LE PERE DU MENSONGE ET SES ESCLAVES
Un maître-trompeur déguisé en ange de lumière
Les divers instruments employés par Satan
Ceux qui n’ont pas connu les « profondeurs de Satan »
Cet imposteur - le prince des faussaires, le « père du mensonge » (Jean 8 : 44) - semble travailler sans réelle opposition dans ce monde. Personne n’y dénonce ses activités. Il se présente même comme un grand bienfaiteur de l’humanité. Ceux qui sont sous ses ordres, consciemment ou non, promettent de sa part le pouvoir, le bonheur, l’amour, la paix, la force et la santé ! De nombreuses personnes crédules prêtent une oreille complaisante aux mensonges de cet ancien chérubin oint qui, avant sa chute, « couvrait » - ou protégeait (Ezé. 28 : 14).
La Parole de Dieu l’appelle aussi le grand dragon, le diable, le serpent ancien… Il sera bientôt précipité du ciel, où il se trouve encore, sur la terre (Apoc. 12 : 9). Cet Adversaire peut, semble-t-il, se présenter encore devant Dieu (voir Job 1 : 6-12 ; 2 : 1-7). Dans ces deux derniers passages, il est appelé Satan. Apocalypse 12 précise qu’il « séduit la terre tout entière ». Il cherche à entraîner avec lui le plus grand nombre d’hommes possible vers la malédiction éternelle. Il réussit, hélas, à en tromper beaucoup !
Un maître-trompeur déguisé en ange de lumière
Calomnié durant son ministère, l’apôtre Paul, qui pouvait écrire que « la vérité de Christ était en lui » (2 Cor. 11 : 10), se sent obligé de répondre, à son corps défendant, aux accusations odieuses de ses adversaires (12 : 11). Il déclare que les opposants auxquels il avait affaire à Corinthe étaient « de faux apôtres, des ouvriers trompeurs, qui se déguisent en apôtres de Christ ». Et ce n’est pas étonnant, dit-il, « car Satan lui-même se déguise en ange de lumière : ce n’est donc pas étrange que ses serviteurs se déguisent aussi en serviteurs de justice, eux dont la fin sera selon leurs œuvres » (2 Cor. 11 : 13-15).
Quel est le but poursuivi par ce maître-trompeur ? Il voudrait substituer de plus en plus sa détestable influence à celle de Dieu. Dans sa folie orgueilleuse, il ambitionne d’être adoré à la place de Dieu ! Il aurait voulu que Jésus se prosterne devant lui (Luc 4 : 7). Mais Jésus lui a dit : « Va-t’en, Satan » (Matt. 4 : 10). Cependant, aujourd’hui, des foules de plus en plus nombreuses sont prêtes à se soumettre à ses désirs pervers.
Souvent, des hommes refusent de se tourner vers Dieu et à recevoir le salut que sa grâce leur offre encore aujourd’hui. Nombreux sont ceux qui se laissent séduire par la voix doucereuse de Satan. Il a acquis une longue expérience depuis plus de six mille ans ! Il sait comment s’y prendre pour « attirer » ses victimes vers l’un ou l’autre de ses nombreux pièges, constamment renouvelés.
Il a été très justement comparé à un « oiseleur » (Ps. 91 : 3 ; 124 : 7). Peut-être avez-vous eu l’occasion de voir opérer ce genre d’homme patient et rusé : il agit sans bruit, en évitant autant que possible d’être vu ! Il réussit ainsi à appâter les oiseaux les plus rares et les plus défiants. Il se sert - comme Satan pour les hommes - de leurs « friandises » préférées. Quand ils se débattent en vain dans ses filets, il se saisit d’eux, les met dans une cage où ils vont probablement rester languissants, jusqu’à leur mort. Depuis longtemps, comme l’oiseleur, Satan a mis au point un système ingénieux pour se rendre maître des hommes. Il les trompe habilement sur ses intentions, en changeant aussi souvent que nécessaire ses pièges. Il tient compte des goûts variés de notre chair, il discerne très vite nos tendances personnelles. Il propose aux hommes ce qui leur plaît, ce qu’ils convoitent. Face à des tentations aussi bien ciblées, nombreux sont ceux qui, finalement, se font « piéger », avec des conséquences souvent dramatiques, parfois définitives.
Le diable se sert volontiers de « moyens » ou de « personnes » inattendus. Ses proies potentielles sont ainsi loin de se méfier et de rester prudemment à distance. L’Ecriture dit que Satan « court çà et là » sur toute la terre (Job 1 : 7a). Il se déplace avec rapidité mais il n’est pas, comme Dieu, omniprésent. A deux reprises dans le livre de Job, en réponse à une question de l’Eternel, il prétend qu’il « se promène » (v. 7b). En réalité, il est plus juste de dire qu’il « rôde », cherchant, comme un lion rugissant, qui il pourrait dévorer (1 Pier. 5 : 8) ; devant cette menace permanente, la Parole de Dieu recommande aux chrétiens d’être sobres, de veiller, résistant ainsi à cet ennemi subtil. Soyons « fermes dans la foi » (v. 9) : il fuira loin de nous (Jac. 4 : 7).
Les divers instruments employés par Satan
Pour détourner avec succès un si grand nombre d’hommes et de femmes de ce chemin resserré mais qui mène à la vie, l’Ennemi a ses méthodes, liées au culte de lui-même. Il cherche à égarer les hommes, à les amener à suivre un chemin large et spacieux – plus attrayant pour la chair, mais il mène directement à la perdition (Matt. 7 : 13-14).
Certains agents du diable nous proposent de « prédire l’avenir ». C’est le cas des « voyants », des chiromanciens et des diseurs de bonne aventure. Les « horoscopes » sont devenus une pratique très prisée. Citons aussi d’autres pièges sataniques courants : la lecture des lignes de la main, l’usage d’une baguette divinatoire ou d’un pendule, un miroir soi-disant magique, la boule de cristal… cette énumération est incomplète !
L’imagination de ces disciples de Satan, formés à sa mauvaise école, est fertile, mais dévoyée. Il y a, certes, un côté « attrape-nigaud » dans toutes ces pratiques, mais ne perdons pas de vue qu’elles portent des fruits vénéneux !
Nous trouvons, dès le livre de la Genèse, le roi de Sodome cherchant à séduire Abraham en lui proposant aimablement de prendre les « biens » pour lui. Plein de feinte générosité, il se contentera des « âmes » (Gen 14 : 21). Hélas, souvent, ce piège de l’argent, pourtant grossier, fonctionne à merveille. Des vies sont en tout cas entièrement gâchées par cette idole, « l’amour de l’argent » (1 Tim. 6 : 10).
Pour mieux attirer des personnes réticentes, on fait une distinction, très symbolique au demeurant, entre la magie blanche et « noire ». La première se drape dans un manteau de « piété » - c’est la soi-disant « religion des mages » -, tandis que, dans la seconde, on agit ouvertement de connivence avec le diable. Le « pouvoir » de donner des maladies ou de les guérir, ou encore celui de jeter des sorts, s’y rattachent. On prétend également distinguer diverses formes de magie : celle de l’amour, de la haine ou de la mort.
Avec le « spiritisme » on prétend communiquer avec l’esprit « des morts » - par le moyen ou non d’un médium. Ces esprits sont en réalité des « démons » qui se revêtent de la personnalité de personnes décédées. On fait parfois appel à un don de « clairvoyance », à l’écriture automatique… D’autres personnes entrent en transes ; des médiums se servent de « tables tournantes » et il y a d’autres phénomènes paranormaux.
Dans notre jeunesse, alors que la crainte de Dieu tendait à disparaître dans notre société occidentale, certains osaient, par une sorte de provocation, chanter : J’ai donné mon âme au diable, mon pouvoir est formidable ! – Il est extrêmement dangereux de « jouer » dans nos pensées d’abord, et nos paroles ensuite, avec des sujets aussi graves ; nous risquons de nous servir d’expressions où il est question légèrement du diable : ce qui certainement lui plaît. Il faut rester très sobres dans notre conversation (Ps. 19 : 14).
La plupart des dictionnaires affirment le caractère « légendaire » de Satan, et s’étendent pourtant largement sur tout ce qui est dit en relation avec lui. La Bible (l’ensemble des livres divins) dit clairement que Satan est le premier et le plus puissant des anges déchus. C’est le plus grand adversaire de Dieu et de l’homme. Il a cherché à tenter Jésus au désert, mais tous ses efforts ont été voués à l’échec. A la différence d’Adam, le dernier Adam a été vainqueur. Satan a osé chercher, dans sa folie, à faire tomber Celui que Dieu avait « oint de l’Esprit Saint et de puissance ». Satan a mis toutes sortes d’obstacles, mais Christ « a passé de lieu en lieu, faisant du bien et guérissant tous ceux que le diable avait asservis à sa puissance, car Dieu était avec lui » (Act. 10 : 38-39).
Satan est « l’Accusateur des frères » (Apoc. 12 : 10 ; Matt. 4 : 8-11 ; 13 : 38-39, 25 : 41 ; Marc 1 : 13). Ce Tentateur pousse constamment l’homme à pécher (Matt. 4 : 1 ; Jean 13 : 2). Il cherche à convaincre un croyant qu’il peut perdre son salut - malgré les certitudes absolues données par l’Ecriture à cet égard (lire, par exemple : 1 Jean 5 : 13). Cette fausse doctrine se répand.
Satan est encore appelé le « Méchant » (Matt. 13 : 38), le « chef de ce monde » (Jean 15 : 30), le « dieu de ce siècle » (2 Cor. 4 : 4). C’est une pure folie de nier son existence et de prétendre qu’il ne s’agit que d’une mauvaise « influence » (mal définie), au lieu d’accepter la réalité : il s’agit bien d’un archange déchu du fait de son orgueil. Il a été vaincu à la croix par Jésus Christ, mais il est encore « le chef du monde » (Jean 14 : 30) ; il court à la perdition, à l’étang de feu (Apoc. 20 : 10).
Il est vraiment tragique de voir tant de personnes « ignorer » le juste - et prochain - jugement de Dieu ! Elles ont été « séduites » par le diable. Ses fallacieuses promesses portent sur des choses qui ont une grande importance pour des hommes dont l’horizon est limité à la terre sur laquelle ils habitent, sans penser à l’au-delà (Apoc. 11 : 10) ; Satan prétend qu’ils recevront par son moyen la puissance, le plaisir, la délivrance de la souffrance (ou au moins son soulagement).
Satan se sert « à sa guise » de tous ceux dont la Parole de Dieu dit que ce sont des « enfants du diable » en contraste absolu avec les « enfants de Dieu » (1 Jean 3 : 10). Ils sont souvent inconscients de faire partie des instruments que Satan utilise. Soyons sur nos gardes, car il parvient parfois à se servir même d’un croyant : il faut se souvenir de Pierre que le Seigneur a dû reprendre, après pourtant une si belle confession (Matt. 16 : 16, 23).
Les adeptes de l’occultisme sont assez nombreux ; ils prétendent que leur « pouvoir » vient de Dieu et sert à faire du bien à leur prochain. Ces magiciens cherchent parfois à « rassurer » une certaine clientèle en portant une croix bien visible. Ils posent ostensiblement une Bible sur leur bureau ! Ces personnes trouvent dans ces activités occultes une grande part de leurs revenus ! Quiconque connaît le vrai Dieu, lit sa Parole et désire Lui obéir, se tiendra soigneusement loin d’elles. La conduite de ces « esclaves » du diable montre en général que les enseignements divins sont lettre morte pour eux.
Dieu avertit tous les hommes : il faut se tourner vers « la loi et le témoignage » ! Si son peuple ne parle pas selon cette parole, il n’y a pas d’aurore pour lui (Es. 8 : 20). Encore aujourd’hui, il n’y a de salut pour les hommes qu’en Jésus Christ (Act. 4 : 12).
L’apôtre Jean met fortement en garde les enfants de Dieu : « Bien-aimés, ne croyez pas tout esprit, mais éprouvez les esprits pour voir s’ils sont de Dieu, car beaucoup de faux prophètes sont sortis dans le monde. Par ceci vous connaissez l’Esprit de Dieu : tout esprit qui reconnaît Jésus Christ venu en chair est de Dieu, et tout esprit qui ne reconnaît pas Jésus Christ venu en chair n’est pas de Dieu ; c’est là l’esprit de l’Antichrist, dont vous avez entendu dire qu’il vient, mais maintenant il est déjà dans le monde » (1 Jean 4 : 1-3).
L’enseignement biblique est très clair au sujet de tous ces pouvoirs surnaturels. Il ne nie pas la réalité de ces pouvoirs mais interdit formellement d’y avoir recours. Parlant à Israël, son peuple terrestre, Dieu lui disait : « Il ne se trouvera au milieu de toi… ni devin qui se mêle de divination, ni pronostiqueur, ni enchanteur, ni magicien, ni sorcier, ni personne qui consulte les esprits, ni diseur de bonne aventure, ni personne qui interroge les morts ; car quiconque fait ces choses est en abomination à l’Eternel….Tu seras parfait avec l’Eternel, ton Dieu » (Deut. 18 : 10-13). « Si un homme ou une femme sont évocateurs d’esprit, ou diseurs de bonne aventure, ils seront certainement mis à mort ; on les lapidera avec des pierres » (Lév. 20 : 27).
Chacun peut lire à cet égard quelques passages importants :
- Exode 22 : 18 : « Tu ne laisseras point vivre la magicienne »
- Lévitique. 19 : 31 : N’ayons pas recours à ceux qui nous rendraient impurs !
- Lévitique 20 : 6 : Dieu dit ici : « L’âme qui se tournera vers ceux qui évoquent les esprits, et vers les diseurs de bonne aventure… Je la retrancherai du milieu de son peuple ».
- 2 Rois 21 : 6-7 : ce passage décrit la mauvaise conduite du roi Manassé à ce sujet.
- 1 Chroniques 10 : 13-14 : Il s’agit ici du roi Saül, entré volontairement en relation avec une femme qui évoquait les esprits.
- Esaïe 8 : 19-22 : il est question des évocateurs d’esprit, ceux qui « murmurent », ceux qui « chuchotent ».
- Esaïe 47 : 13-14 évoque les « interprétateurs » des cieux et les « observateurs » des étoiles.
Ceux qui n’ont pas connu les « profondeurs de Satan »
Cette expression « les profondeurs de Satan » est employée dans la lettre à l'assemblée à Thyatire (Apoc. 2 : 24). Il y est question d’un résidu resté fidèle, en relation avec la venue du Seigneur. L'exhortation à écouter n'est plus adressée à l'assemblée, mais au « vainqueur » ! Il n’y a plus en effet d’espoir d’une restauration globale de l'Eglise, comme corps : « Je lui ai donné du temps pour se repentir ; mais elle ne veut pas se repentir…», déclare le Fils de Dieu, qui a les yeux comme une flamme de feu (v. 18, 21) !
En revanche, un résidu est distingué et encouragé par la bienheureuse espérance de la venue du Seigneur comme « l'Etoile brillante du matin ». « Mais à vous, aux autres qui sont à Thyatire, à tous ceux qui n'ont pas cette doctrine, qui n'ont pas connu, comme ils disent, les profondeurs de Satan, je dis : Je ne vous impose pas d'autre charge ; seulement, ce que vous avez, tenez-le ferme jusqu'à ce que je vienne » (v. 24-25, 27). Ces paroles s’adressent, non pas à l’église restaurée, mais à un certain nombre de fidèles formant un ensemble distinct ; ce sont ceux qui ne se sont pas laissés égarer par les enseignements de Jézabel et de ce fait n’ont pas recherché les activités de ceux qui étaient sous la domination diabolique.
Bientôt, le Roi dira aux hommes qui ont choisi de suivre Satan : « Allez-vous-en loin de moi, maudits, dans le feu éternel qui est préparé pour le diable et ses anges » (Matt. 25 : 41). Ce feu n’était pas préparé a priori pour les hommes, mais le diable en a égaré un grand nombre et ils vont le suivre dans son terrible jugement.
Aux autres, « à sa droite », le Roi dira : « Venez, vous les bénis de mon Père, héritez du royaume qui vous est préparé depuis la fondation du monde » (Matt. 25 : 34).
Le Seigneur avait dit à ses disciples, lors de leurs entretiens intimes, avant la croix : « Le chef du monde vient ; et il n’a rien en moi… parce qu’il est jugé… Moi j’ai vaincu le monde » (Jean 14 : 30 ; 16 : 11, 33). Satan est également déjà vaincu. Au désert, il avait dû quitter Jésus pour un temps ; et à la croix, Christ a, par la mort, rendu impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort, c’est-à-dire le diable. Il a délivré tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient toute leur vie, tenus en esclavage (Héb. 2 : 14-15) !
Ainsi, assuré de la victoire définitive de Jésus sur Satan et sur le monde, le racheté du Seigneur peut être « plus que vainqueur par Celui qui l’a aimé » (Rom. 8 : 37) ! Nous pouvons désormais nous écrier avec l’apôtre Paul : « Je suis assuré que ni mort, ni vie, ni anges, ni pouvoirs, ni choses présentes, ni choses à venir, ni puissances, ni hauteur, ni profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu, qui est dans le Christ Jésus notre Seigneur » (Rom. 8 : 38-39) !
« Au reste, mes frères, fortifiez-vous dans le Seigneur et dans la puissance de sa force ; revêtez-vous de l’armure complète de Dieu, pour pouvoir tenir ferme contre les artifices du diable : car notre lutte n’est pas contre le sang et la chair, mais contre les pouvoirs, contre les autorités, contre les dominateurs de ces ténèbres, contre les puissances spirituelles de méchanceté qui sont dans les lieux célestes » (Eph. 6 : 10-12). Pour soutenir et vaincre dans ces combats continuels, nous avons des ressources pleinement suffisantes. Nous pouvons nous écrier : « Grâces à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus Christ ! » (1 Cor. 15 : 57).
Ph. L Le 13-11-2017
Qui jamais nous condamnera, nous, élus pour la vie ?
Qui même nous accusera, nous, que Dieu justifie ?
Le Fils du Père, mort et ressuscité,
Ceint de lumière, dans les cieux est monté.
Pour nos faiblesses, nos langueurs, Il intervient Lui-même,
Et nous sommes plus que vainqueurs en Celui qui nous aime.
Jésus Christ nous a rachetés de la mort éternelle ;
En Lui déjà ressuscités, au ciel Il nous appelle.
Douce assurance d’habiter au saint lieu !
Chère espérance des bien-aimés de Dieu !
Au Roi des siècles, immortel, seul grand, seul bon, seul sage,
Soient louange, honneur éternel, amour, puissance, hommage !
Oh ! quand verrons-nous resplendir ce jour où doit paraître
Celui qui du ciel va venir, Jésus Christ, notre Maître ?
Sainte journée, terme de nos travaux !
Foi couronnée, délicieux repos !
Chrétiens, encore un peu de temps, et le Seigneur de gloire,
Viendra donner aux combattants l’éternelle victoire.