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Quelques réflexions au sujet du Psaume 45
 
 
            Ce psaume d'instruction loue le Roi, qui est Christ, le Fils bien-aimé de Dieu (Matt. 3 : 17). Il est attribué aux fils de Coré ; pour le composer, ceux-ci ont été conduits par le Saint Esprit, cet « écrivain habile » (v. 1).
            Bien plus grand que Salomon, nommé lui aussi Jédidia, Christ est le Bien-aimé, celui qui surpasse en beauté et en grâce tous les fils des hommes.
            Avant de jaillir sur les lèvres, la louange est préparée ; elle est le fruit de la méditation d'un coeur qui bouillonne et qui éprouve de ce fait quelque difficulté à se contrôler. C'est toujours de l'abondance du coeur que la bouche parle (Matt. 12 : 34), mais maintenant que le Saint Esprit habite dans le croyant, « les esprits des prophètes sont assujettis aux prophètes » (1 Cor. 14 : 32). « Je chanterai avec l'esprit, mais je chanterai aussi avec l'intelligence » (1 Cor. 14 : 15). Peut-être peut-on établir une comparaison avec cette offrande de gâteau cuit dans la poêle, faite de fleur de farine et d'huile, présentée au sacrificateur qui l'apportait à l'autel où il la faisait fumer, une odeur agréable à l'Eternel (Lév. 2 : 7-9) ?
            Ce psaume célèbre la Personne du Messie, ses paroles, son oeuvre. Les psaumes précédents mettaient en évidence la détresse d'Israël. Le Psaume 44 s'achevait par ces paroles : « Lève-toi, aide-nous, et rachète-nous à cause de ta bonté » (v. 26). Or voici immédiatement que ce Psaume 45, s'adressant au résidu qui traverse la grande tribulation, parle d'un « homme vaillant » qui va venir le délivrer pour toujours, et dont le royaume sera éternel (Dan. 4 : 3) ! La relation du Messie sera alors pleinement rétablie avec son peuple terrestre restauré, en particulier avec Jérusalem, la ville du grand roi, bénie entre toutes ! Elle prospèrera sous le sceptre du Roi de justice et de paix, de l'Oint de l'Eternel.
            Avant d'entrer un peu dans les détails de ce chant nuptial, citons d'abord les Ecritures, au livre du prophète Esaïe : « Car celui qui t'a faite est ton mari : son nom est l'Eternel des armées et ton rédempteur, le Saint d'Israël : il sera appelé Dieu de toute la terre » (Es. 54 : 5). Et encore : « Et tu seras une couronne de beauté dans la main de l'Eternel et une tiare royale dans la main de ton Dieu… car on t'appellera : mon plaisir en elle, et ta terre : la mariée ; car le plaisir de l'Eternel est en toi et ton pays sera marié. Car comme un jeune homme épouse une vierge, tes fils t'épouseront, et de la joie que le fiancé a de sa fiancée, ton Dieu se réjouira en toi » (Es. 62 : 3-5). Ce sera vraiment un temps d'une incomparable splendeur !
            Avant cette union mystique de Christ avec son peuple terrestre, objet du libre choix de la grâce, la Parole déclare : « Exulte et réjouis-toi, fille de Sion ! Car voici, je viens et je demeurerai au milieu de toi, dit l'Eternel. Et beaucoup de nations se joindront à l'Eternel en ce jour-là, et elles me seront pour peuple, et je demeurerai au milieu de toi ; et tu sauras que l'Eternel des armées m'a envoyé à toi... Et il arrivera que, celle des familles de la terre qui ne montera pas à Jérusalem pour se prosterner devant le Roi, l'Eternel des armées…. sur celle-là, il n'y aura pas de pluie » (Zach. 2 : 1O-11 ; 14 : 17 ; Es. 60 : 12). Il faudra absolument se rendre à Jérusalem pour y apporter ses hommages à l'Eternel.
            L'épouse juive - l'épouse terrestre - est soigneusement distinguée de celle qui, dans le livre de l'Apocalypse, est appelée « l'épouse, la femme de l'Agneau » (Apoc. 21 : 9). Les noces de l'Agneau ont lieu dans le ciel (Apoc. 19 : 7). Les rachetés du Seigneur s'acheminent vers leur ultime destinée. Ils jouiront éternellement de la beauté éclatante de l'Epoux et de l'étendue de son amour. Ils chanteront sans fin dans le ciel le cantique nouveau, alors que les festivités nuptiales d'Israël auront lieu sur la terre.
            Qu'il s'agisse de l'épouse céleste ou de l'épouse terrestre, la même relation instituée par Dieu –celle du mariage– est employée pour décrire présentement des réalités spirituelles. L'amour de Christ pour les saints, son exquise tendresse, nous sont ainsi révélés car « il n'y a qu'un seul et unique domaine où Dieu ne puisse se suffire à lui-même : c'est celui de son amour. Son amour a besoin pour les rendre heureux, d'autres êtres que Lui ! » (JND). Et dans ces coeurs le Saint Esprit produit la réponse attendue d'un véritable amour.
 
            « Mon coeur bouillonne d'une bonne parole : je dis ce que j'ai composé au sujet du roi ; ma langue est le style d'un écrivain habile (v.1).
            C'est l'Esprit de Dieu qui fait ainsi bouillonner le coeur de l'auteur inspiré et aussi, au cours des siècles, celui des rachetés du Seigneur ! Ce n'est pas ici le bouillonnement de la chair (Gen. 49 : 4) mais celui que produit la « fontaine jaillissant en vie éternelle » (Jean 4 : 14) ! La langue du racheté devient semblable à un roseau dont une Main habile et alerte, se sert pour exprimer les pensées et les sentiments du coeur.
 
            « Tu es plus beau que les fils des hommes ; la grâce est répandue sur tes lèvres ; c'est pourquoi Dieu t'a béni à toujours » (v. 2).
            Dans cette hymne chantée en l'honneur de Christ, sa grâce est mentionnée d'abord, elle lui confère une beauté ravissante. Lors de sa première venue sur la terre, à Nazareth, dans la synagogue, « tous lui rendaient témoignage et s'étonnaient des paroles de grâce qui sortaient de sa bouche » (Luc 4 : 22). « Jamais homme ne parla comme cet homme » (Jean 7 : 46), doivent avouer les huissiers ! « Celui qui aime la pureté de coeur a la grâce sur les lèvres (Prov. 22 : 11). Quelle gloire morale ! Christ a été l'expression de la grâce parfaite : il a partagé l'existence des pauvres, intervenant là où tout était deuil et désolation. On lui amenait des malades sur des grabats et Il les guérissait. Sa bonté le poussait sans cesse vers les affligés : Il était le serviteur humble et dévoué de tous. Aussi, quand Il cite Esaïe : « Il m'a oint pour annoncer de bonnes nouvelles aux pauvres… pour renvoyer libres ceux qui sont foulés et pour publier l'an agréable du Seigneur », Il omet alors volontairement la suite du passage : « le jour de vengeance de notre Dieu » (Es. 61 : 1-2). Cependant, en retour de son amour, Il a été douloureusement humilié par les hommes (Ps. 109 : 4). Et sur la croix Jésus a porté le poids de la colère de Dieu contre le péché, et Il a connu la souffrance absolue dans un silence oppressant, au sein d'épaisses ténèbres.
            Mais dans ce Psaume 45, Il apparaît sous les traits du vainqueur, dans sa gloire officielle. Des jugements guerriers vont précéder la célébration du mariage de Christ avec Israël.
  
            « Ceins ton épée sur ton côté, homme vaillant, dans ta majesté et ta magnificence … mène en avant ton char, à cause de la vérité et de la débonnaireté et de la justice ; et ta droite t'enseignera des choses terribles » (v. 3-4).
            La puissance du Roi s'affirme dans le jugement terrifiant qu'Il accomplit alors. L'invitation s'adresse à Celui qui est le héros de ce cantique triomphant, à Christ. Le Roi victorieux va mener son char en avant, se frayer un passage à travers les rangs ennemis. « A cause de la vérité » - foulée aux pieds par de mauvais conducteurs - « ils ont  repoussé le jugement en arrière et la justice se tient loin ; car la vérité a trébuché sur la place publique, et la droiture ne peut entrer » (Es. 59 : 14), « voici un roi règnera en justice … » (Es. 32 : 1).
 
            « Tes flèches sont aiguës - les peuples tomberont sous toi - dans le coeur des ennemis du roi » (v. 5 ; Es. 5 : 28) !
            L'expression « à cause » montre que le jugement a le caractère d'une rétribution méritée. Sa justice absolue s'exerce dans son gouvernement. Le combat, le succès foudroyant de ses armes, sont décrits en quelques mots. Heureux ceux qui auront su profiter en temps voulu de la grâce offerte (2 Cor. 6 : 2) ! 
 
 
            Les versets suivants (6-9) présentent brièvement les traits essentiels de Christ sur son trône éternel, salué comme Dieu. C'est sa gloire divine. Il est Celui sur lequel repose la plénitude de la bénédiction (v. 7). La gloire de son royaume resplendit de tout son éclat et nous sommes ravis par la magnificence de sa cour.
 
            « Ton trône, ô Dieu, est pour toujours et à perpétuité ; c'est un sceptre de droiture que le sceptre de ton règne » (v. 6).
            Cette Ecriture est citée dans le premier chapitre de l'épître aux Hébreux, ce passage de l'Ecriture qui affirme la supériorité du Fils par rapport à toute sa création. Contemplons Christ sur son trône : Il est Dieu, le Fils adorable, infiniment supérieur aux anges.
            Le sceptre qu'Il tient dans sa main percée à la croix, est l'insigne de la prééminence, de la royauté, de l'autorité exercée d'une manière absolue. On se souvient comment à Suse, la capitale de son royaume, Assuérus assis sur son trône voit venir vers lui, suppliante, la reine Esther. Il lui tend le sceptre d'or, illustration de sa souveraineté ; alors Esther peut en toucher le bout et présenter sa requête en faveur du peuple d'Israël (Est. 5 : 2). Le Seigneur est « le bienheureux et seul souverain de ceux qui règnent et le Seigneur de ceux qui dominent » (1 Tim. 6 : 24). S'il s'agit de la royauté de Christ sur son peuple, Il est « de Juda » (Héb. 7 : 14). Or, Jacob a prophétisé, disant : « Le sceptre ne se retirera pas de Juda » (Gen. 49 : 10). Il est annoncé aussi que le Seigneur brisera tous les adversaires avec un sceptre de fer (Ps. 2 : 9). « Et il les paîtra avec une verge de fer » (Apoc. 2 : 27). Mais avec Christ, rien de despotique, d'arbitraire : « c'est un sceptre de droiture que le sceptre de ton règne ».
 
            Tu as aimé la justice et tu as haï la méchanceté ; c'est pourquoi Dieu, ton Dieu, t'a oint d'une huile de joie au-dessus de tes compagnons » (v. 7).
            Il s'agit bien du Fils éternel. La justice du Seigneur est équitable, en parfaite harmonie avec sa nature divine. Il est oint d'une huile de joie comme homme, bien qu'il soit Dieu. Cette huile de joie est en contraste direct avec le deuil. L'Ecriture parle de « consoler tous ceux qui mènent deuil, pour mettre et donner à tous ceux de Sion qui mènent deuil l'ornement au lieu de la cendre, l'huile de joie au lieu du deuil, un vêtement de louange au lieu d'un esprit abattu… » (Es. 61 : 2-3).
            « … Au-dessus de tes compagnons ». Quand le royaume est établi, ces compagnons sont, prophétiquement, le résidu juif de la fin. Les hommes forts de David en fournissaient un type. Mais ce sont aussi sans doute ceux dont parle un autre psaume rempli, précisément, de la joie du royaume : « Les rois de Tarsis et des îles lui apporteront des présents, les rois de Shéba et de Seba lui présenteront des dons. Oui, tous les rois se prosterneront devant lui, toutes les nations le serviront » (Ps. 72 : 10-11).
            Christ a aussi d'autres compagnons qui dans le temps actuel ont le privilège d'être « devenus les compagnons du Christ » (Héb. 3 : 14). Ils ont été fait participants d'un appel céleste et non terrestre et ils sont invités à considérer l'apôtre et le souverain sacrificateur de leur confession (Héb. 3 : 1).
 
            « Tous tes vêtements sont myrrhe, aloès et casse, quand tu sors des palais d'ivoire d'où ils t'ont réjoui » (v. 8).
            L'époux, Christ, a ses vêtements imprégnés de parfums rares et recherchés : la myrrhe rappelle ses souffrances, l'aloès sa mort (Jean 19 : 39 ; voir aussi le Cant. 4 : 13-14) et la casse (un mot différent est employé pour l'huile sainte) : son élévation. Ces substances parfument délicieusement les robes royales, tandis que dans les palais d'ivoire, des instruments à corde ont réjoui sa Majesté. Les parfums dont les vêtements du Seigneur sont imprégnés expriment ses vertus, ses perfections, comme aussi les grandeurs et les gloires de son oeuvre accomplie !
            Mais ce qui aura pour Christ plus de prix que toutes ces gloires, ce sera la beauté de l'Epouse qui lui sera présentée : ici il s'agit de Jérusalem et de l'amour qu'elle Lui rendra.
            Des coeurs aimants et dévoués ont offert à Jésus, dans un culte saint, ces mêmes parfums suaves, à l'heure unique de sa mort et de son ensevelissement. On se souviendra toujours de l'onction sainte de nard pur offerte par Marie à Béthanie, et des paroles du Seigneur, réjoui par son amour : « Permets-lui d'avoir gardé ceci pour le jour de ma sépulture » (Jean 12 : 7). Pensons aussi à Joseph d'Arimathée, qui apporte au moment convenable le suaire et offre son sépulcre neuf tandis que Nicodème fournit pour embaumer le corps de Jésus une mixtion fort abondante de myrrhe et d'aloès (Jean 19 : 38-42).
            Notre privilège en tant que chrétiens, est de Lui exprimer dès maintenant notre amour reconnaissant. Le culte du premier jour de la semaine réunit toutes ces strophes que l'Esprit a enseignées aux rachetés durant les jours de la semaine, sur le thème inépuisable des gloires et des grâces du Seigneur Jésus. 
 
            « Des filles de roi ont été parmi tes dames d'honneur ; la reine est à ton côté, parée d'or d'Ophir » (v.  9).
            Le faste entoure le mariage du Christ triomphant. Quelle escorte, quel cortège accompagne solennellement le Roi ! La droite est toujours la place d'honneur (1 Rois 2 : 19). L'or d'Ophir, un métal noble par excellence (Job. 22 : 24). Tout est somptueux et digne du grand Roi des rois !
 
            « Ecoute, fille ! et vois et incline ton oreille ; et oublie ton peuple et la maison de ton père ; et le roi désirera ta beauté, car il est ton Seigneur : adore-le » (v. 10-11). 
            Comme le ferait un instructeur, l'auteur du Psaume s'adresse maintenant à l'épouse : tout ce qui appartient à son passé est laissé de côté. Pour suivre son époux royal, la reine abandonne tout sans regret : et son peuple et la maison de son père. Ce qui nous empêche bien souvent de contempler vraiment le Seigneur, c'est que nous n'avons pas oublié nos relations terrestres, nos liaisons avec la terre.
            Le Saint Esprit exhorte l'épouse - et Il nous exhorte - à faire ce que fit Ruth dans son véritable attachement à Naomi. La jeune femme lui dit : « Car là où tu iras, j'irai, et où tu demeureras, je demeurerai ; ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu sera mon Dieu… » (Ruth 1 : 16). Une noble affection, un amour pur pour Christ, fait que l'épouse juive trouve en Lui tendresse et bonheur ! Et Christ trouve en elle les délices de son amour !
 
            « Et avec une offrande, la fille de Tyr, les plus riches du peuple (ou : des peuples) rechercheront ta faveur » (v. 12).
            La fille de Tyr n'est pas un individu mais la ville personnifiée. Ainsi est-il parlé également de la « fille de Sion » ou de la « fille de Babylone ». La fille de Tyr représente les nations qui reconnaissent la suprématie de la Sion du Saint d'Israël : « Tu verras, et tu seras rayonnante, et ton coeur frissonnera et s'élargira ; car l'abondance de la mer se tournera vers toi et les richesses des nations viendront vers toi » (Es. 60 : 5, 10-11).
 
            « La fille du Roi est tout gloire, dans l'intérieur du palais ; son vêtement est de broderie d'or… elles entreront dans le palais du roi » (v. 13-15).
            La broderie était aussi mentionnée pour la confection des vêtements sacerdotaux d'Aaron (Ex. 28 : 39). Ici, c'est la superbe description de la reine dans ses vêtements nuptiaux. C'est de l'intérieur du palais qu'elle doit sortir en grand apparat pour être conduite au Roi, suivie par les vierges et ses compagnes (v. 14). Elles lui seront amenées avec joie et allégresse, pour entrer dans le palais du Roi. Le cortège conduit l'épouse dans sa nouvelle demeure, jusque dans les appartements royaux. Ailleurs on lit : « Le Roi m'a amenée dans ses chambres. Nous nous égayerons et nous nous réjouirons en toi » (Cant. 1 : 4). C'est l'épouse juive, parée pour ses noces, qui exprime l'ardeur de son amour pour Christ. Une alliance indissoluble sera traitée avec la maison d'Israël.
            Mais il y a aussi une autre épouse dans les conseils de Dieu : l'Eglise, l'épouse de Christ (Apoc. 21 : 2). Elle aussi attend la venue de son Epoux : « Sa femme s'est préparée ; et il lui a été donné d'être vêtue de fin lin, éclatant et pur, car le fin lin ce sont les justices des saints (Apoc. 19 : 7-8). Sa robe aussi sera magnifique. Amis, quels « justes actes » aurons-nous personnellement brodés sur elle ?
 
            « Au lieu de tes pères, tu auras tes fils ; tu les établiras pour princes dans tout le pays… les peuples te célébreront à toujours et à perpétuité» (Ps. 45 : 16-17).
            Ces deux derniers versets contiennent une prophétie et une promesse. Il convient de se réjouir, comme autrefois Aser, d'être béni en fils (Deut. 33 : 24). En effet, de cette postérité nombreuse sortiront des princes, qui seront établis dans tout le pays, sur toute la terre, en vue de l'administration du monde millénaire (voir Luc 22 : 28-30).
            Le psalmiste, conduit par le Saint Esprit, déclare : « Je rappellerai ton nom dans toutes les générations ; c'est pourquoi les peuples te célébreront à toujours et à perpétuité » (v. 17 ; Mal. 1 : 11). Toute cette pompe royale officielle fait ressortir la gloire du Seigneur et produit de saintes affections pour Lui. La mention du Nom du Seigneur rappelle à ses rachetés que « Dieu l'a haut élevé et lui a donné un nom au-dessus de tout nom, afin qu'au nom de Jésus se ploie tout genou des êtres célestes et terrestres et infernaux, et que toute langue confesse que Jésus Christ est Seigneur à la gloire de Dieu le Père » (Phil. 2 : 9-11).
 
 
                                                                       Ph. L - 01. 06. 06
 
 
                        Brillant de gloire et de lumière,
                        Tu vas venir en ta splendeur,
                        Et, dans le ciel et sur la terre,
                        Tu régneras, Christ et Seigneur.
                        Mais déjà notre âme,
                        Jésus, te proclame
                        Fils de Dieu, puissant Rédempteur !