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Connaître et mettre en pratique la volonté de Dieu

Deux étapes
Peu de foi 
Volonté propre
Rejet de la volonté de Dieu 
Un but : plaire au Seigneur
Confiance en Dieu et conséquences bénies
Etat spirituel pour connaître la volonté de Dieu
Le chemin de la volonté de Dieu
Soumission au Père et à la Parole
 
« Que vous soyez remplis de la connaissance de sa volonté, en toute sagesse et intelligence spirituelle, pour marcher d’une manière digne du Seigneur afin de lui plaire à tous égards » (Col. 1 : 9-10).
 
Deux étapes
 
            Dans les versets ci-dessus, on peut discerner deux étapes dans la prière exprimée par l’apôtre Paul en faveur des croyants à Colosses :
                        - tout d’abord la pleine connaissance de la volonté divine (le mot « connaissance » est la traduction du mot grec Epignosis qui signifie une pleine connaissance, comme on le trouve en Col. 2 : 2 ; 3 : 10 ; Eph. 1 : 17 ; Mat. 11 : 27).
                        - ensuite l’obéissance à cette volonté dans la marche - une marche avec le Seigneur, comme celle d’Enoch qui « a reçu le témoignage d’avoir plu à Dieu » (Héb. 11 : 5) ; elle dépend du degré de connaissance que nous avons de la volonté divine. Ce niveau dépend lui-même de notre proximité avec le Seigneur. Notre affection pour Lui est sollicitée, afin qu’il en résulte dans la pratique du fruit pour Son plaisir et pour la gloire de Dieu.
            Il n’est pas toujours facile de réaliser la deuxième étape, dans la mise en pratique de la volonté de Dieu par une marche en conformité avec la connaissance qu’Il nous en a donnée. Sa volonté peut parfois s’imposer à nous de telle sorte que nous la discernons clairement. Nous avons prié afin qu’Il nous fasse connaître Son chemin (Ex. 33 : 13), nous avons cherché dans la Parole la lumière pour notre sentier (Ps. 119 : 105). Notre Dieu et Père a répondu à nos prières (Ps. 6 : 9 ; 66 : 19 …). Il nous a éclairé par un passage des Ecritures (Es. 30 : 21) et, dans Sa grâce, Il a ouvert notre intelligence spirituelle et nous a donné de comprendre Sa volonté (Eph. 5 : 17). Il a Lui-même ouvert une porte pour nous (2 Cor. 2 : 12), afin que nous empruntions le chemin qu’Il a préparé. Mais n’arrive-t-il pas souvent que nous ne franchissons pas cette porte ? Il peut y avoir à cela deux raisons : nous n’osons pas ou nous ne voulons pas nous engager dans le chemin que Dieu place devant nous.

Peu de foi
 
 
            Nous n’osons pas avancer parce que nous manquons de foi, de confiance en Dieu. Nous savons pourtant que c’est là Sa volonté, car Il nous a fait comprendre Sa pensée par Sa Parole ou par telle circonstance qu’Il a permise pour nous éclairer. Nous avons compris que Sa volonté nous ouvre le chemin et nous dirige, nous avons entendu Sa voix nous dire : « C’est ici le chemin, marchez-y » (Es. 30 : 21). C’est le chemin dans lequel nous trouverons Son approbation et Sa bénédiction. Mais nous hésitons et nous restons en arrière, car nous manquons de la foi obéissante qui honore Dieu – « Par la foi, Abraham… obéit » (Héb. 11 : 8). Nous regardons à nous-même et non plus au Seigneur ; les circonstances extérieures nous influencent et nous trouvons alors de multiples raisons qui nous paraissent bonnes pour ne pas nous engager dans le chemin pourtant clairement révélé par Dieu. N’entendons-nous pas alors le Seigneur nous adresser ce tendre reproche : « Où est votre foi ? » (Luc 8 : 25) ?


Volonté propre
  
            Nous ne voulons pas – et c’est plus grave – faire la volonté de Dieu, parce que le chemin qu’Il place devant nous n’est pas celui que notre propre volonté a déjà choisi. Nous sommes comme ce malheureux reste de peuple qui demandait par le moyen de Jérémie, le prophète : « Que l’Eternel… nous montre le chemin par lequel nous devons marcher et ce que nous devons faire » (Jér. 42 : 3), alors que son cœur et sa volonté étaient déjà tournés vers l’Egypte (43 : 4-7). C’est toujours un mauvais choix que de faire ce que nous estimons bien à nos propres yeux. C’est marcher par la vue et non par la foi et nous savons que ce n’est pas ainsi que l’on peut plaire à Dieu. On a pu dire que « c’est un manque de droiture que de demander conseil à Dieu, lorsque nous avons un parti pris et que notre volonté est en jeu » (M.T – « Enracinés et édifiés en Lui »). La volonté de l’homme, aussi pleine de bonnes intentions soit-elle, n’est que la volonté de la chair qui s’oppose à celle de Dieu. Nous sommes appelés à marcher par l’Esprit, ainsi nous n’accomplirons pas la volonté de la chair (Gal. 5 : 16, voir aussi 5 : 25). Acceptons par la foi la volonté de Dieu à notre égard, cette volonté dont la Parole nous affirme qu’elle est « bonne et agréable et parfaite » (Rom. 12 : 2b) ; cela nous paraît parfois difficile à admettre et nous n’estimons pas, en ce qui nous concerne, que la volonté de Dieu soit telle. Mais il nous faut voir comme Dieu et pour cela l’exercice de la foi et le discernement spirituel sont nécessaires (Rom. 12 : 2).


Rejet de la volonté de Dieu 
 
            Si nous nous laissons conduire par notre propre volonté, par nos désirs charnels, nous pouvons alors nous comporter comme Balaam, qui avait décidé dans son cœur d’aller avec Balak et de maudire Israël, étant attiré par l’amour de l’argent. Dieu lui fait connaître sans équivoque quelle est Sa volonté (Nom. 22 : 12) : il ne devait pas aller, car Il avait fermé le chemin. Balaam savait donc parfaitement ce qu’il avait à faire et quelle était la réponse qu’il devait donner au roi de Moab. Mais voilà qu’il demande encore « ce que l’Eternel aura de plus à me dire » (v. 19). Nous voyons là que la volonté de Balaam est d’aller vers Balak, et il voudrait que la volonté de Dieu se conforme à la sienne, qui est mauvaise ! Il n’est pas besoin de beaucoup de sagesse ou d’intelligence spirituelle pour comprendre que c’est impossible. Pourtant le prophète est prêt à désobéir à la volonté de Dieu pour obtenir les honneurs et les richesses du roi de Moab. Connaissant ce qui remplit le cœur de Balaam, l’Eternel le laisse faire sa propre volonté. Le prophète s’engage alors, malgré trois avertissements solennels, dans un chemin de perdition (v. 32), qui le conduira à la mort. Il mourra de la mort des ennemis d’Israël et non pas « de la mort des hommes droits » (23 : 10b ; voir Jos. 13 : 22).
            Ainsi, Dieu avait fait connaître sa volonté, puis Il avait arrêté par trois fois Balaam qui s’engageait dans un mauvais chemin. Il s’agissait donc d’une désobéissance flagrante à la volonté de Dieu pleinement révélée et connue. Quel avertissement solennel à ne pas rejeter la volonté de Dieu pour y substituer la nôtre ! « Dieu parle une fois, et deux fois – et l’on n’y prend pas garde », nous dit l’Ecriture (Job 33 : 14). Si, dans Sa grâce, Il nous avertit souvent à plusieurs reprises, gardons-nous toutefois de nous engager dans un chemin de désobéissance à Sa volonté.
            Il nous faut parfois apprendre à rester tranquille car c’est là la volonté de Dieu (Ps. 46 : 10a). Autrefois, Juda et Benjamin s’unirent pour accomplir une œuvre qui leur paraissait très bonne : rassembler tout Israël sous la royauté du seul Roboam, fils de Salomon. Mais l’Eternel a dû leur dire : « Ne montez pas… retournez chacun à sa maison, car c’est de par moi que cette chose a eu lieu » (1 Rois 12 : 21-24). Il fallait écouter la parole de l’Eternel et ne pas faire la guerre à Israël car c’était la volonté de Dieu dont les voies envers son peuple devaient s’accomplir.
            Si le Seigneur m’a fait connaître Sa volonté à l’égard d’un exercice que j’ai placé devant Lui par la prière, il me faut donc ensuite obéir. L’exercice spirituel dans la prière et la recherche de Sa pensée dans la Parole est maintenant terminé. Je dois donc passer à l’étape suivante : m’engager sans crainte dans le chemin où Sa volonté me conduit et dans lequel je serai béni, ma volonté étant entièrement soumise à la sienne. Comme le disait un frère d’autrefois : « A nous l’obéissance, à Dieu les conséquences » ; nous pouvons être assurés qu’un chemin d’obéissance nous vaudra la bénédiction du Seigneur.


Un but : plaire au Seigneur
 
            Le but à atteindre dans la recherche de la connaissance de la volonté de Dieu, c’est de marcher d’une manière digne du Seigneur et pour Son plaisir (Col. 1 : 10). La question que nous pouvons alors nous poser est celle-ci : « Est-ce que je désire plaire au Seigneur ? ». Il m’en donne, pour ainsi dire, l’occasion, en me plaçant devant le chemin dans lequel je suis assuré de Lui plaire puisque c’est Sa volonté que je m’y engage. Attendrais-je maintenant pour avancer ? Manquerais-je de hardiesse pour saisir la bénédiction que Dieu veut me donner dans Son chemin ?
            Nous comprenons bien qu’il ne s’agit pas de confiance en nous, en nos capacités. Tout ce qui vient de l’homme naturel, de la chair, ne peut accomplir la volonté de Dieu et ne peut Lui plaire (Rom. 8 : 8). Mais il s’agit de confiance en Dieu (Ps. 143 : 8) et de capacité qu’Il donne (2 Cor. 3 : 5). La Parole nous avertit : « Sans la foi, il est impossible de lui plaire » (Héb. 11 :6). C’est la hardiesse de la foi qui plaît à Dieu ; elle l’honore et, comme Il le dit Lui-même : « Ceux qui m’honorent, je les honorerai » (1 Sam. 2 : 30b).


Confiance en Dieu et conséquences bénies

            Considérons et imitons l’attitude et le comportement d’Esdras au moment d’entamer le dangereux voyage de Babylone vers Jérusalem (Esd. 8). Tout d’abord il s’enquiert de la volonté de Dieu à l’égard de ce petit nombre de personnes, afin de connaître de sa part « le vrai chemin » - le droit chemin (8 : 21), par le jeûne et la prière (séparation d’avec ce qui peut nourrir la chair et dépendance de Dieu). Dieu répond à son serviteur (8 : 23). Esdras prend alors ses dispositions (8 : 24-30), et ce faible peuple s’engage dans le chemin vers Jérusalem (8 : 31) dans la confiance et l’assurance que donne l’obéissance à la volonté de Dieu connue. Sommes-nous surpris de constater l’issue bénie de leur voyage ? La conclusion de cet exercice de prière pour rechercher la volonté de Dieu « pour nous et pour nos enfants et pour tout notre avoir » - tout Lui est confié -, puis de l’obéissance de la foi à cette volonté, se trouve exprimée en quelques mots, au verset 31 : « Et nous partîmes… et nous arrivâmes ». Il n’est pas besoin d’en dire plus : la volonté divine a été recherchée par l’exercice qui convient et la réponse de Dieu a été reçue en pleine assurance de foi. Esdras et le peuple se sont placés sous la protection divine en prenant le chemin que Dieu avait tracé pour eux. « Dieu prend plaisir à répondre à la confiance des siens » (E. Dennett) ; Il prend toute chose en mains en réponse à la foi d’Esdras et du peuple, et rien de ce qu’ils craignaient n’arrive : « la main de notre Dieu fut sur nous, et il nous délivra de la main de l’ennemi et de toute embûche sur le chemin » (8 : 31 - comp. v. 22b).
            N’en sera-t-il pas de même pour nous dans les circonstances de notre vie sur la terre ? Nous avons bien des choix à faire, qui peuvent avoir des conséquences sur notre vie entière ici-bas. Peut-être ne voyons-nous pas le chemin, dans le grand désert de ce monde ? Ou il se peut que deux chemins se présentent devant nous et nous ne sachions pas lequel nous devons emprunter. Eh bien ! nous avons toujours la ressource de nous tourner vers le Seigneur pour qu’Il nous dirige selon Sa volonté afin que nous fassions ce qui Lui est agréable. « Si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute ; et si nous savons qu’il nous écoute, quoi que ce soit que nous demandions, nous savons que nous avons les choses que nous lui avons demandées » (1 Jean. 5 : 14-15). Ne craignons pas d’avancer lorsqu’Il nous a donné la connaissance du « vrai chemin », car c’est ainsi que l’on marche « d’une manière digne du Seigneur, pour Lui plaire à tous égards ». C’est la marche de la foi qui Lui est agréable et L’honore.
            Lorsque nous lisons notre Bible pour y trouver la volonté du Seigneur à notre égard, nous cherchons peut-être un texte formel pour nous guider, un commandement pour nous diriger. Et il arrive que nous ne trouvions rien. Ne nous décourageons pas ! Pensons que notre Dieu veut que nous soyons exercés devant Lui. L’Esprit nous enseignera afin que nous trouvions dans les Ecritures la connaissance de la volonté de Dieu recherchée avec prière. Ainsi, nous ferons des progrès en sagesse et en intelligence spirituelles, nous acquerrons un bon discernement des « choses excellentes », la connaissance du Christ Jésus, notre Seigneur (comp. Phil. 1 : 10 ; 3 :8) et la pleine connaissance de la volonté de notre Dieu. Nous pourrons alors avancer sans crainte, « partir » en étant assurés que « nous arriverons » (Esd. 8 : 31).


Etat spirituel pour connaître la volonté de Dieu
 
            Ainsi, désirant plaire au Seigneur dans notre marche, et sachant que c’est là le chemin de la bénédiction, nous cherchons à connaître la volonté du Seigneur à notre égard pour chacun de nos pas. Mais comment comprendre Sa volonté et en être remplis ? Dieu soit béni, nous avons des ressources à notre disposition.
            Entrer dans la connaissance de la pensée ou de la volonté de Dieu dépend de deux choses :
                        - notre état spirituel – « l’Esprit sonde toutes choses, même les choses profondes de Dieu » ;   « celui qui est spirituel discerne toutes choses » (1 Cor. 2 : 10 ; 1 Cor. 2 : 15). Nous serons rendus capables de discerner la volonté divine par la sagesse et l’intelligence spirituelle (Col. 1 : 9).
                                    . La sagesse (Dieu nous la donne si nous la Lui demandons - Jac. 1 :5) donne « le discernement ou l’appréciation exacte des choses… » (H.R - Notes sur l’épître aux Colossiens). C’est « la pensée de Dieu appliquée à nos pensées, à nos actes, à nos vies » (Epître aux Colossiens - Conférence de Lausanne, oct. 1948).
                                    . L’intelligence, indispensable pour comprendre la volonté du Seigneur (Eph. 5 : 17), « …fait l’application de ce que la sagesse a discerné dans les circonstances diverses par lesquelles on a à passer » (H.R - Notes sur l’épître aux Colossiens) ; elle est « la capacité de s’approprier les pensées de Dieu et d’en faire son profit » (H.R – Etude sur les Proverbes).
 
                        - notre communion avec les personnes divines – « notre communion est avec le Père et avec son Fils Jésus Christ » ; « demeurez en moi » (1 Jean. 1 : 3b ; Jean 15 : 4,7). La communion recherchée avec les personnes divines est ce qui nous maintiendra dans un bon état spirituel. C’est en demeurant toujours près de Dieu, près du Seigneur, que nous goûterons une communion constante. Dans la mesure où nous serons en communion avec le Seigneur, notre volonté sera conforme à la sienne et nos demandes seront exaucées (Jean. 15 :7). Le Seigneur Jésus pouvait dire en pleine certitude, quant à Son Père : « Je fais toujours les choses qui lui plaisent » (Jean. 8 : 28-29), car tout ce qu’Il faisait était selon la volonté de Son Père à laquelle, comme homme parfait ici-bas, Il était entièrement soumis (Jean. 4 : 34 ; Luc 22 : 42). Cette parfaite dépendance de son Père l’autorisait à Lui dire : « Tu m’entends toujours » (Jean. 11 : 42).
            Quel modèle nous avons en Lui, quel exemple d’une marche pleinement agréée par Dieu, dans la connaissance parfaite de Sa volonté ! Puissions-nous désirer L’imiter en demandant selon Sa volonté afin d’être entendu de Lui et faisant ce qui plaît à Dieu quand Il nous l’aura révélé. Pour cela, il faut que nous soyons « remplis de l’Esprit » (Eph. 5 : 18) et en pleine communion avec Lui, « demeurant en Lui » (1 Jean 2 : 5b-6).


Le chemin de la volonté de Dieu
  
            Nous comprenons bien que si nous nous adressons à Dieu pour Lui demander ce qui n’est pas selon Sa volonté c’est un manque de sagesse et d’intelligence de notre part, et Il ne nous donnera pas ce que nous voulons – nous « demandons mal » comme le dit Jacques (4 : 3). Mais, si nous sommes dans un état spirituel convenable, en communion avec notre Dieu et Père, notre désir sera de connaître Sa volonté pour la faire. Alors nous saurons demander « selon Sa volonté », guidés par le discernement et l’intelligence de Sa pensée. Il nous enseignera le chemin que nous devons choisir, qui est en réalité celui que Lui-même aura choisi pour nous (v. Ps. 25 : 12).
            Un bon état spirituel nous amènera à nous tourner sans cesse vers notre Dieu et Père pour rechercher Sa volonté. Nous dirons : « Que dois-je faire, Seigneur ? », et Lui nous révèlera ce que nous avons à faire, pour sa gloire et notre bénédiction : « Et le Seigneur me dit… » (Act. 22 : 10).


Soumission au Père et à la Parole
 
            Le Père qui nous aime (Jean 16 : 27) veut instruire ses enfants, les enseigner, les conseiller pour que leur marche ici-bas soit à Son honneur (Ps. 32 : 8). Laissons-nous donc guider et suivons sans crainte et sans raisonnement le chemin dans lequel Sa volonté « bonne et agréable et parfaite » et Son amour nous conduisent, tout au long du voyage. Cultivons la communion avec le Père et la dépendance par la prière. Laissons-nous sonder par la Parole qui pénètre jusqu’au plus profond de nous-même, afin que, dans l’obéissance, nous fassions la volonté du Père à notre égard, Lui qui nous conduit dans la « voie éternelle » (Ps. 139 : 23-24) jusqu’à la Maison, auprès de Jésus.
 
                                    Jour après jour, Seigneur,
                                    Enseigne-moi ;
                                    Garde mon faible cœur
                                    Bien près de toi.
                                    Que dans un chemin droit
                                    Je marche par la foi,
                                    Les yeux fixés sur toi,
                                    Mon Rédempteur.
 
                                    Par ton Esprit, Seigneur,
                                    Enseigne-moi
                                    A vivre à ton honneur,
                                    Où que je sois.
                                    Jusqu’au bout du chemin,
                                    Par ton pouvoir divin,
                                    Que je reste en ta main,
                                    O mon Sauveur !          
 
                                                                                                       Ph. F. décembre 2010