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NOTES SUR L'EPITRE AUX ROMAINS (2)
 
 
ROMAINS : chapitre 2

 1 – Le jugement de Dieu : v. 1-10
 2 – Un jugement individuel selon la parfaite équité de Dieu : v. 11-16
 3 – La responsabilité particulière des Juifs : v. 17-29

 
1 – Le jugement de Dieu : v. 1-10      
 
 
            1.1 : Les principes du jugement divin
           
                        Au chapitre 1, il est question des hommes en général, de tous ceux qui sont loin de Dieu, les païens. Au chapitre 2, Dieu interpelle directement l'homme qui se permet de porter un jugement sur autrui : « Tu es inexcusable, qui que tu sois, toi qui juges… » (v. 1). Inexcusable, parce que l'homme qui porte un jugement sur autrui sait bien discerner ce qui est bien de ce qui ne l'est pas ! Il est tellement facile de regarder la paille dans l'oeil de son frère s'apercevoir de la poutre qui est dans son propre oeil ! (Matt. 7 : 3). Et c'est pourquoi il est dit au verset 6 que Dieu rendra à chacun selon ses oeuvres ; il est bien précisé : « à chacun » Nous sommes donc tous responsables de nos actions, de nos paroles et de nos pensées.
                        « Dieu jugera par Jésus Christ les secrets des hommes… » (v. 16). « Il faut que nous soyons tous manifestés devant le tribunal du Christ, afin que chacun reçoive selon les actions accomplies dans le corps soit bien, soit mal » (2 Cor. 5 : 10). La Parole déclare au sujet de ceux qui n'auront pas cru : « …les morts furent jugés, chacun selon ses oeuvres » (Apoc. 20 : 12-13).
                        Il y aura une heure de vérité où nous devrons rendre compte chacun de sa propre vie… pour nous croyants, devant le tribunal de Christ où nous pourrons voir alors l'immensité de la grâce dont nous avons été les objets. Mais pour ceux qui n'auront pas cru, la colère de Dieu demeure sur eux et ils comparaîtront devant le grand trône blanc pour être condamnés !
 
                        A propos de cette tendance que nous avons à voir plus facilement le mal chez les autres qu'en nous-mêmes, l'exemple de David est caractéristique. Jusqu'à ce que le prophète Nathan vienne lui dire : « Tu es cet homme », David n'avait pas eu conscience de son péché et il porte même un jugement juste sur cet homme méchant dont lui parle le prophète. Il déclare qu'il mérite la mort, …mais cet homme, c'est lui ! (2 Sam. 12 : 1-7). Quand il réalise que c'est lui le coupable, il confesse son péché à Dieu : « Contre toi, contre toi seul, j'ai péché… » (Ps. 51 : 4). Il faut ouvrir son coeur pour que Dieu puisse y faire son travail. N'oublions pas que nous avons un Dieu qui nous aime et qui nous discipline pour notre profit, afin que nous participions à sa sainteté (Héb. 12 : 10).
                        Tous les hommes sont exhortés à la repentance, poussés par la patience et la bonté de Dieu et non par les remords. Dieu ne veut pas la mort du pécheur mais qu'il se repente et qu'il vive. Mais il est ajouté : « Selon la dureté et selon ton coeur sans repentance, tu amasses contre toi-même la colère dans le jour… de la révélation du juste jugement de Dieu » (v. 5). L'homme endurci est inconscient qu'il fait pour ainsi dire provision de la colère qui va tomber sur lui. Ainsi en a-t-il été du pharaon qui a endurci son coeur pour ne pas écouter et qui est allé au devant du jugement. Le seul remède, c'est bien la repentance et la foi au Seigneur Jésus. 
                        « Celui qui cache ses transgressions ne prospérera point, mais celui qui les confesse et les abandonne obtiendra miséricorde » (Prov. 28 : 13).
                        « On ne se moque pas de Dieu ; car ce qu'un homme sème, cela aussi il le moissonnera… » (Gal. 6 : 7-9).
 
                        On a facilement tendance à vouloir se disculper en disant : « Ce n'est pas moi, c'est l'autre… » ; c'est une réaction qui date du jardin d'Eden ! Lorsque nous marchons loin de Dieu, nous sommes dans les ténèbres et nous sommes alors complètement aveuglés. Nous avons besoin de lire la Parole pour revenir à Dieu. Lorsque nous commençons à pécher un peu, et que nous laissons les choses aller nous péchons ensuite de plus en plus, et Dieu peut le permettre pour que nous soyons horrifiés de ce que nous avons fait, le jour où nos yeux sont enfin ouverts ! Mais si nous revenons à Dieu et que nous nous laissons instruire par sa Parole, alors il y a de la lumière sur notre sentier (Ps. 119 : 105).
 
 
            1.2 : Deux classes de personnes
 
                        Aujourd'hui, c'est pour chacun le temps de goûter la grâce et la bonté de Dieu, d'un Dieu sauveur qui appelle à la repentance et veut le salut de tous. Mais pour celui qui reste incrédule, la colère de Dieu demeure sur lui. L'exemple le plus frappant peut-être est celui des deux brigands crucifiés avec Jésus. L'un reste incrédule et meurt dans ses péchés ; l'autre se repent et confesse son péché. Ayant regardé à Jésus, il obtient le salut et le pardon. Quelle réponse il reçoit aussitôt de la bouche même du Sauveur : « Aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis » (Luc 23 : 43) !
 
                        Au fond, il n'y a que deux classes de personnes. Elles existent depuis le début de l'humanité, avec Caïn et Abel. Caïn a voulu s'approcher de Dieu avec le fruit de ses mains, ce qu'il a produit par son travail, le fruit d'un sol maudit ! Dieu ne pouvait pas agréer son don. Abel a su discerner la pensée de Dieu et a apporté en offrande « des premiers-nés de son troupeau, et de leur graisse ». On remarque ensuite comment Caïn discute et raisonne avec Dieu, ne veut pas obéir à ce que Dieu lui demande, et s'en va de plus en plus loin de Lui. Ainsi il y a, d'un côté, ceux qui croient pour la vie éternelle. D'un autre, ceux qui ne veulent pas de Jésus et qui s'en vont vers le jugement éternel (Jean 5 : 29). Ceux-ci sont des discuteurs, des raisonneurs, désobéissants à la vérité (v. 8). Ils font le choix de refuser la vérité pour suivre leurs propres penchants, parce qu'ils préfèrent les ténèbres à la lumière car leurs oeuvres sont mauvaises (Jean 3 : 19). Ce sont ceux dont il est dit aussi « qu'ils n'ont pas accepté l'amour de la vérité pour être sauvés » (2 Thés. 2 : 10).
 
                        Remarquons que les bonnes oeuvres dont il est question au verset 7 ne sont pas des oeuvres qui permettent de gagner la vie éternelle, mais le résultat de cette vie divine dans le croyant. Rappelons ces paroles de l'apôtre Paul aux Ephésiens : « C'est par la grâce que vous êtes sauvés... non pas sur la base des oeuvres... ayant été créés dans le Christ Jésus pour les bonnes oeuvres... » (Eph. 2 : 8-10).
 
 
 
2 – Un jugement individuel selon la parfaite équité de Dieu : v. 11-16
 
                        « Il n'y a pas de considération de personnes devant Dieu » (v. 11). Juif ou Grec, Dieu jugera chacun selon sa propre responsabilité. Le Juif, c'est l'homme religieux ; le Grec, c'est l'homme qui raisonne avec son intelligence et sa sagesse. Mais ni la « religion », ni la sagesse humaine ne permettent de trouver le chemin vers Dieu ! Il n'y a qu'une vérité : Jésus Christ qui a dit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie » (Jean 14 : 6).Nous la découvrons en lisant la Parole de Dieu et en écoutant ce qu'il nous dit. Dieu est un juste juge, et chacun a son propre degré de responsabilité devant lui, que ce soit « sans loi… ou sous la Loi ». A celui qui a beaucoup reçu il sera beaucoup redemandé. Aussi est-il vain de chercher à se comparer les uns aux autres pour essayer au fond de se justifier soi-même car Dieu seul qui sonde le coeur et en connaît les motifs ; il « jugera par Jésus Christ les secrets des hommes » (v. 16).
                        « L'Eternel ne regarde pas ce à quoi l'homme regarde, car l'homme regarde à l'apparence extérieure, et l'Eternel regarde au coeur » (1 Sam. 16 : 7).
 
                        Prenons garde, le témoignage extérieur que nous manifestons, ce que nous montrons dans notre tenue, notre comportement et nos paroles, reflète en général ce qui est au fond de notre coeur. Si nous avons goûté combien le Seigneur est bon et combien Il nous aime, nous nous appliquerons à marcher d'une manière qui lui soit agréable, en gardant ses commandements. De tous temps le témoignage à la vérité divine a été porté par ceux qui ont eu à coeur d'obéir à la Parole de Dieu.      
                        Le verset 15 nous parle des pensées « s'accusant entre elles ou bien se disculpant ». Il est bien courant d'avoir des pensées qui conduisent à accuser les autres et à s'excuser soi-même. Ce n'est pas de la droiture devant Dieu ! « Qu'est-ce que l'Eternel recherche de ta part, sinon que tu fasses ce qui est droit, que tu aimes la bonté, et que tu marches humblement avec ton Dieu » (Mich. 6 : 8).
 
 
 
3 – La responsabilité particulière des Juifs : v. 17-29
 
 
            3.1 : Des prétentions de l'homme religieux 
 
                        A partir du verset 17, il est question des Juifs et de leur responsabilité particulière. Nous trouvons l'homme religieux qui prétend dire, parler, enseigner, prêcher aux autres, mais qui en réalité commet les mêmes choses que ceux auxquels il s'adresse. Prêcher la parole c'est bien, mais à condition de la mettre en pratique soi-même. Nous savons bien dénoncer les choses mauvaises, mais est-ce qu'il ne nous arrive pas de ne pas être droits dans les détails de la vie ? Un petit mensonge, un petit vol, un regard de convoitise (Matt. 5 : 27-28). Prenons-y garde et veillons à ne pas faire ce que nous savons être contraire à la pensée de Dieu, car à cause de cela « le nom de Dieu est blasphémé… parmi les nations » (v. 24). N'est-il pas triste d'entendre dire parfois par un incrédule : « Comment, toi qui te dis chrétien, tu fais cela ! » ? Qu'en est-il alors du témoignage que nous sommes appelés à rendre ? Un homme inconverti pouvait un jour répondre à son voisin chrétien : « Ta vie fait tellement de bruit que je n'entends pas ce que tu me dis ».
                        Nous trouvons à plusieurs reprises ce mot « toi ». C'est quelque chose de personnel. A la fin de l'évangile de Jean, le Seigneur Jésus avait dit à Pierre : « Toi, suis-moi » (21 : 23). Si nous apprenons à suivre le Seigneur de près tout ira bien. Mais si nous laissons une distance s'installer entre le Seigneur et nous, alors Satan viendra s'interposer ! Si notre coeur est partagé ou occupé outre mesure par des choses qui paraissent naturelles et légitimes en elles-mêmes, notre volonté propre se manifeste. Il faut alors confesser cet écart pour pouvoir suivre à nouveau le Seigneur Jésus. Insistons encore une fois sur ce fait incontournable : Pour un incrédule, la repentance est la base de notre relation avec Dieu : « Repentez-vous et croyez à l'évangile » (Marc 1 : 15). Il faut qu'il y ait cette conviction de péché provoquée d'ailleurs par Dieu lui-même et alors on s'attend à Sa grâce et à Sa miséricorde. Certains connaissent un chemin inverse, c'est le sentiment de la grâce et de l'amour de Dieu qui les amène à la repentance. Comme l'a dit quelqu'un : Par la repentance, le pécheur dit à Dieu : J'ai tort et tu as raison.
                        La propre volonté est toujours contre Dieu. La volonté de l'homme n'accomplit jamais la pensée de Dieu ! C'est pourquoi il est important que la volonté de l'homme se courbe devant celle de Dieu. Lorsqu'il est dit que les hommes possèdent la vérité tout en vivant dans l'iniquité, c'est qu'ils sont menés par leur propre volonté.
 
                        « Toi qui te réclames du nom de Juif… ». C'est l'homme religieux, celui qui se fixe des lois et des règles par lesquelles il pense plaire à Dieu, mais au fond c'est pour se mettre en valeur lui-même. L'orgueil est là !  Aux scribes et aux pharisiens qui demandaient : « Pourquoi tes disciples transgressent-ils la tradition des anciens… », Jésus a répondu : « Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu ? …Vous avez annulé le commandement de Dieu à cause de votre tradition. Hypocrites ! » (Matt. 15 : 1-7). Voilà le reproche que nous pouvons nous aussi encourir si nous agissons comme les pharisiens du temps de Jésus. Il faut que notre coeur soit engagé pour le Seigneur et par Sa force, libéré de toute propre volonté.
                        « Voici, tu veux la vérité dans l'homme intérieur… Crée-moi un coeur pur, ô Dieu ! et renouvelle au dedans de moi un esprit droit » (Ps. 51 : 6, 10). Si, comme David, nous adressons cette requête à Dieu, alors nous pourrons marcher droit et accomplir ce qu'Il nous demande ; notre amour répondra au sien. 
 
                        Au fond tout est une question de coeur, une question d'amour pour le Seigneur. Si nous connaissons la volonté de Dieu, si nous sommes instruits par les Ecritures, si nous savons discerner les choses excellentes (v. 18), c'est très bien ! Mais le Seigneur Jésus dit : « Si vous savez ces choses, vous êtes bienheureux si vous les faites » (Jean 13 : 17). Ce qui importe ce n'est pas tant de savoir mais de mettre en pratique, de vivre ce que nous avons appris à connaître. En Matthieu 23 : 3, le Seigneur parlant des pharisiens déclare : « Tout ce qu'ils vous disent, faites-les et observez-le ; mais ne faites pas selon leurs oeuvres, car ils disent et ne font pas ».
 
                        Il faut faire la différence entre les règles que l'homme religieux se fixe, et les commandements que Dieu nous donne dans sa Parole. Obéir à la Parole est un gage de notre amour pour le Seigneur. Lui-même a dit : « Celui qui a mes commandements et qui les garde, c'est celui-là qui m'aime ». Et encore : « Si quelqu'un m'aime, il gardera ma parole » (Jean 14 : 21, 23).
 
                        Discerner les choses excellentes, c'est quelque chose d'important dans ce monde où l'on ne sait plus faire la différence entre ce qui est bien et ce qui est mal, entre ce qui est juste et ce qui ne l'est pas. Aussi, nous avons besoin de prier à ce sujet, comme l'apôtre le faisait, par exemple en Philippiens 1 : 9-10 : « Je demande ceci dans mes prières, que votre amour abonde de plus en plus en connaissance et toute intelligence, pour que vous discerniez les choses excellentes, afin que vous soyez purs et que vous ne bronchiez pas… ». Il faut que le coeur soit rempli de l'amour du Seigneur pour discerner ces choses excellentes et pour qu'il en résulte la pureté qui plaît à Dieu, et une marche sans broncher, dans la justice.
                        Connaître les choses et ne pas les faire nous met en grand danger, et nous fait perdre notre témoignage. Un exemple sérieux à cet égard nous est donné par l'histoire de Salomon. Il a bien commencé sa carrière en demandant à Dieu un coeur qui écoute et qui sache discerner entre le bien et le mal (1 Rois 3 : 9). Il a également écrit et enseigné des choses excellentes dans les Proverbes, l'Ecclésiaste et le Cantique des Cantiques mais il n'a ensuite pas mis ces choses en pratique et la fin de sa vie a été tristement marquée par de graves manquements (1 Rois 11).
 
                        Aujourd'hui la crainte de Dieu s'éloigne, même chez les croyants ; les barrières sont renversées, on va où l'on veut, on fait ce que l'on veut ! Sans doute Dieu est un Dieu d'amour qui aime le pécheur, mais il est pur et ne peut supporter le mal, l'injustice, le péché.
 
 
            3.2 : « La circoncision est celle du coeur… non pas dans la lettre »
 
                        Nous avons le privilège d'avoir la Parole de Dieu entre nos mains et l'Esprit qui nous enseigne. Dès lors, nous pensons que nous détenons la vérité et que nous croyons que nous pouvons être des conducteurs. Mais il est écrit : « Toi qui es persuadé d'être conducteur d'aveugles, lumière de ceux qui sont dans les ténèbres, instructeur de gens sans intelligence… » (v. 19-20).  Nous qui enseignons les autres, nous remettons-nous en question, nous laissons-nous laissons enseigner par la Parole, marchons-nous dans la lumière ? 
                        Les versets 21 à 24 dénoncent ces actes que nous sommes capables d'accomplir. En Proverbes 6 (v. 16-19), nous trouvons des choses que l'Eternel a en abomination : « Les yeux hautains, la langue fausse, et les mains qui versent le sang innocent, le coeur qui machine des projets d'iniquité, les pieds qui se hâtent de courir au mal, le faux témoin qui profère des mensonges, et celui qui sème des querelles entre des frères ». N'avons-nous pas à baisser la tête en lisant ce qui est écrit là ? En Galates 5 : 15, il est écrit aussi : « Si vous vous mordez et vous dévorez l'un l'autre, prenez garde que vous ne soyez détruits l'un par l'autre ». Appliquons-nous plutôt à marcher dans l'amour l'un envers l'autre.
 
                        Au verset 20, il est parlé de « l'expression même de la connaissance » Connaître une formule c'est bien, mais ce qui importe c'est de l'appliquer, sinon elle n'a aucun effet, aucun intérêt. Ainsi si nous ne mettons pas en pratique la connaissance que nous avons, nous ne faisons pas ce qui est bon ! Quand Salomon s'est laissé aller à l'idolâtrie à cause des femmes qu'il avait prises, il a perdu son témoignage, le rôle que Dieu lui avait donné dans la conduite de son peuple ; au lieu d'être uni sous l'autorité de son roi, le royaume a été divisé.
 
                        Avoir été enseigné dans les choses de Dieu dès son enfance est un précieux privilège ; d'où l'importance et la responsabilité d'obéir à la Parole et de la mettre en pratique. Savoir ce qui plaît à Dieu, savoir ce qu'Il a fait en nous donnant son Fils, savoir que nous avons l'assurance de notre salut et que le Seigneur Jésus va revenir, est-ce que ce ne sont pas des choses qui doivent nous réjouir ? Que nos pensées soient occupées de ces choses pour que le Seigneur soit glorifié dans notre vie de chaque jour !
                        « Le fruit de l'Esprit est l'amour, la joie, la paix, la bienveillance, la bonté, la fidélité, la douceur, la maîtrise de soi : contre de telles choses, il n'y a pas de loi » (Gal. 5 : 22, 23).