bible-notes.org

Imprimer ou partager la page :

Simon Pierre : conversion, affranchissement et consécration à Christ


Les premiers contacts entre le Seigneur et Simon Pierre
            La conversion et la consécration de Pierre
            Le début d'un précieux apprentissage pour ce jeune croyant
La confession de Pierre en Matthieu 16
            Une question cruciale
            L'assemblée bâtie sur le roc et la nécessité des souffrances de Christ
            Le propos insensé de Pierre
            Le renoncement pour Christ
La restauration de Pierre et la mission reçue envers les brebis du Seigneur

 

            En considérant quelques étapes de la vie de Pierre, nous proposons de rappeler comment ce disciple a été appelé, puis formé et instruit par son Maître. Nous nous arrêterons plus particulièrement sur l'enseignement de Matthieu 16, avant d'évoquer brièvement la fin du ministère de Pierre.

 

Les premiers contacts entre le Seigneur et Simon Pierre

                        La conversion et la consécration de Pierre

            André, le frère de Simon Pierre, était l’un des deux qui, après avoir entendu Jean le baptiseur dire : « Voilà l’Agneau de Dieu ! » , avait suivi Jésus et était demeuré auprès de Lui ce jour-là. André trouve ensuite son frère Simon et lui dit : « Nous avons trouvé le Messie » (ce qui se traduit par : Christ). Il le mène à Jésus, qui le regarde et lui dit : « Tu es Simon, le fils de Jonas ; tu seras appelé Céphas » (ce qui se traduit par : Pierre) (Jean 1 : 36-42).
            Plus tard, Jésus se tient sur le bord du lac de Génésareth et la foule se presse autour de Lui pour entendre la Parole de Dieu. Il aperçoit deux barques près du rivage. Les pêcheurs en sont descendus et lavent leurs filets. Jésus monte dans l’une de ces barques ; or elle appartient à Simon. Il lui demande de s’éloigner un peu de la terre et après s’être assis, Il enseigne les foules (Luc 5 : 1-3).
            Quand Il cesse de leur parler, Jésus dit à Simon : « Mène en eau profonde, et lâchez vos filets pour la pêche ». Simon lui répond : « Maître, nous avons travaillé toute la nuit et nous n’avons rien pris ; mais sur ta parole, je lâcherai les filets » (v. 4-5). Il est prêt à obéir au Seigneur. Chers lecteurs, sommes-nous tous prêts à nous fier à Sa parole ?
            Ils prennent alors une grande quantité de poissons… Voyant cela, Simon Pierre se jette aux genoux de Jésus, disant : « Retire-toi de moi, Seigneur, car je suis un homme pécheur ». Le Seigneur répond : « Ne crains pas ; dorénavant tu prendras des hommes » (v. 8, 10) ! Alors Simon, avec Jacques et Jean, quittèrent tout et Le suivirent (v. 11). Sommes-nous disposés à confesser sans réserve au Seigneur notre misère morale, comme Pierre l’a fait ? A tout laisser pour Le suivre et à dépendre désormais en tout de Lui ?

            Le début d'un précieux apprentissage pour ce jeune croyant

            Pierre est soutenu et encouragé par le Seigneur à poursuivre le même chemin que Lui. Il agit de même avec chaque enfant de Dieu. Notre formation, chers amis chrétiens, se poursuit tout le long de notre course ici-bas. Nous sommes - sans l’avoir peut-être compris - dans l’antichambre de la « salle de noces ». Bientôt, tous les rachetés du Seigneur vont s’y retrouver. Leurs places sont prêtes ; mais il faut que chacun se laisse préparer à rencontrer l’époux (Apoc. 19 : 7-9).
            Il peut y avoir dans le chemin des manquements et même des chutes, malgré l’excellence de l’enseignement reçu ! Mais le Berger restaure notre âme et nous conduit dans des sentiers de justice, à cause de son nom » (Ps. 23 : 3). Dans son amour inaltérable, Il poursuit, sans se lasser, son œuvre dans la conscience et le cœur de chacune de ses brebis. Ainsi formé, Pierre, si prompt au début à se déclarer fidèle jusqu'à la mort, va apprendre l’humilité et devient un homme dans la bouche duquel il n’ y a pas de réplique (Ps. 38 : 14).
            Il ne cherche pas à se justifier, il accepte la juste répréhension du Seigneur (Matt. 16 : 23). Nous devons tous apprendre à dire, à la suite du Fils, Homme parfait ici-bas : « Oui, Père, car c’est ce tu as trouvé bon devant toi » (Matt. 11 : 26).
            Il y a une certaine ressemblance entre Pierre et David. Toutefois, malgré leurs défaillances, ils étaient, aux yeux de Celui qui lit dans le secret du cœur d’un homme, « selon le cœur de Dieu » (Act. 13 : 22 ; Jean 21 : 17). Dieu se sert souvent de tels instruments qui ont perdu leurs prétentions. Ils servent à ses desseins « en leur propre génération » (Act. 13 : 36). Ayons le désir d’entendre de Sa bouche : « Tu as été fidèle en ce qui est peu… entre dans la joie de ton Maître » (Matt. 25 : 21).

 

La confession de Pierre en Matthieu 16

            Le Seigneur avait averti les disciples : ils seraient désormais appelés à rendre témoignage dans un milieu hostile (Matt. 10 : 16-25). « En ce jour-là » (Matt. 13 : 1), Il sort de la maison (en figure d’Israël) où Il n’a pas trouvé de fruit pour Dieu. Il s’assied près de la mer qui représente les nations, dans leur état continuel d’agitation et de confusion. Désormais, elles seront au bénéfice de l’évangile du royaume.

                        Une question cruciale

            Jésus dit à ses disciples : « Et vous, qui dites-vous que je suis ?... Simon Pierre répondit : Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. - Jésus lui dit : Tu es bienheureux, Simon, fils de Jonas, car ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais mon Père qui est dans les cieux » (Matt. 16 : 13, 16-17).

            Jésus s’est retiré à l’extrême nord du pays, dans les quartiers de Césarée de Philippe. Il va ouvrir un chemin de Salut - au-delà des limites d’Israël ! Il commence par demander à ses disciples, l’opinion des hommes à son égard, Lui, « le Fils de l’homme » - titre que Jésus prend souvent dans cet évangile de Matthieu. Les hommes veulent bien admettre qu’Il était quelqu’un d’éminent, un prophète, mais ne croient pas qu’Il est le Fils de Dieu.
            Il pose ensuite à ses propres disciples la même question cruciale - elle l’est aussi pour nous : « Et vous, qui dites-vous que je suis ? ». Amis, sommes-nous capables de dire qui Il est et surtout ce qu’Il est pour nous ? La réponse de Pierre est le fruit d’une foi réelle, mais montre aussi que son intelligence spirituelle a été éclairée. Il a compris que le Fils de Dieu est venu pour révéler le Père (Matt. 11 : 27).
            Jésus déclare que c’est le Père lui-même qui a révélé à Pierre la gloire de son Bien-aimé. Pierre dit : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant ! ». Le contraste est complet avec toutes les idoles de perdition de ce monde. Jésus seul a la vie éternelle - Il la communique à qui Il veut !
            Simon, le fils de Jonas est bienheureux car il a saisi la gloire du Fils ! L’homme naturel - ce que l’on entend en parlant de « la chair et du sang » - est incapable de saisir tant soit peu des choses aussi élevées. Mais une foi intelligente - éclairée par le Saint Esprit - le peut : c’était le cas chez Pierre !

                        L'assemblée bâtie sur le roc et la nécessité des souffrances de Christ

            « Moi aussi, je te dis que tu es Pierre ; et sur ce roc Je bâtirai mon assemblée, et les portes de l’hadès ne prévaudront pas contre elle. Je te donnerai les clefs du royaume des cieux ; tout ce que tu lieras sur la terre sera lié dans les cieux ; et tout ce que tu délieras sur la terre sera délié dans les cieux... Dès lors Jésus commença à montrer à ses disciples qu’il fallait qu’Il aille à Jérusalem, et qu’Il souffre beaucoup de la part des anciens, des principaux sacrificateurs et des scribes, et qu’Il soit mis à mort, et qu’Il soit ressuscité le troisième jour. » (Matt. 16 : 18-21).

            Le Seigneur allait introduire Pierre dans son Assemblée qu’Il avait commencé à bâtir ; Il en ferait partie, avec tous les autres croyants, comme l'une des « pierres vivantes » (v. 18). Jésus s’entretient ainsi pour la première fois, avec ses disciples, au sujet de son Assemblée.
            Il est l’unique et inébranlable fondement : « Sur ce roc, je bâtirai mon Assemblée ». Matthieu est le seul - parmi les évangélistes - à relever ses paroles du Seigneur. Les forces du mal ne peuvent pas prévaloir contre ce qui appartient à Christ, sur ce qu’Il a lui-même édifié. Il est la maîtresse pierre de coin, celle qui soutient tout l’édifice !
            Présentement, Christ est rejeté par Israël. En attendant que les relations avec son peuple soient reprises, à l’aube milléniale, Il bâtit son Assemblée et l’introduit dans la partie céleste du royaume.
            L’Assemblée n’est pas mentionnée ouvertement dans l’Ancien Testament, elle s’y trouve seulement en « termes voilés ». L’union de l’homme et de la femme en est une figure (Gen. 2 : 22).
            C’est à Simon Pierre, le premier nommé parmi les disciples (Matt. 10 : 2), que le Seigneur confie les clefs du royaume. Il va y introduire d’abord des Juifs : trois mille se convertissent le même jour (Act. 2 : 41). Ils sont les premiers à entrer dans l’Assemblée ; des Samaritains sont ensuite introduits (ch. 8) et finalement les nations (Act. 10).
            Le Seigneur commence alors à parler aux disciples des souffrances qui vont être bientôt les siennes. Il va monter à Jérusalem et là, Il y souffrira beaucoup de la part des anciens, des principaux sacrificateurs et des scribes. Ensuite Il sera mis à mort et ressuscitera le troisième jour (v. 21).

                        Le propos insensé de Pierre

            « L’amenant à l’écart, Pierre se mit à Le reprendre en disant : Seigneur, Dieu t’en préserve, cela ne t’arrivera pas ! - Mais Lui se retournant, dit à Pierre : Va arrière de moi, Satan, tu m’es en scandale ; car tes pensées ne sont pas aux choses de Dieu, mais à celles des hommes » (Matt. 16 : 22-23).

            Pierre le prend « à l’écart » et se permet de Le reprendre ! « Seigneur, Dieu t’en préserve, cela ne t’arrivera pas ! ». Cette façon habile de présenter les choses lui avait été suggérée par le diable ! Le Seigneur se retourne et dit à Pierre : « Va arrière de moi, Satan, tu m’es en scandale ; car tes pensées ne sont pas aux choses de Dieu, mais à celles des hommes » (v. 23).
            Pierre, inconsciemment, s’est conduit comme un aspic (Ps. 140 : 3). Il ressemble à Dan, comparé dans l’Ecriture à un serpent qui mord les talons d’un cheval et celui qui le mont, tombe à la renverse (Gen. 49 : 17). Ses pensées sont « aux choses des hommes ». C’est souvent la conséquence pour un croyant de relations « maintenues » avec le monde, sans être vraiment indispensables. Elles ne semblaient sans doute pas dangereuses mais en réalité, elles étaient opposées aux choses de Dieu. Les croyants doivent s’attacher à penser « à ce qui est en haut » (Col. 3 : 2).
            Pierre se permet d’estimer que la mort du Seigneur n’a rien d’inéluctable. Il espère au contraire - et les autres disciples aussi - que le royaume va bientôt s’établir. Si les ennemis de Jésus le font mourir, ce qu’ils espèrent ne se produira pas. Il n’a pas prêté attention à l’assurance si importante du Seigneur au sujet de sa résurrection, trois jours après sa mort expiatoire.
            En se servant de façon inattendue d’un disciple, de Pierre, Satan se présente sous l’apparence d’un « ange de lumière » ; il semble désirer que Jésus reste vivant (2 Cor. 11 : 14) ! Il cherche en réalité à Le convaincre qu’Il peut suivre un autre chemin que celui du sacrifice à la croix. Cependant, Jésus est fermement décidé à s’offrir à Dieu sans tache (Héb. 9 : 14).
            Il veut, dans son amour, sauver sa créature (Eph. 2 : 1). Le Fils fait toujours ce qui plaît à son Père (Jean 8 : 29). Lui parler ainsi était un scandale ! Les desseins éternels de Dieu à l’égard du « Fils de l’homme » ne pouvaient pas s’accomplir si l’œuvre de la croix n’avait pas lieu.
            Dieu permet que Satan soit reconnu et souvent repoussé. En vain, cherche-t-il à entraîner un racheté à mal se conduire si celui-ci se confie dans le Seigneur. Pierre doit réaliser qu’il s’est laissé surprendre par l’Ennemi. Les paroles qu’il lui a suggérées étaient lisses comme le beurre, elles semblaient remplies de sollicitude à l’égard de son Maître (Ps. 55 : 21). Pierre avait parlé, peu de temps avant, « comme oracle de Dieu » (1 Pier. 4 : 11), mais par manque de vigilance, il était ainsi devenu un « instrument » dont Satan n’avait pas manqué de se servir.
            C’est un avertissement pour chaque enfant de Dieu. Déjà « assis dans les lieux célestes dans le Christ Jésus » (Eph. 2 : 6), il est aussi sur une terre occupée par l’Ennemi. Il est de passage ; c’est un étranger, un forain. Sa situation est dangereuse. Il ressemble à un de ces soldats, parachuté derrière les lignes ennemies, durant la guerre. Il est encore là pour servir les intérêts du Seigneur.
            Les croyants sont parmi « ceux qui font leur travail sur les grandes eaux ». Ils sont susceptibles de « monter aux cieux et de descendre ensuite aux abîmes » (Ps. 107 : 26). Enthousiaste, il peut être subitement découragé. Le Seigneur connaît notre faiblesse, nos luttes de chaque jour, mais dans son amour Il ne change pas (Ps. 139 : 1-6). De notre côté, il faut veiller et prier sans cesse - c'est notre ressource continuelle (Matt. 26 : 41 ; Marc 13 : 33, Luc 21 : 36).

                        Le renoncement pour Christ

            Alors Jésus dit à ses disciples : - Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il prenne sa croix et me suive : car quiconque voudra sauver sa vie la perdra ; mais quiconque perdra sa vie à cause de moi la trouvera » (Matt. 16 : 24-25).

            Gardons nos yeux fixés sur Jésus (Héb. 12 : 3). Il a suivi un chemin de renoncement complet et n’a pas caché à ses disciples ce qu’il en coûte de marcher à sa suite. Il faut être prêt à renoncer à soi-même, à prendre sa croix et à Le suivre ! Il ne s’agit pas de laisser ceci ou cela de côté, mais de se mettre de côté chaque fois que le « moi » veut se manifester.
            Matthieu met plutôt l’accent sur les obstacles d’ordre familial ou sentimental. Sommes-nous décidés à gagner Christ, à tout prix (Phil. 3 : 7-8) ?
            Selon la promesse faite par le Seigneur au verset 28 de Matthieu 16, l’apparition en gloire du Seigneur a lieu sur la montagne, devant ses disciples éblouis. Dieu voulait donner à des témoins choisis un aperçu de la majesté royale du Seigneur. Ils ont été les témoins de cette scène extraordinaire, rendus capables de la décrire un peu à d’autres croyants et à des incrédules.
            Pierre est parmi les trois témoins de la transfiguration de Jésus. Il a déjà été là lors de la résurrection de la fille de Jaïrus et le sera aussi à Gethsémané. Le Seigneur lui accorde de faire partie de ce petit cercle de communion très intime, autour de Lui.
            Nous contemplons la façon d’agir de notre Sauveur et Seigneur Jésus Christ. Dans son amour, Il est prêt à purifier une de ses chères brebis, et désireux de la restaurer. De merveilleux fruits à la gloire de Dieu sont toujours produits. Pierre est un de ses rachetés ; le Seigneur agit envers lui comme envers un fils (Héb. 12 : 7). Il détache chez lui l'un après l'autre ces liens qui autrement le retiendraient à la terre.

         L’amour éternel, insondable de Jésus Christ,
         
Le sang versé pour moi, coupable, par Jésus Christ,
         
Me rachète de ma misère, m’arrache à la mort, à la terre,
         
Empreint sur moi le caractère de Jésus Christ.

         Qui me relève dans mes chutes ? C’est Jésus Christ.
         
Qui soutient mon âme en ses luttes ? C’est Jésus Christ.
         
Jésus a parlé : je veux croire que je puis lutter pour sa gloire,
         
Car mon bouclier, ma victoire, c’est Jésus Christ.

         Je vais à mon Père, et ma voie c’est Jésus Christ ;
         
Je suis bienheureux, et ma joie c’est Jésus Christ ;
         
Et si, même dans la souffrance, mon cœur me parle d’espérance,
         
C’est que j’ai mis ma confiance en Jésus Christ.

 

La restauration de Pierre et la mission reçue envers les brebis du Seigneur

           
Pierre vient après la résurrection, avec six autres disciples, au bord de la mer de Tibérias (Jean 21 : 1-22). Cette nouvelle rencontre avec Jésus a donc lieu après son reniement. Des pleurs amers ont déjà été le signe évident de sa repentance. Le souvenir des paroles prémonitoires de Jésus l’a soutenu (Luc 22 : 21-22) durant le terrible creux de vague durant la crucifixion et la mort du Seigneur, suivies de ces trois jours passés dans un tombeau. Le premier jour de sa résurrection, Jésus et Pierre se sont rencontrés, seul à seul.
            Maintenant le disciple restauré entend avec reconnaissance son Maître lui dire avec amour : « Pais mes brebis…Toi, suis-moi » (Jean 21 : 17, 19).

            Il y a dans les deux épîtres de cet apôtre Pierre de riches enseignements spirituels. Mais nous désirons simplement terminer en rappelant la grande vision de Christ dans sa Majesté. Elle n’a pas cessé de fortifier Pierre dans sa foi tout le long de sa course ; elle le peut aussi, nous en avons tous souvent grand besoin.
            Pierre dit : « Nous vous avons fait connaître la puissance et la venue de notre Seigneur Jésus Christ… nous avons été témoins oculaires de sa majesté. Car Il reçut de Dieu le Père honneur et gloire, lorsqu’une telle voix Lui fut adressée par la gloire magnifique : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai trouvé mon plaisir. Cette voix venue du ciel, nous-mêmes nous l’avons entendue quand nous étions avec Lui sur la sainte montagne (2 Pier. 1 : 16-18).
            Paul dit aussi : « Or nous tous, contemplant à face découverte (ou : avec le visage dévoilé) la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur en Esprit » (2 Cor. 3 : 18).

 

Ph. L Le 23-04-2018