsi rien n'est perdu. Lorsque nous écoutons et que nous obéissons, il y a du fruit produit pour Dieu et, dans sa grâce, Il les met à notre compte.
Dans l'évangile de Marc le Seigneur avait dit que les disciples seraient des pêcheurs d'hommes. Quand les disciples ont jeté le filet une première fois, ils n'ont rien pris. Mais ensuite, c'est le Seigneur qui a tout fait. C'est lui qui leur a dit de jeter le filet au côté droit de la nacelle et qui a permis cette pêche miraculeuse. Auparavant Jean, avec son frère, raccommodait les filets déchirés (Matt. 4 : 21), mais maintenant le filet n'est pas détérioré car le Seigneur est là.
Remarquons aussi que le Seigneur voit tout : rien ne lui échappe. Il sait quel est le nombre de poissons pêchés (cent cinquante trois gros poissons), il sait encore à quelle distance du rivage se trouvait la barque des disciples (deux cent coudées).
2 – La restauration de Pierre : v. 15-19a
2. 1 « M'aimes-tu ? » (v. 15-17)
Pierre avait revêtu en hâte sa robe pour aller vers le Seigneur. Le travail de la grâce dans son coeur avait déjà commencé après son reniement, mais il fallait aller plus loin : les choses devaient être jugées en profondeur.
Sans doute les braises du feu allumé par le Seigneur ont-elles rappelé à Pierre le feu de charbon auprès duquel il était allé se chauffer avec les huissiers (18 : 18). Là, par trois fois, il avait renié son maître. Maintenant, par trois fois, le Seigneur va sonder son coeur en lui posant la même question : « M'aimes-tu ? » (v. 15, 16, 17). Il est important qu'après une chute nos actes et nos pensées soient vraiment jugés jusqu'à la racine du mal, sinon celui-ci et l'amertume qui en est la conséquence bourgeonneront et produiront encore de plus mauvais fruits.
Pierre avait renié publiquement le Seigneur en disant qu'il ne le connaissait pas, et il fallait donc de même une restauration publique. Cependant, dans sa grâce, le Seigneur a commencé par nourrir son disciple, en partageant le repas avec lui. Ce n'est qu'après qu'ils eurent déjéuné que Jésus s'adresse à Pierre en l'appelant : « Simon, fils de Jonas… » (v. 15). Pierre va devoir répondre et confesser de sa bouche devant tous son amour si imparfait pour le Seigneur. C'est pourquoi le Seigneur demande d'abord à Pierre : « M'aimes-tu plus que ceux-ci ne m'aiment ? ». Cette question a dû sonder Pierre, lui qui s'était mis en avant par rapport aux autres disciples lorsqu'il avait déclaré : « Si tous étaient scandalisés à ton sujet, moi, je ne serai jamais scandalisé » (Matt. 26 : 33). Pierre se laisse toucher par la parole de Jésus. Il pourra ensuite devenir un témoin fidèle, suivre et servir son Seigneur de tout son coeur. Mais le Seigneur fait son oeuvre dans le coeur de son disciple. Pierre s'était un temps cru supérieur à ses frères, mais quand on lit ses épîtres, on voit quel changement s'est produit en lui. Pierre a appris dans l'humilité et la soumission. Il ne cherche pas à dominer, mais à être un modèle pour le troupeau de Dieu (1 Pier. 5 : 1-5). Il laisse là un exemple à suivre. Si nous avons appris à aimer le Seigneur, nous serons toujours tournés vers nos frères pour les servir humblement.
Dans cette conversation entre le Seigneur et Pierre, le terme « aimer » traduit deux verbes différents en Grec :
- « agapao » que le Seigneur emploie dans ses deux premières questions, évoque un amour très élevé, absolu, prêt au besoin à sacrifier sa vie. C'est le nom dérivé que nous trouvons ailleurs sous la plume de l'apôtre : « Personne n'a un amour plus grand que celui-ci : que quelqu'un laisse sa vie pour ses amis » (Jean 15 : 13). Ou encore : « Par ceci nous avons connu l'amour : c'est que lui a laissé sa vie pour nous... Celui qui... voit son frère dans le besoin et lui ferme son coeur, comment l'amour de Dieu demeure-t-il en lui ? » (1 Jean 3 : 16-17).
- « philéo » signifie plutôt « avoir de l'affection ». Pierre sent bien qu'il ne peut pas répondre en employant le même terme que le Seigneur. Il se sert dans chacune de ses réponses de ce verbe-là.
Le Seigneur va aussi employer le mot « philéo » dans sa troisième question. Il se met ainsi au niveau de Pierre car il sait bien que son disciple l'aime au plus profond de lui-même. Ces paroles provoquent chez Simon un sentiment de tristesse mais aussi le désir de s'en remettre entièrement au Seigneur : « Tu sais tout, tu sais que je t'aime » (v. 17). C'est bien le signe que le travail de la grâce s'est accompli en profondeur dans le coeur de Pierre. Voilà aussi ce qui devrait se passer en chacun de nous. Laissons-nous sonder par la parole du Seigneur et abandonnons-nous entièrement à lui.
Les trois réponses de Pierre sont l'occasion pour le Seigneur de lui confier à chaque fois un service particulier. D'abord : « Fais paître mes agneaux ». Puis il lui donne une responsabilité en rapport avec le troupeau : « Sois berger de mes brebis ». Enfin, il lui confie les brebis pour en prendre soin et les nourrir : « Fais paître mes brebis » (v. 16-17).
« Mon âme s'attache à toi pour te suivre, ta droite me soutient » (Ps. 63 : 8), dit David. Il faut s'attacher au Seigneur pour pouvoir le suivre. Alors le secours est assuré : « Comme un berger il paîtra son troupeau ; par son bras il rassemblera les agneaux et les portera dans son sein ; il conduira doucement celles qui allaitent » (Es. 40 : 11)
2. 2 Pierre glorifiera Dieu dans sa mort (v. 18-19a)
Le Seigneur montre à Pierre de quelle manière il le glorifiera par sa mort. Pierre avait dit qu'il était prêt à mourir pour le Seigneur : « Seigneur, avec toi, je suis prêt à aller et en prison et à la mort. » (Luc 22 : 33). A présent, c'est le Seigneur qui lui en parle. Pierre s'en souviendra quand il écrira dans sa seconde épître : « Je sais que le moment de déposer ma tente approche rapidement comme notre Seigneur Jésus Christ me l'a montré » (1 : 14).
Les versets de Jérémie 17 : 5, 9, 14, 16 montrent tout le travail de la grâce de Dieu qui s'est accomplit dans le coeur du prophète, comme dans le cas de Pierre. Jérémie s'était confié en lui-même et en avait récolté le fruit amer. Il avait appris que son coeur était trompeur, mais que le Seigneur le sondait. Il s'est laissé guérir par le Seigneur et alors quel beau résultat : « Je ne me suis pas hâté de cesser d'être pasteur en te suivant » (Jér. 17 : 16). Tel a été, des siècles plus tard, le service de Pierre une fois restauré, jusqu'à la fin de sa vie.
Ce travail que le Seigneur a accompli pour Pierre, il veut aussi le faire en chacun de nous. Pour connaître vraiment la grâce, il faut être brisé. Pierre l'a été et le Seigneur a pu se servir de lui. Que la grâce du Seigneur est merveilleuse, telle que nous pouvons la considérer dans cet évangile !
En Luc 7 : 47, la femme pécheresse a beaucoup aimé parce qu'elle avait conscience de ses nombreux péchés, et le Seigneur ajoute : « mais celui à qui il est peu pardonné, aime peu ».
« Rends-moi la joie de ton salut… » (Ps. 51 : 12). Lorsque le travail de la grâce s'accomplit, la communion avec le Seigneur ne tarde pas à être restaurée ; il ne faut pas dès lors revenir en arrière et se lamenter encore sur les péchés commis. Une fois que les choses sont réglées avec Dieu, elle le sont pour toujours. Cependant, cela ne veut pas dire que nous pouvons pécher afin que la grâce abonde : certainement pas ! Ce serait abuser de la grâce. Au contraire, nous faisons l'expérience de la grâce de Dieu, pour que nous ne péchions plus ! La pleine restauration de Pierre apparaît aussi lorsqu'il peut dire plus tard aux Juifs : « Vous, vous avez renié le Saint et le Juste… » (Act. 3 : 14). Pour ce qui le concerne, tout est réglé ; il est maintenant en pleine paix.
3 – Suivre Jésus : v. 19b-25
3. 1 « Suis-moi » (v. 19b-23)
Dès le début de l'évangile, nous avons vu des disciples suivre Jésus (1 : 37, 43). Au moment où le Seigneur a été condamné, tous l'ont abandonné ! Mais maintenant, c'est un Jésus ressuscité que Pierre est invité à suivre, et c'est par amour qu'il va le faire.
Pierre se tourne vers Jean et le voit marcher derrière eux. Pierre a détourné ses regards du Seigneur pour regarder Jean. N'est-ce pas ce qui nous arrive souvent ? Nous regardons facilement nos frères et la manière dont ils suivent le Seigneur ; ne regardons pas leurs défauts, mais gardons les yeux fixés sur Jésus.
Beaucoup de passages, dans les évangiles, montrent que c'est le Seigneur qui nous appelle à le suivre : Matt. 8 : 19 à 22 ; 9 : 9 ; 19 : 21. Comme Pierre, nous sommes bien obligés de nous rendre compte de notre incapacité à marcher sur les traces du Seigneur avec nos propres forces. Le Seigneur avait bien averti Pierre à ce sujet : « Là où je vais tu ne peux pas me suivre maintenant ; mais tu me suivras plus tard. Ce disciple lui dit : Seigneur, pourquoi ne puis-je pas te suivre maintenant ? Je laisserai ma vie pour toi ! » (13 : 36-37). Pour suivre le Seigneur il y a un prix à payer : se renoncer soi-même. « Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il prenne sa croix et me suive » (Marc 8 : 34). En même temps, il faut avoir un coeur préparé, engagé par amour pour le Seigneur.
A trois reprise, le Seigneur a poser à Pierre cette question solennelle : « M'aimes-tu ? » ; ensuite Il lui a demandé de renoncer à lui-même : « Un autre te ceindra et te conduira où tu ne veux pas » (v. 18). Et maintenant Il lui demande de Le suivre. C'est comme s'il lui disait : « M'aimes-tu assez pour le faire jusqu'au bout ? Es-tu prêt à t'abandonner entièrement pour me suivre là où je le veux ? ». Quel travail magnifique de la grâce s'est opéré dans le coeur de Pierre qui pourra dire dans sa première épître : « Christ a souffert pour vous, vous laissant un modèle, afin que vous suiviez ses traces » (2 : 21).
Le Seigneur doit répéter à son disciple de le suivre. La première fois le Seigneur lui dit : « Suis-moi », mais Pierre regarde vers Jean et se préoccupe de savoir ce qu'il lui arrivera. Le Seigneur doit lui redire : « Toi, suis-moi ». Il est remarquable que ce « suis-moi » lui est adressé seulement lorsque l'amour du Seigneur a rempli son coeur. Pierre a appris qu'il ne pouvait pas se fier à son propre amour mais qu'il pouvait se reposer sur celui du Seigneur. Alors, il peut le suivre. Il est impossible de suivre le Seigneur et de le servir si notre coeur n'est pas rempli de son amour. L'apôtre Paul peut dire en vérité : « L'amour du Christ nous étreint… il est mort pour tous afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-même, mais pour celui qui pour eux est mort et a été ressuscité » (2 Cor. 5 : 14).
Cependant chaque disciple garde encore son caractère, son tempérament. Pierre ne devient pas Jean, et Jean ne devient pas Pierre ! De même en Hébreux 11, parmi cette « grande nuée de témoins » de la foi, nous savons bien que chacun de ces hommes de foi était différent. Abraham n'était pas le même que Jacob, ni semblable à Moïse ou un autre, mais tous allaient vers le même but. Il est beau de voir comment le Seigneur instruit chacun des siens, comme il le fait ici avec Pierre en lui disant : « Que t'importe ? Toi, suis-moi » (v. 22). Oui, apprenons à écouter l'appel du Seigneur à le suivre en gardant nos regards fixés sur lui (Héb. 12 : 2).
Les disciples ont été appelés par le Seigneur à le suivre dès le début de son ministère, et ils l'ont suivi dans son chemin de souffrances et de rejet. Maintenant, à leur suite, le Seigneur nous invite à le suivre en nous montrant le but - son retour : « jusqu'à ce que je vienne » - et ce qui doit être précieux pour eux : la gloire de Dieu. On trouve la même chose dans l'histoire de David. Ceux qui s'étaient rassemblés autour de lui, ayant discerné l'Oint de l'Eternel, l'ont suivi d'abord dans le chemin où il était pourchassé par Saül, puis ils ont fait partie de ses hommes forts dans son royaume.
« Si je veux qu'il demeure jusqu'à ce que je vienne, que t'importe... » (v. 22). Cette volonté du Seigneur ressort aussi de la parabole de Matthieu 20 : 12 à 15 : « …mais je veux donner à celui-ci autant qu'à toi. Ne m'est-il pas permis de faire ce que je veux de ce qui m'appartient ? ». Le Seigneur a son propos pour chacun des siens, pour toute leur vie, jusqu'au bout. Apprenons à Lui faire confiance, et à tout laisser entre ses mains !
3. 2 Un témoignage « vrai » (v. 24-25)
Il semble que Jean soit le disciple qui soit resté en vie le plus longtemps. C'est lui qui a écrit le dernier livre de la Bible, dont le message clôt la Parole inspirée de Dieu. En même temps Jean rend témoignage de ce qu'il écrit. Il est un témoin oculaire et il écrit ce qu'il a vu et entendu.
Nous voyons le soin avec lequel Jean scelle ses écrits de son propre témoignage :
- « Celui qui l'a vu rend témoignage ; et son témoignage est véritable... afin que vous aussi vous croyiez » (19 : 35).
- « Tout cela a été écrit afin que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et qu'en croyant vous ayez la vie par son nom » (20 : 31).
- « Ce que nous avons entendu, ce que nous avons vu de nos yeux, ce que nous avons contemplé et que nos mains ont touché concernant la Parole de la vie… nous vous l'annonçons, afin que vous aussi vous ayez communion avec nous… » (1 Jean 1 : 1-3).
- « Jean...a rendu témoignage de la parole de Dieu et du témoignage de Jésus Christ, de tout ce qu'il a vu » (Apoc. 1 : 1-2).
Combien il est précieux de pouvoir s'appuyer sur des certitudes absolument vraies. Notre foi s'appuie sur ces choses qui sont écrites et qui sont sûres. Il n'y a rien à y ajouter ni rien à en retrancher : « Ces paroles sont certaines et véritables… » (Apoc. 22 : 6).