Le sermon sur la montagne (3)
Bienheureux ceux qui sont purs de cœur
« Bienheureux ceux qui sont purs de cœur, car c’est eux qui verront Dieu » (Matt. 5 : 8).
Cette sixième béatitude montre à nouveau que le sermon sur la montagne n’établit pas un programme social ou politique, comme on le présente quelquefois aujourd’hui. Le Seigneur Jésus ne s’adresse pas non plus à des incrédules pour les inviter à la repentance et à la foi, même si, en parlant à ses disciples, Il s’adresse également aux foules qui le suivent. Tous ceux qui l’entendaient appartenaient au peuple d’Israël, peuple terrestre attendant son Messie, c’est-à-dire le roi promis par Dieu. C’est pour eux en premier lieu que les principes du royaume de Dieu sont énoncés. Cependant ils s’appliquent aussi aux disciples du Seigneur dans tous les temps.
Disciple signifie en fait « élève, apprenti ». Un bon élève s’efforce toujours d’apprendre autant que possible de son maître, en vue de mettre en pratique par la suite ce qu’il a appris. En même temps, il se soumet volontiers au maître, et reconnaît son autorité. Ceux qui ont suivi le Seigneur Jésus sur la terre ont d’abord été appelés disciples, et ce ne sont pas uniquement les douze apôtres (voir Luc 6 : 13). Nous rencontrons aussi le terme disciple dans le livre des Actes, et même très souvent. Au commencement, c’était manifestement une désignation courante des chrétiens. A la différence des autres appellations - enfants de Dieu, saints et frères -, qui sont souvent utilisées dans les Epîtres pour attirer notre attention sur nos bénédictions, le terme disciples exprime une relation de dépendance ; il implique l’idée d’un maître à imiter ; il engage notre responsabilité.
Pour cette raison, le terme disciple est très approprié pour désigner la relation entre le croyant et le Seigneur dans le royaume de Dieu. En effet, nous sommes appelés à davantage qu’à une soumission purement extérieure ou forcée comme « sujets ». Reconnaître le Seigneur et se soumettre à son autorité doivent aller de pair avec la foi et le dévouement. Et si la domination de Christ sur la terre n’est actuellement que très peu reconnue- on voit plutôt le contraire -, le temps est proche où le royaume de Dieu sera visible pour chacun. Dans le sermon sur la montagne, le Seigneur précise donc les caractères que ses disciples, ses « élèves », doivent manifester. Et il présente aussi bien la bénédiction immédiate que la récompense ultérieure qui sont attachées à ce titre de disciple.
En parlant de ceux qui sont purs de cœur, le Seigneur ne dit pas comment le cœur de l’homme est purifié. La Parole de Dieu le précise ailleurs. En Actes 15 : 9, Pierre dit que Dieu a purifié nos cœurs par la foi (voir aussi Héb. 10 : 22 ; Jac. 4 : 8 ; 1 Pier. 1 : 22). Ici le Seigneur dit simplement : « Bienheureux ceux qui sont purs de cœur » ; il parle de ceux dont les cœurs sont déjà purifiés.
Dans l’Ecriture, le cœur est le siège des pensées, des inclinations et de la volonté (Matt. 9 : 4 ; 12 : 34 ; 24 : 48) ; c’est la « commande centrale » de l’homme. C’est pour cette raison que l’auteur des Proverbes écrit : « Garde ton cœur plus que tout ce que l’on garde, car de lui sont les issues (ou : les résultats) de la vie » (4 : 23). Quel avertissement !
Par nature, personne ne possède un cœur pur, pas même un enfant. Dieu le dit déjà en Genèse 8 : 21 : « L’imagination du cœur de l’homme est mauvaise dès sa jeunesse ». Pour qu’un homme puisse voir Dieu, son méchant cœur naturel doit être entièrement purifié.
Le Seigneur Jésus appelle « bienheureux » ceux qui ont purifié leur cœur par la foi en Lui et qui le gardent ensuite pratiquement pur : « bienheureux ceux qui sont purs de cœur ». C’est la première leçon de ce verset. Et de même qu’un cœur ne peut être purifié aux yeux de Dieu que par la foi au Seigneur Jésus et en son œuvre, il ne peut être maintenu dans un état de pureté pratique que s’il demeure dans sa présence.
On pourrait alors objecter : ne s’agit-il pas ici du fait que ceux dont le cœur a été purifié par la foi en l’œuvre rédemptrice de Christ, verront un jour Dieu dans la gloire ? Car si ceux-là seuls verront Dieu qui ont toujours eu pratiquement un cœur pur, qui pourrait espérer voir Dieu. Dieu soit béni, cette espérance ne se fonde pas sur notre comportement si souvent défectueux, mais exclusivement sur Dieu lui-même. Cependant, gardons-nous de séparer ces deux points de vue. Le fait d’avoir été une fois pour toutes parfaitement purifiés en vue de l’éternité doit précisément nous amener à rechercher cette pureté de cœur dans notre vie quotidienne.
Quelques remarques concernant cette purification pratique sont à leur place ici. En Jean 13, lorsque le Seigneur Jésus s’apprête à laver les pieds de ses disciples, Pierre s’y oppose. Le Seigneur lui répond : « Si je ne te lave pas, tu n’as pas de part avec moi ». Alors Pierre désire aussi le lavage de ses mains et de sa tête, mais le Seigneur lui répond : « Celui qui a tout le corps lavé n’a besoin que de se laver les pieds : il est net (ou : pur) tout entier ; et vous, vous êtes nets » (v. 8-10). D’une part, le Seigneur fait une nette différence entre le lavage initial, qui est unique, et la purification qui suit. D’autre part, il montre la nécessité de ce lavage des pieds toujours renouvelé.
C’est seulement dans la présence du Seigneur que les vrais motifs de notre cœur se manifestent et que nous sommes amenés, si besoin est, à les juger. C’est là que se forme ce désir exprimé par David : « Crée-moi un cœur pur, ô Dieu ! » (Ps. 51 : 10). Pour que cela puisse avoir lieu, il est important qu’il y ait, dans notre vie de foi, des moments de recueillement, des moments où nous sommes seuls avec Dieu ! Cela ne signifie pas que nous ne puissions pas avoir communion avec Lui lors de nos occupations journalières. Mais pour l’examen et la purification de nos cœurs, nous avons besoin d’être seuls dans sa présence. De cette manière seulement, nous pourrons conserver notre juste relation avec Lui et avec nos frères et sœurs. Ce n’est pas sans raison que Paul engage Timothée à chercher la communion avec les croyants qui « invoquent le Seigneur d’un cœur pur » (2 Tim. 2 : 22), et que Pierre appelle les chrétiens à s’aimer « l’un l’autre ardemment, d’un cœur pur » (1 Pier. 1 : 22). Un cœur pur sera par conséquent aussi un cœur heureux, cherchant la gloire de Dieu et le bien de ses frères et sœurs en Christ.
Là encore, le Seigneur, en prononçant le mot « bienheureux », ajoute une merveilleuse promesse : « car c’est eux qui verront Dieu ». A présent, nous vivons et marchons encore par la foi et non par la vue. Mais le moment est très proche où tous ceux dont le cœur a été purifié par la foi verront Dieu.
Le verset 16 de 1 Timothée 6, où il est dit que Dieu « habite la lumière inaccessible » et qu’aucun homme ne L’a vu ni ne peut Le voir, n’est pas en contradiction avec notre verset. Dans sa nature, Dieu est Esprit ; il est invisible. Plusieurs passages de l’Ecriture le disent clairement (Jean 4 : 24 ; Col. 1 : 15 ; 1 Tim. 1 : 17). Mais elle dit aussi que le Fils éternel de Dieu est l’image du Dieu invisible (Col. 1 : 15). Il est également le resplendissement de sa gloire et l’empreinte de sa substance (Héb. 1 : 3). Il est aussi la Parole de Dieu (Jean 1 : 1-18). Ces passages montrent que le Fils, qui lui-même est Dieu, est l’expression parfaite de la déité. Dieu a été manifesté en chair (1 Tim. 3 : 16). C’est en Lui, le Fils de Dieu, devenu homme pour manifester Dieu, et en qui toute la plénitude de la déité habite corporellement, que nous verrons Dieu dans une gloire parfaite et jamais troublée, et que nous adorerons éternellement. Nous serons non seulement pour toujours avec lui, mais « nous le verrons comme il est » (1 Jean 3 : 2).
Pour les croyants juifs du temps du Seigneur et pour ceux qui le verront bientôt comme leur Messie, les paroles : « car c’est eux qui verront Dieu », ont une signification particulière. Déjà au Psaume 24, la question est posée : « Qui est-ce qui montera en la montagne de l’Eternel ? et qui se tiendra dans le lieu de sa sainteté ? » (v. 3). Et la réponse est : « Celui qui a les mains innocentes et le cœur pur... ». Des questions et des réponses semblables se trouvent en Esaïe 33 : 14-16 ; le verset 17 ajoute : « Tes yeux verront le roi dans sa beauté ; ils contempleront le pays lointain ».
Quel moment ce sera lorsque les croyants verront pour la première fois le Fils de Dieu comme leur Rédempteur ou comme leur Messie ! Puis ils le contempleront à toujours.
« Bienheureux ceux qui procurent la paix, car c’est eux qui seront appelés fils de Dieu » (Matt. 5 : 9).
Dans les temps actuels, il n’est guère de pensée qui préoccupe davantage les esprits que la paix dans le monde. Et pourtant, malgré tous les efforts qui sont faits pour obtenir cette paix, nous entendons constamment parler de guerre, et beaucoup d’hommes vivent dans une angoisse continuelle. La Bible nous enseigne qu’une paix universelle s’établira un jour - bientôt peut-être. Cette paix ne sera pas le résultat d’efforts humains, mais sera introduite par Dieu lui-même au commencement du règne millénaire. Le royaume de Dieu sous la domination visible du Seigneur Jésus sera un royaume de paix (Es. 9 : 6-7).
En dehors de la politique de ce monde, la discorde n’épargne pas non plus les hommes, ni même les croyants. Qu’il est difficile pour les humains de vivre ensemble en paix ! Selon les pensées de Dieu, la paix doit caractériser les relations entre ceux qui font partie de son royaume. « Car le royaume de Dieu, ce n’est pas manger et boire, mais justice, paix et joie dans l’Esprit Saint : celui qui en cela sert le Christ est agréable à Dieu et approuvé des hommes » (Rom. 14 : 17-18). La paix est donc une caractéristique permanente du royaume de Dieu, que ce soit à l’heure actuelle ou dans les temps futurs.
Mais la paix n’est pas seulement l’absence de guerre, de querelle ou de division, elle est aussi un effet de la présence de Dieu dans la vie de l’homme. Il est le « Dieu de paix » (Rom. 15 : 33), et son message est l’évangile de paix (Eph. 6 : 15). Cette paix vient de Golgotha, où le Seigneur Jésus a « fait la paix par le sang de sa croix » (Col. 1 : 20). Il est ainsi devenu « notre paix ». Il est venu et a annoncé la bonne nouvelle de la paix à ceux qui étaient loin et à ceux qui étaient près (Eph. 2 : 14-17), afin que des hommes pécheurs et inquiets puissent recevoir la « paix avec Dieu » dans leur conscience (Rom. 5 : 1) et la « paix de Dieu » dans leur cœur (Phil. 4 : 7).
Cette paix personnelle est donc un don de la grâce de Dieu à celui qui croit. Elle est aussi la condition de la vraie paix sur la terre. Mais la paix mutuelle, en particulier entre les croyants, dépend essentiellement de l’état de notre cœur et de notre conduite. C’est pour cette raison que nous sommes si souvent exhortés à poursuivre la paix (Rom. 14 : 19 ; 2 Tim. 2 : 22 ; Héb. 12 : 14 ; 1 Pier. 3 : 11). Dans l’original grec, le même mot apparaît dans tous ces versets, avec le sens de « poursuivre, courir, pourchasser ». Ephésiens 4 : 3 souligne en outre la nécessité d’une application, pour « garder l’unité de l’Esprit par le lien de la paix ». Dieu n’aurait pas consigné ces exhortations dans sa Parole, si elles n’avaient pas été nécessaires ! Quand le Seigneur Jésus dit à ses disciples : « Soyez en paix entre vous » (Marc 9 : 50), nous sommes tous concernés.
Les prophètes de l’Ancien Testament ont déjà beaucoup parlé de la paix sur la terre. Le mot paix (hébreu : « shalom ») désigne le salut complet de Dieu sur la terre, tel qu’il sera réalisé durant le règne de paix du Messie. Actuellement, ce salut et cette paix n’existent pas encore d’une manière universelle, mais on doit pouvoir les déceler déjà dans la vie des disciples du Seigneur. Les croyants peuvent manifester aujourd’hui les caractères du royaume de Christ (Rom. 14 : 17), comme le fera le résidu juif croyant durant la tribulation à venir, avant l’établissement du royaume de dieu en puissance et en gloire sur toute la création.
Malheureusement, la paix ne règne pas toujours parmi les croyants. Au lieu d’avoir les pieds chaussés de la « préparation de l’évangile de paix » (Eph. 6 : 15), il arrive qu’on aille çà et là dans un esprit critique, et même parfois sous le couvert de zèle pour la vérité et la sainteté divines. Ainsi, une erreur chez un frère est interprétée comme un délit, et une expression imprécise comme une fausse doctrine ! De tels reproches, en s’accumulant, peuvent charger lourdement un frère qui n’a pas conscience d’avoir manqué, et le conduisent à se défendre. Bien souvent, il ne s’agit pas de questions doctrinales essentielles, mais plutôt d’imperfections et de faiblesses humaines. Qui, dans un tel cas, est en mesure de rétablir la paix, alors que chacun pense avoir raison ?
La discorde peut même naître dans le service pour le Seigneur : l’exemple des sœurs Evodie et Syntyche, de l’assemblée à Philippes, nous le montre (Phil. 4 : 1).
Quel bienfait s’il se trouve alors quelqu’un qui « procure la paix », un vrai pacificateur qui avec sagesse, patience, amour et compréhension pour les faiblesses humaines, s’attendant au Seigneur, peut aider l’accusé et dissiper les doutes de l’accusateur !
L’esprit de parti parmi les croyants est aussi une grave source de discorde. Un manque d’estime de la part des frères et sœurs, une frustration, un amour-propre blessé, peuvent amener quelqu’un à se retirer, à rassembler autour de lui des partisans : et voilà la discorde consommée ! Qui est alors capable de réconcilier les partis ?
Notre verset nous parle en effet non seulement de ceux qui cherchent et poursuivent la paix, mais aussi de ceux qui la procurent. Il existe bien des personnes paisibles et aimant la paix, mais incapables de procurer la paix lorsque la discorde est là. C’est ainsi que, dans de tels cas, un homme pacifique par nature est en danger d’être infidèle au Seigneur, s’il pense qu’une querelle est réglée dès qu’on n’en parle plus. Mais une telle façon de faire ne peut pas procurer une paix véritable.
Lorsque la paix entre les croyants ou dans une assemblée est troublée, la grâce de notre Seigneur doit agir pour calmer les passions humaines qui souvent se révèlent à ce moment-là. Pour réconcilier, conformément à la pensée de Dieu, des caractères, des sentiments, des convictions et des intérêts opposés les uns aux autres, un grand renoncement à soi-même et une constante dépendance du Seigneur sont nécessaires !
Mais ces soins affectueux ne doivent jamais s’exercer au détriment de la sainteté et de la justice divines. Celui qui désire procurer la paix a besoin d’un sain jugement spirituel. Il doit donc d’abord s’examiner lui-même dans la lumière de Dieu : a-t-il ce cœur pur dont il est question dans la béatitude précédente ? Jacques écrit que « la sagesse d’en haut est premièrement pure, ensuite paisible » (3 : 17). Par conséquent, pour procurer une paix selon Dieu, il faut joindre la vérité à la grâce. Cela ne peut être accompli qu’accompagné de prière, pour demander à Dieu la clarté de vue, l’impartialité, la sagesse et l’amour. Alors seulement, bonté et vérité, justice et paix se rencontreront en pratique dans nos vies. Il faut souvent du temps pour que Dieu puisse agir dans les consciences et les cœurs ; la paix ne peut pas être obtenue de force.
Ceux qui procurent la paix sont donc appelés ici des bienheureux. Le titre de « fils de Dieu » est leur récompense. Un peu plus loin, le Seigneur Jésus mentionne à nouveau le même titre : « Mais moi, je vous dis : Aimez vos ennemis… priez pour ceux qui vous persécutent ; ainsi vous serez les fils de votre Père qui est dans les cieux » (Matt. 5 : 44-45 ; verset semblable en Luc 6 : 35).
Dans l’Ecriture, « être fils de Dieu » n’a pas toujours la même signification. Dans le sermon sur la montagne, où les croyants sont considérés comme disciples dans le royaume de Dieu, ce terme de « fils » a une signification pratique et morale. Un fils ressemble à son père et agit selon sa pensée. Il y a un autre sens de ce mot en ce qui concerne la position du chrétien. Dans la famille et la maison de Dieu, quiconque croit au Seigneur Jésus est par grâce un fils pour toujours (Eph. 1 : 5 ; Rom. 8 : 14-15 ; Gal. 4 : 5-6).
Mais ici sont appelés « fils de Dieu » les disciples du Seigneur qui suivent l’exemple de Dieu lui-même. Ainsi, en agissant selon la pensée de Dieu, nous lui ressemblons moralement, c’est-à-dire que nous manifestons son caractère et le représentons dans ce monde. Nous en avons été rendus capables par la nouvelle naissance, et nous entrons dans les pensées de Dieu par le Saint Esprit qui nous a été donné. Dieu est le grand pacificateur, et en tant que vrais disciples du Seigneur, nous pouvons, nous aussi, procurer la paix.
Le moment viendra où ceux qui procurent la paix seront appelés fils de Dieu, c’est-à-dire officiellement reconnus comme tels. Aujourd’hui, de tels efforts ne sont souvent pas reconnus. Mais un jour, notre Dieu lui-même les reconnaîtra !
Il est bon de préciser que le chrétien ne doit pas abuser de ce verset afin de justifier une participation - même avec des intentions louables - à des actions politiques telles que des initiatives pour la paix ou des marches pacifiques par exemple, dans le but de maintenir ou de créer la paix dans le monde. Certes, nous sommes dans ce monde - pour combien de temps encore ? - mais nous ne sommes plus du monde (Jean 17 : 11, 14, 16). Le Seigneur Jésus peut venir à chaque instant. Par conséquent, notre responsabilité envers un monde qui rejette notre Seigneur et va ainsi au-devant de sa perte, n’est pas « politique », mais seulement spirituelle.
- à prier pour tous les hommes, afin qu’ils soient sauvés et viennent à la connaissance de la vérité (1 Tim. 2 : 1-4) ;
- à être personnellement un témoignage pour notre bien-aimé Sauveur devant tous les hommes (1 Pier. 3 : 15) ;
- pour autant que cela dépend de nous, à vivre en paix avec tous les hommes (Rom. 12 : 18).
A. Remmers – article paru dans le « Messager Evangélique » (1994 p. 77-87)