bible-notes.org

Imprimer ou partager la page :
CONSOLATIONS ET ENCOURAGEMENTS (1)
 
 
            Sous ce titre, nous proposons une série d'articles dans lesquels sont présentées quelques-unes des consolations divines apportées par l'Ecriture. Que la lecture de ces textes parus dans le "Messager Évangélique" nous engage aujourd'hui encore  à rechercher dans  la Parole de Dieu la force et l'encouragement dans chaque circonstance éprouvante de notre vie. Notre tendre Père n'est-il pas « le Dieu de toute consolation, qui nous console à l'égard de toute notre affliction » (2 Cor. 1 : 3-4) ? Que nous soyons aussi rendus « capables de consoler ceux qui sont dans quelque affliction que ce soit, par la consolation dont nous sommes nous-mêmes consolés par Dieu ».
 
 
            Le Seigneur a dit aux siens, alors qu'Il était près de les quitter : « Vous avez de la tribulation dans le monde » (Jean 16 : 33). De tout temps, le chemin du croyant a été un chemin difficile : opposition d'un monde hostile, discipline du Père à l'égard de ses enfants, épreuves qu'Il leur envoie, tout cela a été la part des rachetés dans tous les âges. Or l'Eglise est au terme de son voyage terrestre et les derniers pas d'un voyage sont sans doute les plus pénibles. Les temps auxquels nous sommes parvenus sont « les temps difficiles » des derniers jours dont nous parle le début de 2 Timothée 3 ; ce qui, a-t-on remarqué, n'a été dit d'aucun autre temps. Les encouragements, toujours nécessaires, le sont donc aujourd'hui plus que jamais.
            Après avoir dit à ses disciples : « Vous avez de la tribulation dans le monde », le Seigneur a ajouté cette parole de réconfort : « Mais ayez bon courage, moi j'ai vaincu le monde » (Jean 16 : 33). Ecoutons Celui qui se plaît à nous redire sans cesse : « Ayez bon courage ». Lisons la Parole pour y puiser toutes les consolations qu'elle contient pour toutes les circonstances et pour tous les temps. Laissons agir en nous, sans le contrister, le divin Consolateur. Ces ressources - le Seigneur, la Parole, le Saint Esprit - sont pour chacun de nous individuellement, mais aussi pour nous tous collectivement. En assemblée, réalisons la présence du Seigneur au milieu de nous et goûtons, dans toute sa puissance, le ministère de la Parole et de l'Esprit, pour nous édifier et nous consoler ; alors nous ne serons jamais découragés.
           
 
Vanité des consolations humaines
 
            Que peuvent apporter les consolations humaines à celui qui traverse une douloureuse épreuve ? S'il est certaines circonstances dans lesquelles elles peuvent procurer quelque réconfort, elles demeurent cependant bien fragiles, parce qu'elles ne reposent sur rien d'autre que les ressources humaines. Lorsque celles-ci viennent à disparaître, il ne reste plus rien. De plus, ces consolations attachent le coeur aux choses terrestres et deviennent ainsi un obstacle à la recherche des consolations divines et de « ce qui est vraiment la vie » (1 Tim. 6 : 17-19).
            Les incrédules n'ont d'autres consolations que celles-là. C'est à eux que la Parole s'adresse en soulignant le contraste entre la consolation humaine, pauvre, incertaine, et la consolation divine qui est une consolation efficace et « une consolation éternelle ». Mais ne pensons pas que les avertissements de Luc 6 : 20-26 et 16 : 19-31 soient seulement pour les incrédules ; il y a aussi un enseignement pour nous, chrétiens, car nous recherchons parfois des consolations humaines au lieu de nous appuyer résolument sur celles que Dieu veut nous donner.
 
 
Consolation présente et future, goûtée en dirigeant les regards vers le ciel
 
            Dans le passage cité en Luc 6, le Seigneur parle au coeur de ses disciples : « Bienheureux, vous... » (v. 20). Au milieu du peuple, incrédule dans son ensemble, Il distingue les quelques personnes qui suivent un Maître rejeté, et Il les entretient de tout ce qui peut les amener à se réjouir et même à tressaillir de joie. Puis - quel contraste ! - Il se tourne vers ceux auxquels Il doit dire : « Malheur à vous... » (v. 24). Ce n'est pas parce qu'ils sont « riches » que le Seigneur leur adresse cette parole, mais parce qu'ils se confient dans leurs richesses (voir 1 Tim. 6 : 7-10, 17-19) ; ils espèrent trouver le bonheur ici-bas sans Christ, vivre agréablement dans un monde qui L'a crucifié. Ils ne se préoccupent pas de l'avenir ; les consolations futures n'ont aucun prix pour eux et ils n'y auront aucune part. « Malheur à vous, riches, car vous avez déjà votre consolation... ». Les consolations que le coeur croit pouvoir trouver dans les richesses ou les satisfactions de ce monde auront suffi !
Le Seigneur illustre cet enseignement dans la parabole du riche et de Lazare (Luc 16). L'homme riche avait eu sa consolation sur la terre, il l'avait cherchée en bas et non en haut... Aussi, après la mort, il doit entendre cette parole : « Toi, tu es tourmenté », alors qu'il est dit de Lazare : « Maintenant lui est consolé ici » (v. 25).
            Consolation pour l'avenir, dans le lieu où « il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni peine, car les premières choses sont passées » (Apoc. 21 : 4), mais aussi, consolation pour le présent déjà. Le « Dieu de toute consolation » est Celui « qui nous a délivrés... qui nous délivre ; en lui nous avons mis notre espérance qu'il nous délivrera aussi encore ». Il est le Dieu « qui ressuscite les morts » (2 Cor. 1 : 3, 10). Ces expressions nous disent sa puissance infinie, puissance qui se déploie quand l'homme réalise son impuissance. C'est lorsque, cherchant en vain des consolations, l'homme se trouve à bout de ressources que Dieu fait part des siennes.
            Naître, souffrir, mourir, tel est, a-t-on dit, le lot de chacun ici-bas. Les souffrances nous assaillent parce qu'il y a, dans ce monde, la douleur et la mort, conséquences du péché. L'homme ne peut rien contre les conséquences, car il est absolument impuissant contre la cause. Mais Christ est venu sur la terre, « Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde ». A la croix, Il a accompli l'oeuvre en vertu de laquelle le péché sera ôté du monde ; maintenant, ressuscité et glorifié, Il est dans le sanctuaire. Encore au milieu d'une scène de souffrances, le croyant - dont les péchés sont déjà expiés par la mort de Christ - peut jouir des beautés de ce lieu que Jésus remplit de sa gloire. Le Saint Esprit, divin consolateur, nous occupe du ciel et de Christ, nous conduit par la prière à remettre toutes choses entre les mains de notre Père céleste, de sorte que, quelles que soient nos circonstances, nous pouvons toujours nous réjouir « dans le Seigneur » (Phil. 4 : 4-7). Gardés dans la paix du sanctuaire, nous jouissons du ciel par la foi, attendant d'y être bientôt introduits de fait. Quelle consolation pour nos coeurs !
            Tandis que les consolations humaines ne peuvent ni transformer, ni adoucir les circonstances - l'apaisement qu'elles procurent parfois n'est que momentané ; tôt ou tard, il est suivi de pénibles déceptions - les consolations divines, au contraire, attachent le croyant à Christ dans le lieu où Il se trouve. Le deuil et l'affliction jettent un voile sur « ce qui se voit » et dirigent les regards vers « ce qui ne se voit pas ». C'est là que le coeur meurtri trouve la vraie consolation (2 Cor. 4 : 17-18). Si l'un de nos bien-aimés a été ravi à notre affection, nous sentons la douleur de la séparation. Une place est vide ici-bas... Mais nous irons là-haut vers celui que le Seigneur a déjà recueilli dans son repos ; il est « avec Christ » (Phil. 1 : 23) et cette pensée nous fait désirer mieux connaître Celui vers lequel il est allé. Dans une soumission paisible et confiante, bénissant le Seigneur, nous pourrons dire comme Job : « L'Eternel a donné, et l'Eternel a pris ; que le nom de l'Eternel soit béni ! » (Job 1 : 21). Peut-être jusqu'alors avions-nous été davantage occupés des « dons » que du Donateur ? Le Seigneur nous reprend ce qu'Il nous avait donné, mais Lui demeure et, occupés de Lui, nous serons consolés.
 
 
Qui peut vraiment consoler, sinon Jésus dans sa sympathie parfaite ?
 
            Un enfant de Dieu, éprouvé ou découragé, a besoin des consolations divines. Pour être capable de les lui apporter, il faut connaître « le Dieu de toute consolation (2 Cor. 1 : 4). Sinon, nous ne saurons pas parler de Dieu « comme il convient » (Job 42 : 7-8). Lorsque les trois amis de Job apprirent ce qui lui était arrivé, ils vinrent pour le consoler (Job 2 : 11). Leurs intentions étaient louables. Assis avec lui sur le sol sept jours et sept nuits, ils demeurèrent silencieux, contemplant sa douleur. Ce n'est qu'après l'avoir entendu « maudire son jour » qu'ils essayèrent de prononcer quelques paroles de consolation. Mais ce n'étaient pas les consolations qui viennent de Dieu ! Nous les voyons, tout au long de leurs discours, s'efforcer de justifier Dieu, un Dieu qu'ils ne connaissaient pas comme « le Dieu de toute consolation », et insinuer que Job avait sans doute commis quelque péché, ignoré de tous... Rien dans leur démarche ne pouvait répondre aux besoins du patriarche ! Ils n'étaient pas « capables de consoler ceux qui sont dans quelque affliction que ce soit ». Aussi Job leur demande : « Comment me consolez-vous avec de vaines consolations ? » (Job 21 : 34). Eliphaz, Bildad et Tsophar étaient des « consolateurs fâcheux » (16 : 2). Plus tard, Job priera pour eux, « et tous ses frères et toutes ses soeurs, et tous ceux qui l'avaient connu auparavant vinrent à lui... et ils sympathisèrent avec lui et le consolèrent... » (42 : 10-11). L'histoire de Job fait ressortir le contraste entre les consolations qui - même apportées par des croyants - ne sont pas les consolations de Dieu, et celles qui peuvent seules amener celui qui est éprouvé à dire : « Maintenant, mon oeil t'a vu... » (Job 32 à 42).
            Jean 11 présente le contraste entre les consolations humaines et celles du Seigneur. « Beaucoup parmi les Juifs étaient venus auprès de Marthe et de Marie, pour les consoler au sujet de leur frère » (Jean 11 : 19). Sans doute y avait-il tout un rite qu'il convenait d'observer : l'usage voulait, assure-t-on, que les amis, assis auprès de la famille affligée, manifestent leur sympathie par de profonds soupirs, puis venaient les larmes... Aujourd'hui encore, que de paroles de circonstance, que de formes observées, dans lesquelles il y a souvent peu de réalité et qui n'apportent aucune consolation à un coeur éprouvé ! Mais Jésus vient. Il pleure au tombeau de Lazare... Son coeur sympathise. Puis Il déploie toute sa puissance divine. Vraie consolation pour des affligés ! Dans l'épreuve, dans les difficultés, nous apprenons à réaliser notre impuissance et à connaître la puissance de Dieu. Job a pu dire : « Je sais que tu peux tout... » (42 : 2) et les deux soeurs de Béthanie ont fait la même expérience (Jean 11 : 22). Nous apprenons aussi à connaître l'amour divin, tendre et fidèle. Il y a là une consolation que rien d'autre ne peut apporter !
 
 
Pas de consolation !
 
            La Parole nous entretient de ceux qui ne trouvent pas de consolation et de ceux qui refusent d'être consolés.
            « O affligée, battue de la tempête, qui ne trouves pas de consolation... » (Es. 54 : 11). C'est de Jérusalem qu'il est question dans ce passage. Privée de fils, elle connaît « l'opprobre de son veuvage » et l'Eternel l'a abandonnée « pour un petit moment ». Elle ne trouve pas de consolation...
            « Comment est-elle assise solitaire, la ville si peuplée ?... Elle pleure, elle pleure pendant la nuit, et ses larmes sont sur ses joues ; de tous ses amants, il n'en est pas un qui la console... elle est descendue prodigieusement ; il n'y a personne qui la console !... Sion étend ses mains, il n'y a personne qui la console... Ils m'ont entendue gémir : il n'y a personne qui me console... » (Lam. 1 : 1-2, 9, 17, 21).
            La Parole se sert de telles expressions pour dépeindre les souffrances d'Israël et surtout du résidu qui, douloureusement affligé, ne trouvera aucune consolation. Et cependant, elle ne lui manquera pas, la sympathie de Celui qui, venu ici-bas pour recommencer l'histoire d'Israël, a voulu « dans toutes leurs détresses être en détresse » (Es. 63 : 9). N'a-t-Il pas dit, par la bouche du Psalmiste : « L'opprobre m'a brisé le coeur, et je suis accablé ; et j'ai attendu que quelqu'un eût compassion de moi, mais il n'y a eu personne,... et des consolateurs, mais je n'en ai pas trouvé » (Ps. 69 : 20) ? C'est le Fils bien-aimé du Père qui a pris une telle place ; Lui qui était toujours en joie dans sa présence, a souffert en sympathie avec ceux qui, affligés, battus de la tempête, ne trouvent pas de consolation. Le Psaume 88 aussi nous le montre au sein de la souffrance, alors qu'Il a dû s'écrier : « Ta fureur s'est appesantie sur moi, et tu m'as accablé de toutes tes vagues », sans qu'il y ait eu pour Lui aucune consolation. Christ souffrant de la part des hommes (Ps. 69) a été abandonné de tous. Endurant les souffrances qui venaient de Dieu (Ps. 88), Il a été seul sur la croix. Le Dieu de toute consolation console ceux qui sont dans quelque affliction que ce soit, mais pour Christ, il n'y a eu là aucune consolation (Ps. 22 : 1 à 6).
 
 
La délivrance est proche !
 
            Dieu est fidèle, Il n'oubliera pas son peuple ! Il a préparé une consolation pour celui qui, battu de la tempête, n'en trouve pas. Après sa restauration, c'est à Jérusalem coupable du rejet et de la crucifixion de son Messie, que le Seigneur s'est adressé en premier lieu pour lui offrir sa grâce (Luc 24 : 47 ; Act. 1 : 4-8). De même, le prophète parle à Jérusalem (Es. 54) après l'annonce de l'oeuvre de l'expiation que le Messie d'Israël allait accomplir (Es. 53). Il lui déclare que, cette oeuvre étant achevée, le temps de son affliction ayant pris fin, elle goûtera la consolation... Les jours d'épreuve paraissaient si longs ! Mais ce n'est que « pour un moment » que l'Eternel lui avait caché sa face, ce n'est que « pour un petit moment » qu'Il l'avait abandonnée. Maintenant, elle ne se souvient plus de l'opprobre de son veuvage, toutes les souffrances sont oubliées, elle savoure cette « bonté éternelle » avec laquelle Dieu a compassion des siens, et la paix de ses fils est grande (Es. 54 : 4-13).
            Si une âme est affligée, battue de la tempête, et ne trouve pas de consolation, elle peut être  réconfortée par la lecture de ces portions de la Parole de Dieu. La délivrance est proche ! Celui qui nous aime et veut fortifier notre foi, nous encourage comme Il le fera pour Israël dans la tribulation, en dirigeant nos regards vers le moment où notre espérance sera réalisée et où nous goûterons l'éternelle consolation.
 
 
Refus d'être consolé
 
            Y aurait-il quelqu'un qui serait découragé et abattu à un tel point qu'il refuserait d'être consolé ? « Au jour de ma détresse, j'ai cherché le Seigneur ; ma main était étendue durant la nuit et ne se lassait point ; mon âme refusait d'être consolée » (Ps. 77 : 2). Ce Psaume nous parle du « temps de la détresse pour Jacob » (Jér. 30 : 7) ; il exprime les sentiments qu'éprouvera le « résidu » à ce moment-là, sentiments qui ne peuvent être ceux du chrétien aujourd'hui. Il contient cependant des enseignements pour les temps actuels, en particulier pour une âme qui aurait tendance à se replier sur ses difficultés et penserait qu'il ne peut y avoir aucune consolation à la mesure de sa détresse. Il nous dépeint les exercices d'un croyant qui refuse d'être consolé parce qu'il est surtout occupé de sa douleur ; il n'a pas oublié ce que Dieu a été dans le passé, toutes les délivrances qu'Il a voulu opérer en sa faveur, mais il considère aussi les circonstances dans lesquelles il se trouve et desquelles Dieu ne le délivre pas. Il en arrive à douter que Dieu soit demeuré le même ! Il refuse d'être consolé parce qu'il n'a pas le sentiment que Dieu l'aime toujours.
            Que Dieu veuille fortifier notre foi et nous préserver de tomber dans un état semblable ! Ne doutons jamais de son amour, même si tout nous est contraire. Ne jugeons pas de son amour d'après nos circonstances, mais considérons toujours nos circonstances comme préparées par son amour ! (voir Rom. 5 : 3-8).
            A un moment de son histoire, Jacob a refusé toute consolation. On lui rapportait la tunique de Joseph après l'avoir plongée dans le sang d'un bouc et, convaincu que son fils était mort, il menait deuil. Quelle consolation ses fils et ses filles auraient-ils pu lui donner lorsqu'ils se levèrent et vinrent à lui pour le consoler ? Ils avaient vendu leur frère pour être esclave en Egypte et s'efforçaient de cacher leur dureté à leur père. Toute leur conduite était caractérisée par la méchanceté, le mensonge, l'hypocrisie. Ils étaient disqualifiés pour apporter une vraie consolation. Ce n'est donc pas une consolation divine que le patriarche refuse. Mais il est dans un tel état d'âme qu'il semble dire : N'essayez pas de m'apporter un baume consolateur, il n'y en a pas pour une détresse comme la mienne ; mon deuil et ma douleur ne prendront jamais fin, si ce n'est lorsque j'aurai rejoint mon fils au séjour des morts (Gen. 37 : 31-35). Sans doute les consolations humaines ne pourront rien apporter à un coeur déchiré, mais Dieu avait en réserve de douces consolations pour Jacob. Quelle consolation, en effet, lorsqu'il put dire : « C'est assez ! Joseph mon fils vit encore ; j'irai, et je le verrai avant que je meure », lorsqu'il entendit la parole divine : « Joseph mettra sa main sur tes yeux », lorsque Joseph « se jeta à son cou, et pleura longtemps sur son cou » ! (Gen. 45 : 28 ; 46 : 4, 29). Il ne désire plus rien maintenant, son âme est consolée, il peut mourir en paix ! « Que je meure à présent, après que j'ai vu ton visage, puisque tu vis encore » (Gen. 46 : 30).
 
 
            « Que notre Seigneur Jésus Christ lui-même et notre Dieu et Père, qui nous a aimés et nous a donné une consolation éternelle et une bonne espérance par grâce, veuille consoler vos coeurs et vous affermir en toute bonne oeuvre et en toute bonne parole » (2 Thes. 2 : 16-17).
                                                                                                                                              
                                                          
                                  D'après Paul FUZIER – « Messager Evangélique » 1948 p. 141-150
 
 
(A suivre)