Comment se rassembler selon la pensée de Dieu (fin)
9 - Les réunions de l’assemblée
9.1 - Pour le culte avec la fraction du pain
9.2 - Pour la prière
9.3 - Pour l’édification, l’exhortation et l’encouragement
10 - L’action du Saint Esprit dans les réunions d’assemblée
11 - La table du Seigneur et la cène du Seigneur
11.1 - La table du Seigneur
11.2 - La cène du Seigneur
12 - Administration dans l’assemblée
Conclusion
En résumé
Dans cette période de confinement que nous vivons actuellement, avec l’impossibilité de nous réunir en assemblée autour du Seigneur, que les enseignements de la Parole de Dieu rappelés dans cette série d’articles soient vraiment profitables à chacun.
9 - Les réunions de l’assemblée
Dieu rassemble les siens « en assemblée » à trois occasions particulières.
9.1 - Pour le culte avec la fraction du pain
« Le premier jour de la semaine... nous étions assemblés pour rompre le pain » (Act. 20 : 7)
En 1 Corinthiens 11 : 23-26, l’apôtre Paul rappelle que le Seigneur a institué la Cène pour que les siens se souviennent de Lui et il précise que nous devons le faire jusqu’à ce qu’Il vienne. Ainsi, depuis le début (Act. 2 : 42), chaque premier jour de la semaine, le dimanche, les croyants se réunissent pour se souvenir du Seigneur.
En principe, la fraction du pain a lieu lors de la réunion de culte. Quand nous nous souvenons du Seigneur, assemblés autour de Lui, l'adoration ne peut que monter de nos coeurs.
L'assemblée, comme saint sacerdoce, possède le service de la louange (1 Pier. 2 : 5). En offrant des sacrifices spirituels, elle répond à ce que Dieu cherche : « des adorateurs qui l'adorent en esprit et en vérité » (Jean 4 : 23-24). Bien qu'invisible le Seigneur lui-même est le centre du culte pour la louange (Héb. 2 : 12). Cela conduit chacun à venir avec une tenue correcte dans le lieu du rassemblement, et à manifester le recueillement et la crainte qui conviennent dans la présence de Celui qui est « le Saint, le Véritable » (Apoc. 3 : 7).
Le culte par l’Esprit est un hommage rendu en commun à Dieu, et marqué par la liberté de l’Esprit (rien n’est déterminé à l’avance). Toutefois, le culte se « prépare » dans une vie de communion avec le Seigneur ; durant la semaine, chaque croyant peut recueillir dans son cœur les « fruits » précieux à apporter à Dieu le dimanche (voir Deut. 26 : 1-11). L’adoration est « en esprit et en vérité » (Jean 4 : 24) ; ce n’est donc pas un culte matériel comme celui des Israélites. Ce service est celui de tout enfant de Dieu. Il n’y a pas de « conducteur de louange » ou de personne désignée pour officier (clergé, pasteur). C’est le Saint Esprit qui dirige, Il donne à tel ou tel frère une prière ou un cantique à propos, car l’action publique est celle des frères seulement (1 Cor. 14 : 34) ; le frère qui exprime la prière d’adoration est alors la« bouche de l’assemblée ». Cependant, l’adoration, produite par le Saint Esprit, monte des cœurs de tous ceux qui sont présents, tant par les pensées muettes pendant les silences que par les prières et le chant des hymnes. Un élément essentiel du culte, c’est la présentation au Père de l’excellence du Fils dans sa Personne et dans son œuvre.
En général, une collecte pour la bienfaisance se fait à cette occasion. Du temps des apôtres, elle se faisait en liaison avec la fraction du pain (1 Cor. 16 : 1-2). En Hébreux 13 : 15-16, l’adoration et la collecte sont étroitement liées. Il en était ainsi pour le peuple d’Israël autrefois (voir Deut. 26 : culte (v. 1-11) et bienfaisance (v. 12-15).
Que le chant de louange à la gloire du Père
S’élève de nos cœurs, par son amour ravis,
Et que l’hymne éternel commencé sur la terre
Exalte, glorifie, et le Père et le Fils !
« Ma maison est une maison de prière « (Luc 19 : 46).
« Si deux d’entre vous sont d’accord sur la terre pour une chose quelconque, quelle que soit la chose qu’ils demanderont, elle sera faite pour eux par mon Père qui est dans les cieux ; car là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis là au milieu d’eux » (Matthieu 18 : 19-20).
« Il se rendit à la maison de Marie, mère de Jean surnommé Marc, où plusieurs étaient assemblés et priaient » (Act. 12 : 12).
La prière est l’expression de la dépendance des rachetés. Nous dépendons absolument du Seigneur, toutes les bénédictions viennent de la Tête, de Christ (voir Psaume 133 : 2-3) et toutes les directives viennent de Lui (Éph. 5 : 24).
Nous sommes exhortés :
- à persévérer dans la prière (Rom. 12 : 12 ; Éph. 6 : 18) ;
- à prier sans cesse (1 Thes. 5 : 17) ;
- à exposer nos requêtes à Dieu par des prières et des supplications avec des actions de grâce (Phil. 4 : 6) ;
- à combattre par la prière (Rom. 15 : 30).
Des bénédictions spéciales sont attachées à la prière collective, mais des conditions morales sont alors nécessaires :
- « Si deux d’entre vous sont d’accord sur la terre pour une chose quelconque, quelle que soit la chose qu’ils demanderont, elle sera faite pour eux par mon Père qui est dans les cieux » (Matt. 18 : 19). Nous devons prier comme étant un, au nom du Seigneur Jésus. Nous devons avoir une même pensée, être d’un même cœur quand nous prions en assemblée. La force du terme original dans Matt. 18 : 19 est celle-ci : « Si deux d’entre vous émettent le même son » (symphonie) ! Il ne doit y avoir aucune note discordante, aucune dissonance parmi ceux qui prient.
- « Et c’est ici la confiance que nous avons en lui, que si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute ; … quoi que ce soit que nous demandions, nous savons que nous avons les choses que nous lui avons demandées » (1 Jean 5 : 14-15).
9.3 - Pour l’édification, l’exhortation et l’encouragement
« Quand vous vous réunissez, chacun de vous a un psaume, a un enseignement, a une langue, a une révélation, a une interprétation : que tout se fasse pour l’édification » (1 Cor. 14 : 26).
L’assemblée, tout comme nos corps, a besoin d’être nourrie. Elle est nourrie de Christ par le moyen des dons que le Seigneur a conférés à l’assemblée. Ce sont surtout les dons de prophète et de docteur qui seront employés. Le prophète donne la parole que Dieu veut adresser aux siens selon leurs besoins du moment. Le docteur enseigne et expose justement la parole de la vérité.
Seuls les frères présentent la Parole (1 Cor. 14 : 34-35). Ils doivent s’attendre au Seigneur et se laisser guider par l’Esprit. Rien n’est organisé à l’avance, aucun frère n’est pressenti pour prendre la parole. Deux ou trois peuvent intervenir (v. 29), pour donner « au temps convenable la ration de blé » aux croyants réunis (Luc 12 : 42-43). Le frère qui agit doit être un canal qui transmet un message de la part de Dieu (1 Pier. 4 : 11). L’édification est fondée seulement sur l’Écriture et ne peut être suscitée que par le Saint Esprit, qui seul peut guider dans toute la vérité.
10 - L’action du Saint Esprit dans les réunions d’assemblée
Dieu le Saint Esprit habite dans l’Assemblée (Éph. 2 : 22). Sa présence implique qu’il dirige tout, dans toutes les réunions. Il est souverain et tout-puissant et fait ce qu’il lui plaît (1 Cor. 12 : 11 ; Jean 3 : 8 - « le vent souffle où il veut »). Il a la liberté d’agir dans la mesure où son action n’est pas entravée par la volonté de l’homme ou supplantée par l’esprit du monde, que risquent de manifester les croyants. Il n’agit pas selon des règles définies ou fixées à l’avance par les hommes.
L’Esprit accorde des dons de grâce à qui il veut (1 Cor. 12 : 8-11). Ces dons ne se limitent pas à un rassemblement local, mais ils sont utiles à toute l’Église. Ils ont été donnés par Christ en vertu de la rédemption et de son exaltation dans le ciel, pour le perfectionnement des saints et pour l’édification du corps (Éph. 4 : 7-12). Ce sont des compétences ou des capacités spéciales données aux croyants par le Saint Esprit. Ces capacités sont à différencier des aptitudes naturelles que nous avons par naissance et qui sont aussi accordées par Dieu (nous sommes ses créatures). Ces dons de grâce sont donnés pour l’édification et les soins dont l’assemblée a besoin : enseignement, exhortation, encouragement, avertissement, consolation. Ils doivent être exercés sous la seule direction du Seigneur, dans la crainte de Dieu et dans sa dépendance. L’exercice des dons ne se limite pas aux réunions, ils s’exercent aussi dans le particulier, dans les maisons.
Au chapitre 12 de la première épître aux Corinthiens sont présentés les dons confiés à l’Assemblée. Le chapitre 14 présente le fonctionnement (ou l’exercice) de ces dons dans les réunions d’assemblée ; mais auparavant, le chapitre 13 indique dans quel esprit les dons doivent être exercés : avec l’amour comme mobile. « Que toutes choses parmi vous se fassent dans l’amour » (1 Cor. 16 : 14).
L’action du Saint Esprit est toujours en accord avec l’enseignement de l’Écriture qu’il a lui-même inspirée. C’est l’Esprit de vérité (Jean 16 : 13). Il agit selon une sagesse divine que l’homme ne comprend pas et qui peut lui sembler de la folie (1 Cor. 2 : 14). Son action n’est jamais spectaculaire aux yeux des hommes ; elle se discerne spirituellement (1 Cor. 2 : 14-16)
L’Esprit Saint conduira l’esprit du croyant pour la prière, le chant (1 Cor. 6 : 17, 19), pour rendre grâces ou présenter un enseignement dans la liberté la plus complète, d’une manière ordonnée (1 Cor. 14 : 40).
11 - La table du Seigneur et la cène du Seigneur
Lorsque nous invitons des convives à notre table, c’est pour parler de choses qui nous sont communes en partageant un repas ; ce sont des moments de communion. Ainsi, la table du Seigneur nous parle d’unité et de communion avec Dieu.
L’apôtre fait appel à notre intelligence spirituelle pour nous faire comprendre ce qu’est la table du Seigneur (1 Cor. 10 : 15).
La participation à cette table est un acte extérieur et visible ; la communion est un état intérieur.
Tous les croyants possèdent une part commune : ils sont au bénéfice du sang de Christ. A la table du Seigneur, les croyants montrent ensemble qu’ils sont en communion avec le Seigneur et en communion les uns avec les autres comme membres d’un seul corps ; ils sont « un seul corps en Christ » (Rom. 12 : 5). L’unité du corps de Christ y est exprimée d’une manière visible : il y a « un seul pain, un seul corps » (1 Cor. 10 : 17).
Le pain représente à la fois le corps de Christ donné pour nous et le fruit de son œuvre à la croix : les rachetés constitués en un seul corps, l’Assemblée.
Le Seigneur préside à cette table, elle est sainte, elle ne peut en aucun cas être mise en relation avec l’iniquité ou même avec ce qui n’a pas l’approbation du Seigneur (1 Cor. 10 : 21). Ce serait profaner une telle communion.
Le repas que nous prenons à la table du Seigneur est la cène. Elle évoque le souvenir et la mort du Seigneur ainsi que son prochain retour (1 Cor. 11 : 26). Pour y participer, une bonne conscience et un cœur pur sont indispensables. Il est nécessaire de s’être jugé soi-même et d’avoir confessé ses péchés (1 Cor. 11 : 28, 31).
Quand le Seigneur a dit : « Ceci est mon corps », « ceci est mon sang », cela voulait dire : ceci représente mon corps, ceci représente mon sang. Ces signes, qui représentent sa mort, nous aident à nous souvenir de Lui.
La cène n’est pas un repas commémoratif de nos bénédictions et de notre rédemption, mais le souvenir de notre Sauveur et Seigneur. Nous ne sommes pas réunis pour penser à nous mais à notre Seigneur. Ceux qui participent à la cène sont uniquement des rachetés du Seigneur : il s’agit d’une participation personnelle à cette chose commune. Elle fait d’abord appel à notre cœur et à nos affections, mais aussi à notre conscience, pour que nous y participions dignement (1 Cor. 11 : 27).
12 - Administration dans l’assemblée
« En vérité, je vous dis : Tout ce que vous lierez sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous délierez sur la terre sera délié dans le ciel » (Matt. 18 : 18)
Ce verset est situé dans le paragraphe qui nous parle de l’assemblée dont le Seigneur est le centre (v. 20). Il nous indique que, dans l’assemblée, une administration est confiée aux hommes et qu’elle est reconnue dans le ciel, là où se trouve la Tête, le chef de l’assemblée.
La Parole de Dieu nous indique clairement quelle doit être la place de la femme dans l’assemblée : se taire et être soumise (1 Cor. 14 : 34), ne pas user d’autorité sur l’homme (1 Tim. 2 : 12). Nous pouvons en déduire que ce sont les frères qui ont la responsabilité de traiter différentes questions qui peuvent se poser dans un rassemblement.
Au chapitre 15 des Actes nous voyons une réunion de frères convoquée pour traiter une question difficile. Ce qui est manifesté à cette occasion est remarquable. Nous voyons la reconnaissance des autorités morales (Pierre, Paul, Barnabas, Jacques), la soumission les uns aux autres, l’autorité de la Parole de Dieu prise comme référence pour traiter la question (v. 16-17), l’ordre (tous se taisent quand l’un parle : v. 12-13), la communion du Saint Esprit (v. 28).
Une réunion de frères n’est pas un forum de discussion où l’on peut faire valoir son opinion. C’est ce que le Seigneur pense qui doit être exprimé, ceux qui prennent la parole doivent être conduits par l’Esprit. L’assemblée n’est pas une démocratie où la pensée de la majorité des frères ferait autorité. La seule autorité est la Parole de Dieu.
Les frères donnent connaissance à l’assemblée (frères et sœurs) de ce que l’Esprit a montré à l’ensemble des frères, et l’assemblée prend les décisions dans la présence du Seigneur, car c’est elle qui « lie et délie », ce qui veut dire que ce qui est décidé par l’assemblée dans la soumission au Seigneur, est « lié » ou « délié » dans le ciel. Ces décisions ont donc une portée universelle. Elles doivent être reconnues dans les autres assemblées qui se rassemblent au nom du Seigneur, car elles ont le même Chef.
Quand une personne demande à participer à la cène, les frères s’enquièrent auprès d’elle, dans un esprit d’amour, pour s’assurer que rien n’entachera la sainteté de la table du Seigneur, puis l’assemblée prend la décision de la recevoir, de la part du Seigneur. Elle est reçue pour la fraction du pain, non pas comme membre d’une organisation, mais parce qu’elle est un membre du corps de Christ et parce qu’elle n’est pas disqualifiée par une mauvaise conduite ou par une fausse doctrine. Elle est reçue à la table du Seigneur, c’est-à-dire universellement et non pas seulement localement. Puisqu’elle n’est pas connue dans d’autres assemblées locales, l’assemblée où elle se réunit habituellement la recommandera par une lettre à l’assemblée locale où elle serait amenée à aller (Rom. 16 : 1 ; 2 Cor. 3 : 1). Une telle pratique manifeste l’unité du corps de Christ.
La présence du Seigneur reconnue dans l’assemblée locale entraîne de la crainte et un profond respect. Celle-ci est responsable de maintenir la sainteté morale et doctrinale, l’ordre et la bienséance au milieu d’elle.
Si un mal apparaît chez un frère ou une sœur, des soins pastoraux seront apportés dans un esprit d’amour pour que ce frère ou cette sœur soit restauré. Si ces soins ne produisent pas de restauration, l’assemblée sera amenée à se purifier du mal en ôtant du milieu d’elle celui ou celle qui porte le caractère de méchant (1 Cor. 5 : 7, 13). Cette décision ne peut être prise qu’avec humiliation. Une telle personne exclue de la table du Seigneur est exclue de toutes les assemblées réunies au nom du Seigneur. Notons bien que cette personne n’est pas exclue du corps, elle reste toujours un enfant de Dieu ; mais elle est exclue du témoignage rendu à l’unité du corps. Son exclusion a en vue sa restauration, aussi faut-il prier pour cela et lorsque la restauration a lieu, réintégrer celui qui avait été exclu.
Conclusion
Après avoir examiné ces principes divins au sujet de l’Assemblée, nous sommes responsables de les appliquer. Beaucoup ne veulent pas s’engager à suivre ce chemin, pour plusieurs raisons :
- le confort : refus des exercices d’âme parfois douloureux
- la tradition : refus de rejeter les traditions établies par les hommes
- la coutume : refus de remettre en cause ce qu’on a toujours fait
- le refus de se retrouver parmi un petit nombre de personnes seulement
- l’unité mal comprise : penser que ce chemin est une division de plus dans la chrétienté ...
Le Seigneur nous dit : « Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole … celui qui ne m’aime pas ne garde pas mes paroles » (Jean 14 : 23-24). Aimons-nous le Seigneur ?
Ayons à cœur les enseignements de l’Écriture et acceptons son autorité. C’est parfois une décision difficile à prendre. Nos affections peuvent être quelquefois meurtries (Matt. 10 : 37) On peut craindre de se retrouver isolé, mais le Seigneur est fidèle, comme Paul l’a expérimenté (2 Tim. 4 : 16,17) ; bien d’autres croyants en ont fait également l’heureuse expérience. Le Seigneur n’a-t-il pas dit : « Là où deux ou trois sont assemblés à mon nom, je suis là au milieu d’eux » ? (Matt. 18 : 20)
Gardons-nous de chercher à innover (ce n’est que l’imagination de l’homme : 1 Rois 12 : 33). Revenons toujours aux principes fondamentaux donnés dans la Parole de Dieu ; nous y trouvons les pensées immuables de Dieu, valables pour tous les temps et toutes les générations, pour le servir d’une manière qui lui soit agréable.
Pour répondre à la pensée de Dieu concernant ses conseils éternels au sujet de l’Assemblée, ayons le saint désir de vivre pratiquement chacun des points suivants, étant soumis à l’enseignement de la Parole de Dieu :
- nous réunir au Nom du Seigneur Jésus (le Sauveur, le Seigneur, le Saint, le Véritable) ;
- reconnaître la seule autorité du Seigneur Jésus ;
- nous soumettre à la direction du Saint Esprit et la réaliser dans la vie collective ;
- ne pas tolérer que le nom du Seigneur soit sciemment associé au mal ;
- servir le Seigneur par amour, en prenant soin l’un de l’autre dans ce même amour.
M. T