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CE QUI EST  ESSENTIEL  POUR  UN  CROYANT

 
 Un changement complet, point de départ de la vie chrétienne
 Une vie pour Christ
 La connaissance et l’accomplissement de la volonté de Dieu 
 L'attachement de notre coeur au Seigneur, afin de Le servir à la place assignée !


            Il est fréquent d'entendre dire dans ce monde qu'il faut aller à l'essentiel. Mais il est évident que ce qui paraît primordial varie beaucoup d'une personne à l'autre. Toutefois, un enfant de Dieu qui se laisse éclairer par l'Ecriture apprendra la volonté du Seigneur à son égard. Il était « mort dans ses fautes et ses péchés » (Eph. 2 : 1), mais il a accepté le grand salut que Dieu lui offrait ; il est sauvé « par la grâce », il a reçu le « don de Dieu » (Eph. 2 : 1, 8). Racheté par le « sang précieux de Christ » (1 Pier. 1 : 20), il comprend que sa façon de vivre doit différer totalement de celle du passé. Il a été converti, non pas pour vivre « le reste de la vie terrestre pour des convoitises d’hommes, mais pour la volonté de Dieu » (1 Pier. 4 : 2). Un changement complet a eu lieu : il est « mort au péché », il est « identifié avec Christ dans la ressemblance de sa résurrection » et peut désormais marcher « en nouveauté de vie » (Rom. 6 : 2-4).

 
 
Un changement complet, point de départ de la vie chrétienne

                         « Mort et revenu à la vie… perdu et retrouvé »

            Dans la parabole de Luc 15 : 12-32, le fils prodigue - figure d’un pécheur repentant - avait commencé par dissiper follement tout ce qu’il avait reçu. Il n’est « revenu à lui-même » qu’au moment où il est tombé dans la pire des déchéances et le plus complet dénuement. Alors il s’est levé et il a pris le chemin du retour ; « comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion ; il courut à lui » (v. 20).
            Ayant confessé ses fautes, le fils reçoit un plein pardon. Ses haillons font place à « la plus belle robe » (v. 22). Ne doit-il pas se comporter désormais comme un fils ? Il en a les droits, mais aussi les devoirs.
            Le père - un type de Dieu le Père - déclare : « Mon fils que voici était mort et il est revenu à la vie ; il était perdu et il est retrouvé » (v. 24). Tout est changé pour le croyant : Dieu agit à son égard comme envers un fils qu’il agrée (Héb. 12 : 7). Celui-ci doit éprouver désormais le désir ardent de marcher d’une manière digne de Celui qui est devenu son Père (2 Cor. 5 : 9). 


                        « J’étais aveugle… maintenant je vois »
 
            Dans le récit de Jean 9, l’aveugle de naissance va s’attacher à Christ. Il était dans les ténèbres, or Jésus le guérit : il recouvre la vue (v. 8). Quand on se tient dans la lumière divine, on voit plus clairement son état personnel ! On réalise que l’on est un pécheur et que l’on a besoin d’un Sauveur.
            Cet homme, d’abord très ignorant, va rendre un témoignage de plus en plus net. Il jouit intérieurement d’une certitude essentielle : « Je sais une chose, c’est que j’étais aveugle, et que maintenant je vois » (v. 25). Ainsi armé, il met de redoutables adversaires en déroute. Il sera prêt à se prosterner devant le Fils de Dieu quand Il se sera fait connaître à lui (v. 39). Chassé dehors par le monde religieux, il viendra partager la solitude du Sauveur, pendant les jours de sa chair.
 
 
Une vie pour Christ   
 
                        Sommes-nous étreints par l’amour du Christ ?
 
            L’apôtre Paul expose le motif, pour un racheté, de vivre désormais pour le Seigneur seul. « L’amour du Christ nous étreint, en ce que nous avons discerné ceci, que si un est mort pour tous, tous donc sont morts, et qu’il est mort pour tous afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour Celui qui pour eux est mort et a été ressuscité (2 Cor. 5 : 14-15). En effet, « si quelqu’un est en Christ, c’est une nouvelle création : les choses vieilles sont passées ; voici, toutes choses sont faites nouvelles ; et toutes viennent du Dieu qui nous a réconciliés avec lui-même par Christ, et qui nous a donné le service de la réconciliation » (v. 17-18).
 
           Il est humiliant de voir un chrétien chercher encore à vivre « pour lui-même », c’est en contradiction avec sa nouvelle position. L’égoïsme du cœur naturel ne devrait plus être admis à se manifester. Nous devons porter « toujours, partout, dans le corps, la mort de Jésus » (2 Cor. 4 : 10). Jésus, « mort pour nos fautes et ressuscité pour notre justification » (Rom. 4 : 25), doit être désormais le seul objet de nos cœurs !
            « L’amour de Christ nous étreint », avons-nous lu. Et pourtant, il faut reconnaître combien notre affection pour Lui est faible, comparée à Son immense amour ! Il a éclaté à la croix et se montre tous les jours, à travers les soins appropriés dont Il nous entoure - comme notre Berger, mais aussi notre « avocat - ou Consolateur » (1 Jean 2 : 1) et notre « grand souverain sacrificateur » (Héb. 4 : 14).     

 
                        « Je ne vis plus, moi, mais Christ vit en moi »
                    
            Quelle opinion les hommes qui nous observent sont-ils en droit d’avoir en voyant notre conduite ? Notre vie de « ressuscités »se discerne-t-elle ? Nous suffit-il « d’avoir accompli, dans le passé, la volonté des gens des nations, alors que nous marchions dans la débauche… » (1 Pier. 4 : 3) ? Si nous sommes fidèles, le fruit de l’Esprit abondera. Il pourra alors s’ensuivre de l’opposition (v. 4) : qu’importe, si notre seul but est de vivre pour Lui ! Mais dans quelle mesure avons-nous jusqu’ici réalisé un si beau programme ?
            Nous avons reçu de Dieu une nature capable d’aimer, de se dévouer, de Le servir. Le Seigneur doit être le Centre de notre vie. Paul l’affirme : « Je ne vis plus, moi, mais Christ vit en moi » (Gal. 2 : 20).

            Nos relations antérieures existent toujours, mais elles n’ont plus le même caractère : « Nous ne connaissons personne selon la chair » (2 Cor. 5 : 16). C’est vrai dans la famille, mais aussi avec toutes les personnes rencontrées dans notre activité journalière. « Toutes choses sont faites nouvelles » (v.17) ; le croyant est, lui aussi, une « nouvelle création ». Il est encore dans le monde, mais il ne lui appartient plus (Jean 17 : 16). Son espérance est céleste, il n’est plus concerné par les aspirations habituelles sur cette terre.
 
 
                        « Ambassadeurs pour Christ »
 
            Réconciliés avec Dieu par l’œuvre de Celui qui a expié nos péchés, nous avons maintenant le grand honneur d’être « ambassadeurs pour Christ » (2 Cor. 5 : 20) vis-à-vis des hommes inconvertis que Dieu place sur notre chemin. Il y a urgence de s’occuper sans relâche de ce service de la « réconciliation ». Le temps presse, la porte de la grâce va se fermer définitivement !
            Aussi, remplis de l’amour de Christ à l’égard de ceux qui sont encore « loin », notre désir est de nous hâter. En revanche, sans cet amour dans le cœur pour ceux qui sont perdus, le plus éloquent prédicateur est
« comme un cuivre qui résonne » (1 Cor. 13 : 1).

 
                        Nous serons « tous manifestés devant le tribunal de Christ »
 
            N’oublions pas que notre conduite ici-bas a des conséquences éternelles. Il n’y a plus de condamnation pour les enfants de Dieu, mais au « tribunal de Christ » (2 Cor. 5 : 10), chacun recevra, selon son comportement ici-bas, des couronnes et des récompenses, ou au contraire éprouvera « une perte » (1 Cor. 3 : 14-15 ; 2 Tim. 4 : 8).
            Nous ne sommes pas appelés à servir le Seigneur comme le feraient des mercenaires. Etant les objets d’un si grand salut, notre désir n’est-il pas de Lui être agréables à tous égards ? L’apôtre Paul savait qu’il recevrait une « couronne incorruptible », la « couronne de justice » (1 Cor. 9 : 25 ; 2 Tim. 4 : 8). Mais si nous sommes infidèles, nous n’en recevrons pas ; elles seront données à d’autres.

            Un chrétien peut, hélas, se laisser influencer par les pensées de ce monde, adopter ses plans et lui ressembler à bien des égards. Il devient ainsi incapable de « prendre à cœur » ceux qui, autour de lui, sont pourtant sans Dieu et sans espérance dans ce monde. Quelle « couronne » peut-il espérer recevoir ? Il est très attristant de penser qu’un croyant puisse comparaître un jour devant le Seigneur sans recevoir de Sa part un témoignage de satisfaction (2 Cor. 5 : 11 ; Matt. 25 : 21, 23).

            Pensons beaucoup plus au tribunal de Christ, à « ce jour-là » (2 Tim. 1 : 12), comme dit Paul, qui, lui, ne le perdait jamais de vue (2 Tim. 4 : 8).

 
 
La connaissance et l’accomplissement de la volonté de Dieu
 
            Souvenons-nous toujours que nous avons été rachetés pour Dieu par l’Agneau de Dieu, au prix de son sang versé. Il a désormais tous les droits sur nous : notre corps, notre cœur, nos capacités, notre temps et tous ces biens qu’Il nous confie, lui appartiennent ! Paul dit aux Corinthiens : « Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint Esprit… et que vous n’êtes pas à vous-mêmes ? Car vous avez été achetés à prix ! Glorifiez donc Dieu dans votre corps » (1 Cor. 6 : 19-20). Un service « intelligent » pour le croyant sera de présenter son corps « en sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu » (Rom. 12 : 1). Il doit dépenser ses forces au service de Dieu, et ressembler un peu en cela à l’holocauste qui se consumait lentement sur l’autel.
 
 
                        La volonté de Dieu quant au mariage
 
            En toutes choses, il faut discerner la volonté du Seigneur, « bonne, agréable et parfaite » (Rom. 12 : 2). C’est le cas à l’égard du mariage, un choix essentiel. Il faut d’abord savoir attendre le moment voulu par Dieu, dans la pureté et la chasteté, en Le servant (1 Cor. 7 : 32b ; 34a). Une communion habituelle avec le Seigneur, jointe à une humble soumission à sa Parole, nous révèlera Ses pensées sur cet important sujet. En fait, Dieu nous laisse libres. Il ne nous ordonne pas de rester célibataire ni de nous marier. Le point essentiel, là comme ailleurs est d’avoir le désir de Le glorifier.
            Alors, si l’on envisage un mariage, il faut se demander si nous pourrons vraiment servir Dieu ensemble. Impossible si l’on se place sous un « joug mal assorti » avec un incrédule (2 Cor. 6 : 14-18), quelles que soient les illusions que l’on peut nourrir à ce sujet. Vivre ensemble avec des divergences fondamentales sur des sujets essentiels concernant le temps présent et l’éternité, est un frein puissant, une source de désordre et de ruine dans la famille.
 
 
                        Le choix d’une profession
 
            Une autre question se pose après notre conversion : l’exercice de notre métier doit tenir compte des droits et de l’honneur dus au Seigneur.
            Le chrétien peut-il choisir sa profession de son propre chef ? Ne doit-il pas plutôt laisser Dieu le conduire ? Il est normal qu’un homme « de la terre » n’ait que celle-ci pour horizon lorsqu’il choisit sa carrière ; mais un enfant de Dieu qui réalise un peu les devoirs liés à sa nouvelle condition, celle d’esclave de Jésus Christ, désire se laisser guider par un appel divin.

            Encore incroyants, nous avions pu nous engager dans une profession incompatible avec le témoignage chrétien. Même si cela implique des « sacrifices », il convient, sans plus attendre, de prendre la décision d’abandonner un travail qui aurait inévitablement une influence néfaste sur notre vie spirituelle. « Personne ne peut servir deux maîtres » (Matt. 6 : 24). Ne prétendons pas « servir » Dieu si en réalité nous sommes entraînés par la « façon de vivre de ce monde » (Eph. 2 : 2).

            Beaucoup d’entre nous souffrent de « pressions » de la part de leurs employeurs qui veulent les contraindre à travailler toujours davantage ; cela est encore plus fréquent lorsque les services que nous rendons sont appréciés - ce qui devrait d’ailleurs toujours être le cas (1 Tim. 6 : 2). Nous risquons alors, peu à peu, de nous aigrir sous une tâche excessive. Notre témoignage en souffrira dans ce milieu mondain où nous sommes appelés à passer, contre notre gré, la majeure partie de nos journées.

            Ne nous laissons donc pas conduire par nos goûts, nos ambitions, et le désir de nous élever dans la société ! Soyons prêts à exercer le métier qui sera compatible avec le service que le Seigneur veut bien nous confier ici-bas, durant notre courte vie (Ps. 90 : 9-10, 12). Ayons vraiment le désir de faire la volonté de Dieu et de marcher dans les « bonnes œuvres » qu’Il prépare « à l’avance » pour chacun des siens (Eph. 2 : 10). L’occupation qu’Il nous confiera sera alors peut-être beaucoup plus modeste à vue humaine que nous ne l’aurions imaginé. Soyons assurés cependant que le Seigneur sait nous serons le mieux à même de Le glorifier.
 
 
                        Donner la première place au Seigneur
 
            Parfois Dieu doit recourir, à cause de notre obstination à suivre notre propre chemin, à la « bride » et au « mors » (Ps. 32 : 9). Son désir est de nous enseigner plutôt, jour après jour, le chemin où nous pouvons suivre Ses traces. Il veut nous conseiller. Ses regards se portent constamment sur les siens (v. 8). Ce sont plutôt nos yeux qui se fixent sur d’autres objets que Christ !
            Un danger continuel est de chercher à « nous plaire à nous-mêmes » (Rom. 15 : 1) ; il est accru - paradoxalement - dans ces carrières considérées comme « spirituelles » où notre service est pourtant, semble-t-il, plus directement « pour le Seigneur ».

            L’essentiel pour un enfant de Dieu est de ne jamais faire un pas sans le Seigneur, et d’accepter, même si cela lui déplaît, de faire chaque pas en se soumettant à Sa volonté.
 
 
 
L'attachement de notre cœur au Seigneur, afin de Le servir à la place assignée !
 
                        « Le connaître, Lui »
 
            Retenons les paroles que l’apôtre Paul nous a laissées dans une sorte d’autobiographie inspirée : « Les choses qui pour moi étaient un gain, je les ai considérées, à cause du Christ, comme une perte… à cause de l’excellence de la connaissance du Christ Jésus mon Seigneur… je les estime comme des ordures, afin que je gagne Christ… - pour le connaître, lui, et la puissance de sa résurrection, et la communion de ses souffrances, étant rendu conforme à sa mort… je fais une chose : oubliant ce qui est derrière, et tendant avec effort vers ce qui est devant, je cours droit au but pour le prix de l’appel céleste de Dieu dans le Christ Jésus (Phil. 3 : 7-14).
 
 
                        Avoir un « œil simple »
 
             Celui dont l’œil est « en bon état » (Matt. 6 : 22) - littéralement : « simple » - n’a plus qu’un objet devant lui ; il s’attache à ne plus faire qu’une seule chose, considérée à juste titre comme essentielle. Ces dispositions intérieures faisaient défaut au jeune homme riche de l’évangile. Jésus l’aimait et aurait voulu le délivrer de son addiction à une grande idole : l’argent. Il lui dit : « Une chose te manque : va, vends tout ce que tu as, donne aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel ; et viens, suis-moi » (Marc 10 : 21). Le jeune homme est consterné par cette parole et il s’en va tout triste, car il avait de « grands biens » (v. 22) - sur la terre, bien sûr !
            C’est dans ce piège que de nombreux chrétiens tombent, influencés par le monde matérialiste où nous vivons.
 
 
                        « Tu te tourmentes de beaucoup de choses ; mais il n’est besoin que d’une seule… »
 
             Considérons un peu la conduite de Marthe en Luc 10 : 38-42. Elle aimait le Seigneur, elle était toute disposée à Le servir ainsi que les siens (Matt. 25 : 40). Elle le recevait volontiers dans sa maison. Or ici, Il vient d’arriver avec au moins ses douze apôtres avec Lui. Alors, Marthe s’affaire, elle est en souci, elle voudrait tellement que, sous son toit, tout soit digne d’une telle présence. Elle est très occupée par « beaucoup de choses » et elle voit sa chère sœur, Marie, tranquillement assise aux pieds de Jésus, écoutant sa Parole (v. 39). Contrariée, par ce qui lui paraît être de l’égoïsme ou de l’inconscience devant tous ces besoins pressants, Marthe s’approche de Jésus et lui dit : « Seigneur, ne te soucie-tu pas que ma sœur me laisse seule à servir ? Dis-lui donc de m’aider » (v. 40b). Jésus lui répond : « Marthe, Marthe, tu t’inquiètes et tu te tourmentes de beaucoup de choses ; mais il n’est besoin que d’une seule, et Marie a choisi la bonne part, qui ne lui sera pas ôtée » (v. 41-42).
            Le service de Marthe n’est certes pas à rejeter. Apaisée, soumise, elle le poursuit : son privilège est de servir le Seigneur et les siens (Jean 12 : 2b). Mais au-delà de ce service, il y a une attitude plus importante encore. Jésus veut que nous apprenions à réserver tout le temps nécessaire simplement pour être d’abord avec Lui ; laissons-Le parler à notre âme, sinon elle sera bien vite affamée et altérée !
 

                            Préoccupés des choses de la terre,
                            Nous avons tous oublié tant de fois
                            La chose, ô Christ, qui seule est nécessaire,

                            D’être à tes pieds et d’écouter ta voix !
                            Mais à nos cœurs, ton Esprit fait entendre

                            Que tu reviens des cieux, céleste Epoux !
                            Avec ferveur, nous désirons t’attendre :

                            Réveille-nous, Seigneur, réveille-nous !

 
 
                        Choisir la « bonne part »
  
            Nous connaissons tous sans doute les heureuses conséquences, pour Marie, du choix de la « bonne part » (Luc 10 : 42) ; aux pieds de Jésus, elle avait acquis un plus grand discernement. Dans sa souffrance, lors du décès de son frère Lazare, elle viendra trouver la consolation auprès du Seigneur (Jean 11 : 32) ; elle saura aussi saisir le moment convenable pour répandre un parfum pur et sans mélange sur les pieds de Jésus (12 : 3).
            L’adoration est pour chaque croyant un service éternel ; il surpasse tous les autres - ceux que le Seigneur veut bien nous confier ici-bas pour un temps. C’est près de Lui, en entrant souvent dans le sanctuaire (Ps. 27 : 4), que notre conduite ne sera pas entachée par l’influence terrifiante de ce monde. Il est primordial de rester près de Lui ! Il nous amènera ainsi à comprendre ce qu’un croyant doit rechercher et maintenir, à Sa gloire.
 
                                                                                             Ph. L. - le 17. 08.11
 
 

A lire aussi sur le site : plusieurs articles concernant le travail du chrétien (rechercher dans Sujets, à la rubrique « Travail du croyant »).