JOB – LA SOUFFRANCE DES JUSTES
La patience de Job – le premier coup
La patience de Job – le deuxième coup
Les trois amis
Les paroles d’Elihu
Dieu lui-même parle
Job change d’attitude
La « fin du Seigneur »
En conclusion
Résumé
Job a vécu vraisemblablement au temps des patriarches, il y a donc environ 4 000 ans. A cette époque déjà, une question toujours actuelle a été intensément débattue : Pourquoi ceux qui sont justes souffrent-ils ?
Le livre de Job ne traite pas ce sujet de façon systématique ; cependant, nous pouvons y voir de quelle façon Job se comporte dans la souffrance, et comment il est lui-même transformé à travers la souffrance. De cette manière, le but que Dieu veut atteindre chez les justes au travers des épreuves apparaît clairement.
La patience de Job – le premier coup
Comme nul autre, Job est irréprochable, droit, craignant Dieu et se retirant du mal. Dieu lui a donné sept fils et trois filles, et il est plus riche que tous ceux qui l’entourent. Il possède 7 000 brebis, 3 000 chameaux, 1 000 bœufs, 500 ânesses et un très grand nombre de serviteurs (1 : 1-3). Le Tout-Puissant a visiblement béni l’œuvre des mains de Job.
Dieu attire l’attention de Satan, lorsqu’il se présente devant son trône, sur la fidélité de son serviteur Job. Satan, incapable de reconnaître le bien, affirme que Job n’aime que les dons de Dieu, et pas le donateur lui-même ; il suppose que si Dieu étendait sa main en jugement sur tout ce que Job possède, celui-ci maudirait ouvertement Dieu et révélerait ainsi qu’il n’était qu’un pieux hypocrite. Dieu n’étend pas lui-même sa main contre Job, mais remet tout ce que Job possède entre les mains de Satan. Alors le malheur fond sur Job (1 : 6-19). D’un seul coup, cet homme perd :
- les bœufs et les ânesses ainsi que les serviteurs qui veillaient sur eux, frappés par ceux de Shéba ;
- les brebis et les jeunes hommes qui les gardaient, sous l’effet d’un orage dévastateur ;
- les chameaux et les serviteurs qui s’en occupaient, par l’attaque des Chaldéens ;
- ses dix enfants, qui fêtaient ensemble l’anniversaire du fil aîné (1 : 4), à cause d’une violente tempête venue du désert.
Satan a bien pris soin que les nouvelles de ces événements catastrophiques atteignent Job de façon quasi simultanée. Job va-t-il s’effondrer sous le poids de ces terribles nouvelles ? Non, Job « se jeta à terre et se prosterna. Et il dit … l’Eternel a donné, et l’Eternel a pris ; que le nom de l’Eternel soit béni ! En tout cela Job ne pécha pas, et n’attribua rien à Dieu qui fût inconvenable » (1 : 20-22).
Concernant ce qui est arrivé à Job, il y avait des causes apparentes : les forces de la nature (orage, tempête) et les hommes (ceux de Sheba, les Chaldéens) ; et des causes invisibles : le diable qui déchaînait les éléments naturels et qui incitait les hommes au vol et au meurtre, et surtout : Dieu, sous les yeux et par la souveraineté duquel tout est arrivé. Job discerne la cause essentielle – Dieu.
Job a conscience de ceci : Dieu a le droit de donner et aussi de prendre. Dans cette attitude de foi, il ne se dit pas délaissé par Dieu, il ne lui impute pas une seule fois quoi que ce soit d’inconvenant, mais il le prie avec une entière confiance !
La patience de Job – le deuxième coup
La scène se répète : Dieu, dans le ciel, souligne que son serviteur Job, même dans la souffrance, a manifesté une réelle crainte de Dieu. Satan affirme : Job est aussi égoïste que les autres hommes. Aussi longtemps que les gens s’en sortent sains et saufs, ils supportent tout. Mais si eux-mêmes sont atteints, il en va tout autrement. Là-dessus, Satan reçoit de Dieu la permission de toucher à Job ; seulement, il doit épargner sa vie (2 : 1-10). Alors, Job perd successivement deux autres choses :
- sa santé – il est couvert d’ulcères sur tout le corps ;
- le soutien de sa femme – car elle parle contre Dieu, en faisant peu de cas de la perfection de Job (comp. 1 : 8 ; 2 : 3 ; 2 : 9). Et elle parle pour le diable, en engageant Job à maudire Dieu (comp. 1 : 11 ; 2 : 5 ; 2 : 9). Lors du premier coup, Satan avait épargné quatre serviteurs afin qu’ils parlent pour amener Job au désespoir (1 : 15-19) ; de même, cette fois, Satan n’a pas porté atteinte à la femme de Job afin qu’elle puisse, par ses paroles, le tirer vers le bas.
Comment Job réagit-il ? « Et il lui dit : Tu parles comme parlerait l’une des insensées. Nous avons reçu le bien aussi de la part de Dieu, et nous ne recevrions pas le mal ? En tout cela Job ne pécha point de ses lèvres » (2 : 10). Même si sa foi ne brille pas d’un aussi vif éclat qu’après le premier coup, ses paroles sont remarquables : il réprimande avec douceur sa femme et atteste de façon catégorique qu’il veut accepter non seulement le bien mais aussi le mal de la main de Dieu. Aucune mauvaise parole ne vient sur ses lèvres dans cette situation extrême !
Dieu est glorifié par la patience de Job. Car Dieu reçoit la soumission qui lui est due. Et aux yeux de tous les anges qui en sont témoins et de tous les hommes qui entendent parler de l’attitude de Job, Dieu est magnifié dans sa grandeur. Job ne maudit pas Dieu, comme Satan l’avait pensé, mais il adore Dieu dans une profonde révérence. Satan est par conséquent complètement défait, et démasqué comme menteur. Aussi n’entendons-nous plus parler de lui dans le livre de Job.
La patience de Job a encore une deuxième conséquence : Job, par ces circonstances, devient un exemple pour d’autres. Jacques écrit : « Voici, nous disons bienheureux ceux qui endurent l’épreuve avec patience. Vous avez entendu parler de la patience de Job… » (Jac. 5 : 11). Non seulement Job est dit « bienheureux » à cause de sa patience dans l’épreuve, mais par lui, nous sommes encouragés à ne pas nous révolter dans nos épreuves qui sont moins lourdes que les siennes.
Nous pouvons donc retenir deux points relatifs à la question de la souffrance des justes :
- par leur foi ils peuvent glorifier Dieu d’une façon particulière ;
- ils apprennent la patience et sont ainsi des exemples pour d’autres.
Nous avons vu que Job a dû endurer six douloureuses épreuves, en deux étapes successives. Maintenant, trois amis âgés, sages, viennent pour le consoler. Tout d’abord ils ne se risquent pas à parler à Job, parce qu’il est assis devant eux, accablé par la douleur (2 : 11-13). Lorsque Job brise le silence au bout de sept jours, il maudit le jour de sa naissance et laisse libre cours à l’amertume qui s’était accumulée dans son âme (chap. 3).
C’est ainsi qu’une conversation s’engage, qui montre clairement qu’il manque aux trois amis la connaissance de Dieu et de ses voies. Eliphaz, dans ses paroles, se prévaut particulièrement de son expérience (4 : 8), Bildad, des connaissances des ancêtres (8 : 8-10) et Tsophar, de ses propres réflexions (20 : 2-3). Dans ces trois amis, nous voyons de quelle manière l’homme acquiert sa sagesse : Il voit avec ses yeux, entend avec ses oreilles, et réfléchit avec son cœur (comp. 1 Cor. 2 : 9).
Mais cette sagesse humaine ne trouve pas de réponse satisfaisante à la question de savoir pourquoi le juste souffre. Au contraire, les paroles des amis de Job sont blessantes. Leur visite constitue, pour Job, sa septième épreuve (comp. 19 : 3 ; 5 : 19). Unanimement, ses amis pensent que Job reçoit les châtiments qu’il mérite à cause de ses péchés. Car s’ils ne peuvent pas fournir à Job la preuve de ses manquements, ils supposent qu’il a dissimulé beaucoup de mal sous le manteau de sa piété (22 : 4-11). Ils stigmatisent Job comme étant un hypocrite, ce que le diable aussi a fait. Et ainsi, ils sont en opposition avec l’estimation de Dieu, qui a dit que Job serait « englouti sans cause » (2 : 3). En définitive, ce qui est arrivé à Job n’était absolument pas, dans son cas, un châtiment dû à un manquement ou à une vie sans Dieu.
Les trois amis n’ont pas fait progresser Job d’un millimètre, et ils ne trouvent pas de réponse à la question de savoir pourquoi il souffre si intensément. Ce sont des consolateurs fâcheux et des moqueurs blessants, qui exaspèrent Job par leurs remarques acerbes et leurs tirades, et qui ne peuvent pas empêcher Job de justifier sa droiture, avec abondance de paroles et emphase (16 : 3 ; 17 : 2 ; 32 : 3). Et, enfin de compte, ils ne trouvent plus rien à dire (32 : 1).
En réalité, tout cela n’aura-t-il pas amené Job à parler avec rudesse à ses amis, qui sont d’âge respectable, à se porter lui-même aux nues et à taxer d’injustice Celui qui est le grand Dieu (12 : 4 ; 19 : 6 etc.) ? Ce vif débat met en lumière la propre justice de Job. Déjà dans ce qui avait été dit, il aurait dû prendre peu à peu conscience que ses paroles n’étaient pas justes. Lorsqu’il s’assied en gardant le silence (31 : 40), ses pensées s’agitent encore plus. Alors, que va-t-il advenir maintenant ?
Maintenant, Elihu demande à prendre la parole. Il a suivi tous les entretiens, mais du fait de son jeune âge, par convenance, il s’est tu. Mais à présent, il sort de son silence (32 : 2-22). Dans plusieurs de ses paroles, on trouve la même tonalité que dans les explications des trois amis. Mais il y a des différences fondamentales dans ce qu’il dit, et aussi dans la façon de l’exprimer.
Elihu parle sans détour, mais il n’exerce aucune pression sur Job, comme l’avaient fait les trois amis âgés (33 : 7). Il a égard à la terrible souffrance de Job, comme quelqu’un qui n’est lui aussi qu’une faible créature (33 : 6). Ses paroles ne sont pas dues à la sagesse humaine, mais à l’action de l’Esprit de Dieu (33 : 4 ; comp. 1 Cor. 2 : 13).
Elihu ne veut pas condamner Job, il désirerait plutôt, autant que possible, le justifier (comp. 32 : 2 et 33 : 32). Il ne suppose pas le mal dans la vie de Job, mais il relève ses paroles de révolte (33 : 8-11 ; 34 : 5, 6, 35-37 ; 35 : 2, 3, 16). Et il cite en particulier cette parole de Job : « Moi, je suis net, sans transgression ; je suis pur, et il n’y a pas d’iniquité en moi ; voici, il (Dieu) trouve des occasions d’inimitié contre moi » (33 : 9-10). Elihu explique que Dieu peut utiliser sa discipline douloureuse pour préserver les hommes de grands dommages et les conduire à des bénédictions insoupçonnées (33 : 15-33). Dieu a un dessein de grâce lorsqu’il amène les hommes dans des chemins difficiles !
Comme Job ne répond pas sur ce sujet, Elihu poursuit son propos – et il cite Job : « Je suis juste, et Dieu a écarté mon droit » (34 : 5). Job trouve injuste de devoir souffrir alors que les impies se réjouissent. Mais Elihu sait qu’au temps voulu de Dieu tout sera remis en ordre. Et il recommande à Job, avec ses doutes et ses questions, de rechercher la face de Dieu. Mais Job doit aussi savoir que le Tout-Puissant ne répond pas aux orgueilleux (35 : 12).
Job garde à nouveau le silence, et Elihu parle encore une fois : il montre que Dieu veut ouvrir l’oreille aux hommes qui sont chargés, atteints par le malheur, afin qu’ils reçoivent son instruction (36 : 15). Dieu parle par la discipline. Qui enseigne aussi bien que lui (36 : 22) ? Et Job ne devait-il pas s’incliner devant Dieu, dont Elihu décrit magistralement la grandeur et la puissance ? (Chap. 37).
Dieu parle à Job, comme celui-ci l’avait réclamé (31 : 35). Le Tout-Puissant se présente dans sa majesté, sa toute-puissance, sa sagesse et sa sollicitude, et il fait sentir à Job son néant (chap. 38-39). Dieu ne discute pas avec Job. Il ne révèle pas non plus ses voies à Job, mais il veut remettre Job à sa place de créature, à sa place de subordination (comp. Jac. 4 : 7).
Après ces paroles prononcées par Dieu, Job dit : « Voici, je suis une créature de rien, que te répliquerai-je ? Je mettrai ma main sur ma bouche » (39 : 37). Cependant, Dieu doit le reprendre encore sévèrement (40 : 1-9). Reconnaître sa petitesse n’est pas encore prendre devant Dieu la place qui convient. Dans les paroles qui suivent (40 : 10 à 41 : 25), Dieu présente deux créatures : le béhémoth et le léviathan – apparemment deux monstres qui ont disparu, que les hommes ont beaucoup redoutés et contre lesquels ils ne pouvaient pas lutter. Et même les « fiers animaux » s’inclinaient devant le léviathan – alors Job ne devrait-il pas se faire tout petit devant le Tout-Puissant ?
Maintenant, Job est complètement brisé. Il va plus loin que confesser son néant – il reconnaît la grandeur de Dieu ainsi que sa propre ignorance : « Mon oreille avait entendu parler de toi, maintenant mon œil t’a vu : C’est pourquoi j’ai horreur de moi, et je me repens dans la poussière et dans la cendre » (42 : 5-6).
Job a appris à connaître Dieu d’une nouvelle manière. C’est pour lui comme si, jusque-là, il avait seulement entendu parler de Dieu, mais maintenant, il a pu contempler sa majesté et sa gloire. La grandeur de Dieu l’impressionne fortement. Par tout ce qu’il a traversé, Job est amené à une connaissance plus profonde de Dieu.
Et celui qui connaît Dieu se connaît aussi lui-même. C’est pourquoi Job est ainsi conduit, non pas à voir ses fautes seulement, mais à se condamner lui-même. L’homme, qui voulait mettre sa propre justice au-dessus de la justice de Dieu, dit maintenant : « J’ai horreur de moi ». Combien il est indispensable qu’un homme soit amené à exprimer ces paroles avec sincérité ! Et cela est particulièrement valable pour les hommes de haute moralité tels que Job, qui servent Dieu avec une conscience pure. Mais Dieu a produit ce résultat aussi pour Job.
Sur un autre plan aussi, nous voyons Job se transformer : l’homme, qui a attaqué ses trois amis avec des paroles dures, prie pour eux afin que la colère de Dieu ne les atteigne pas, colère qu’ils ont méritée à cause de leurs paroles inconvenantes (42 : 7-8).
Job, qui a goûté la grâce de Dieu, manifeste un esprit de grâce en intercédant devant Dieu pour ses amis.
Est-ce que le comportement de Job ne nous montre pas aussi dans quel but Dieu veut se servir de la souffrance ? Par la souffrance, quelque chose peut être changé :
- en ce qui concerne Dieu, que nous connaissions mieux sa gloire ;
- pour ce qui nous concerne, que nous saisissions mieux notre petitesse et notre état de pécheur ;
- quant aux autres hommes, que nous les traitions avec davantage de grâce.
Après que Job eut prié pour ses amis, le but de Dieu avec Job est atteint. Il met fin à la souffrance qui a emprisonné Job et qui l’a accablé, et Il lui accorde de nouvelles bénédictions. Jacques fait ce commentaire : « Vous avez vu la fin accordée par le Seigneur - que le Seigneur est plein de compassion et miséricordieux » (Jac. 5 : 11). On pouvait difficilement discerner la compassion et la miséricorde de Dieu pendant l’épreuve, mais à la fin, elles apparaissent clairement : « Car le Seigneur ne rejette pas pour toujours ; mais, s’il afflige, il a aussi compassion, selon la grandeur de ses bontés ; car ce n’est pas volontiers qu’il afflige et contriste les fils des hommes » (Lam. 3 : 31-33). Dieu ne se réjouit pas d’envoyer des souffrances dans notre vie. Il ne le fait que « si cela est nécessaire » (1 Pier. 1 : 6). Sa joie est de bénir.
Job reçoit ensuite beaucoup de visites, de vraies consolations ainsi que de généreux cadeaux. Tout ce qu’il a est multiplié par deux. Pour son cheptel, cela s’accomplit littéralement (1 : 3 ; 42 : 12). Mais, pour ses enfants, il en a de nouveau autant qu’avant sa grande épreuve (1 : 2). Et cependant, le nombre de ses enfants a aussi doublé ! Car les dix enfants qui étaient morts, par contraste avec les animaux qui avaient été emmenés, n’étaient pas perdus pour toujours. Job reverrait un jour ses enfants (comp 2 Sam. 12 : 23). Ceux-ci étaient donc des croyants, malgré les craintes de Job à leur sujet (comp. Job 1 : 5). Et à un âge avancé, il peut prendre dans ses bras ses arrière-petits-enfants (42 : 10-16).
Si Dieu avait accordé à Job ces immenses bénédictions avant son abaissement, il est possible que l’orgueil de Job se serait accru et aurait porté atteinte au beau témoignage de sa vie de droiture. Mais ainsi, Job, d’un seul coup d’œil embrasse avec une profonde reconnaissance et dans l’humilité ce que la bonté de Dieu lui accorde pour les 140 années qui lui restent encore à vivre. Job meurt « vieux et rassasié de jours » (42 : 17).
Lorsque nous considérons la « fin du Seigneur », nous discernons une autre raison au fait que Dieu amène des épreuves : Dieu désire nous donner plus de bénédictions et nous confier davantage.
Pour nous, chrétiens, cette bénédiction ne consiste pas en un accroissement de nos biens matériels. Mais nous pouvons, si nous sommes préparés dans notre être intérieur, apprécier davantage nos bénédictions spirituelles. Dieu peut confier plus à celui qui se tient humblement devant lui, et cela peut être employé pour le bien des autres.
Il est relativement facile d’écrire ou de parler au sujet du sens et du but de la souffrance. Nous l’avons vu clairement dans le cas des trois amis de Job. C’est tout autre chose de se trouver au sein de la souffrance, et, comme Job, de ne plus voir la lumière (37 : 21). Cependant, n’y a-t-il pas une grande consolation de savoir que Dieu a continuellement toutes choses sous son contrôle ? Et qu’il poursuit à notre égard ses desseins d’amour et de bénédiction qui, assurément, seront un jour manifestés ?
Par l’histoire de Job, Dieu nous montre les buts qu’Il veut atteindre chez les justes par le moyen des épreuves et de la souffrance :
- les croyants éprouvés peuvent glorifier Dieu par leur foi ;
- par leur patience, ils deviennent des exemples pour d’autres ;
- par tout ce qu’ils traversent, ils obtiennent une connaissance plus profonde de Dieu ;
- en connaissant mieux Dieu, ils apprennent aussi à se connaître eux-mêmes ;
- ayant goûté la grâce de Dieu, ils manifestent la grâce aux autres ;
- Dieu désire donner aux siens plus de bénédictions et leur confier davantage de responsabilité.
Nous trouvons une grande consolation dans la vie de Job : Dieu a continuellement toutes choses sous son contrôle et il poursuit à notre égard des desseins d’amour et de bénédiction.
G. Setzer - Messager évangélique (n° 1 - année 2018)