bible-notes.org

Imprimer ou partager la page :

DAVID, TYPE DE CHRIST


Le jeune berger choisi par Dieu (1 Samuel 16)
David et Goliath (1 Samuel 17)
Amour et dévouement pour le Seigneur
 

Le jeune berger choisi par Dieu (1 Samuel 16)

                        Le choix d’Israël et le choix de l’Éternel

            Dans son désir d’être « comme toutes les nations », le peuple d’Israël avait demandé et choisi un roi (1 Sam. 8 : 5). L’Éternel lui-même était leur roi, et ils l’ont rejeté ! Mais, à son tour, l’Éternel a rejeté Saül : à cause de sa désobéissance et de son infidélité, il est mis de côté. Cependant, Dieu voulait un roi selon son cœur, en vue de Christ. C’est pourquoi Il a cherché et choisi un roi pour lui-même, « un homme selon mon cœur, qui fera toute ma volonté » (Act. 13 : 22).
            Il envoie Samuel pour oindre l’un des fils d’Isaï, le Bethléhémite, comme roi sur Israël. Sept fils d’Isaï passent devant l’homme de Dieu, mais il s’avère que l’Éternel n’a choisi aucun d’entre eux. Il n’a trouvé dans aucun de ces hommes quelque chose qui plaise à son cœur et puisse servir à son dessein.
            A la demande du prophète, on fait alors venir le dernier des fils d’Isaï, auquel personne n’avait pensé. David, le jeune berger, est pourtant celui que l’Éternel désigne à Samuel afin qu’il l’oigne pour roi sur Israël : « J’ai choisi David pour être roi sur mon peuple Israël » ; « Il choisit David, son serviteur, et le prit des parcs des brebis » (1 Rois 8 : 16 ; Ps. 78 : 70). Ainsi, celui qui était oublié et méprisé était celui que Dieu avait désigné et suscité (litt. : trouvé et haut élevé - Ps. 89 : 19-20) afin qu’il règne sur tout Israël.
            David était « un bel homme », « il avait le teint rosé, avec de beaux yeux, et était beau de visage » (16 : 12, 18). Mais surtout, comme Moïse avant lui, il était « beau à Dieu » - beau pour Dieu (Héb. 11 : 23 ; Act. 7 : 20).

                        Le vrai David

            C’est dans la Personne du Seigneur Jésus que nous trouvons le grand antitype de celui qui était un beau mais faible type de Christ. L’homme Christ Jésus a toujours fait la volonté de son Dieu : « Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé » (Jean 4 : 34). Il faisait « toujours ce qui lui est agréable » (Jean 8 : 29) et Dieu a trouvé son plaisir en Lui.
            Bien plus que David, dont le nom signifie « bien-aimé », Il est le Bien-aimé du Père de toute éternité, le « Fils de son amour » (Col. 1 : 13). Beaucoup plus que David, Il a été « méprisé, et nous n’avons eu pour lui aucune estime » (És. 53 : 3). Il a été rejeté par Israël alors qu’Il était venu comme un berger vers les brebis perdues de ce peuple. Venu parmi les hommes dans l’abaissement, le serviteur de l’Éternel n’avait à leurs yeux « ni forme ni éclat » ; il n’avait « ni apparence, ni éclat ; quand nous le voyons, son aspect n’a rien pour nous attirer » (És. 53 : 2) ; « son visage était défait plus que celui d’aucun homme, et sa forme, plus que celle d’aucun fils d’homme » (52 : 14).
            Cependant, ceux qui ont reçu le Seigneur Jésus dans leur cœur peuvent voir sa beauté par la foi. Ils la contemplent dans son obéissance, sa dépendance, sa confiance en Dieu, dans ses gloires morales déployées dans toute sa vie et sa marche, qui « illuminent chacune des pages des quatre évangiles » (J.G. Bellet). Sa beauté surpasse infiniment celle de David et, du cœur de ceux qui portent leurs regards vers Lui, jaillit alors cette appréciation de sa personne : « Tu es plus beau que les fils des hommes » (Ps. 45 : 2), comparaison qui a une portée absolue, comme celle-ci : « Dieu est plus grand que l’homme » (Job 33 : 12). Ils discernent les beautés de leur incomparable Bien-aimé dont toute la personne est désirable (voir Cant. 5 : 10-16).

                        Humanité et divinité du Fils de Dieu

            Il nous est encore dit au sujet de David, au moment de son onction comme roi sur Israël (1 Sam. 16 : 18) et à plusieurs reprises par la suite, que « l’Éternel était avec lui » (18 : 12, 14, 28). Éthan, l’Ezrakhite, annonce de la part de l’Éternel, concernant David : « Ma main sera fermement avec lui, et mon bras le fortifiera » (Ps. 89 : 21).
            C’est aussi dès l’instant où Samuel a versé l’huile sur le jeune homme, que l’Esprit de l’Éternel « saisit David ». David rendra lui-même témoignage que l’Esprit de l’Éternel avait parlé en lui (1 Sam. 16 :13 ; 2 Sam. 23 : 1-2). En lisant les psaumes écrits par David, nous admirons la manière dont l’Esprit a conduit le « doux psalmiste d’Israël » (2 Sam. 23 : 1). Cependant, dans les temps de l’Ancien Testament, le Saint Esprit n’était pas encore révélé comme une Personne divine et son action était limitée dans le temps. Ainsi David pourra demander à son Dieu : « Ne m’ôte pas l’esprit de ta sainteté » (Ps. 51 : 11).
            Ce qui est dit ainsi de David préfigure Christ dans son humanité, mais en même temps quel contraste avec la glorieuse personne du Seigneur Jésus venu comme homme sur cette terre !
            L’évangile de Luc nous fait savoir que le Seigneur a été conçu de l’Esprit, que l’Esprit est descendu sur Lui, qu’Il était plein de l’Esprit et conduit par la puissance de l’Esprit. L’apôtre Pierre Le présente comme Celui que « Dieu a oint de l’Esprit Saint et de puissance » ; et il ajoute : « Dieu était avec lui » (Act. 10 : 38-40). Paul, à son tour, nous révélera cette vérité glorieuse qu’en Lui « habite toute la plénitude de la déité » et qu’elle « s’est plu à habiter en lui » (Col. 2 : 9 ; 1 : 19) – dans le Christ glorifié dans le ciel comme dans Celui qui a été humilié sur la terre. Le Seigneur Jésus lui-même témoignera de sa communion constante avec son Père dans son chemin sur la terre : « Celui qui m’a envoyé (le Père) est avec moi ; il ne m’a pas laissé seul, parce que moi, je fais toujours ce qui lui est agréable » (Jean 8 : 29 ; voir encore 8 : 16 ; 16 : 32). Qui pourra sonder la grandeur du Fils de Dieu, sa parfaite humanité jointe à son éternelle divinité ? « Personne ne connaît le Fils, si ce n’est le Père », qui trouve ses délices en Lui et qui est glorifié par Lui (Mat. 11 : 27).


David et Goliath (1 Samuel 17)

                        Le défi de Goliath le Philistin

            Les Philistins avaient été laissés dans le pays de Canaan par l’Éternel afin qu’Israël soit éprouvé par eux, « pour savoir s’ils écouteraient les commandements de l’Éternel » (Jug. 3 : 1-4).
            Une fois de plus, les voilà qui se rassemblent pour faire la guerre au peuple de Dieu. Les armées ennemies se tiennent chacune sur une montagne, de part et d’autre de l’étroite vallée d’Éla. Tous les jours, pendant 40 jours, Goliath, le géant, champion de l’armée des Philistins, vient provoquer et défier matin et soir les troupes rangées d’Israël. Sûr de sa force et de ses armes, il demande un homme qui vienne combattre contre lui afin que le sort de la bataille soit ainsi décidé. A vue humaine, l’issue d’une telle rencontre ne fait aucun doute. Goliath est la figure de « celui qui avait le pouvoir de la mort » (Heb. 2 : 14) ; tout homme combattant contre lui est promis à une mort certaine.
            Aucun homme de l’armée d’Israël n’ose relever le défi biquotidien. Tous tremblent devant le puissant Philistin. Ni Saül, le roi, un homme « plus grand que tout le peuple, depuis les épaules en haut » (1 Sam. 9 : 2), ni Jonathan, le fils du roi, un homme vaillant par lequel l’Éternel avait sauvé Israël (voir 1 Sam. 14 : 1-15), ni Éliab, frère de David, un homme de grande apparence, ni Abner, le chef de l’armée de Saül. Tous les hommes d’Israël, saisis par « la crainte de la mort » (Héb. 2 : 15), s’enfuient à la vue du géant.

                        Envoyé par le Père

            Mais « Dieu a choisi les choses faibles du monde pour couvrir de honte les choses fortes » (1 Cor. 1 : 27) et Il va le montrer par le moyen de son serviteur David. Au moment où le Philistin s’avance pour outrager une fois de plus le Dieu des troupes rangées d’Israël, le jeune berger arrive sur le lieu du conflit. Son père l’a envoyé vers ses frères, qui étaient enrôlés dans l’armée de Saül, pour s’informer de leur bien-être (1 Sam. 17 : 18). Il s’était levé de bonne heure le matin et s’en était allé, « comme Isaï le lui avait commandé », pour accomplir cet humble service. Le berger qu’est David se met en « souci des brebis » (Jean 10 : 13) : il n’abandonne pas son troupeau mais il prend soin de le confier à un gardien. Puis il « se met en campagne pour Dieu, pour la délivrance d’Israël, pour faire connaître l’Éternel à toute la terre, et à toute la congrégation comment s’opère le salut de Dieu » (H. Rossier). Quelle glorieuse mission confiée à ce jeune berger formé dans la solitude du désert, pour combattre et remporter la victoire au nom de l’Éternel des armées !
             A peine arrivé sur le lieu du conflit, il court vers la ligne de bataille. Il entend alors la provocation du Philistin et discerne immédiatement l’opprobre jeté sur Israël. Son cœur est rempli de l’amour de son Dieu, de sa gloire, et de l’intérêt pour son peuple. Éliab reçoit son jeune frère avec colère et mépris, et pourtant qu’avait fait le jeune berger, si ce n’est obéir au commandement de son père en venant prendre des nouvelles de ses frères et leur apporter de la nourriture ?
            Nous voyons là en David de beaux traits de caractère qui dirigent nos regards vers la personne du Seigneur Jésus. Envoyé par le Père, Il est venu du ciel pour accomplir, dans une pleine obéissance, l’œuvre que le Père Lui avait donnée à faire. « Voici, je viens… pour faire, ô Dieu, ta volonté » (Héb. 10 : 7, 9). Il savait quel accueil Lui serait réservé par les siens (Jean 1 : 11), mais Il est venu « habiter » (Jean 1 : 14) parmi eux, pour leur apporter « de bonnes nouvelles… le salut » (Es. 52 : 7). Il leur a apporté dans sa Personne « le pain de vie », « le pain vivant qui est descendu du ciel », comme nourriture afin que celui qui le mange ait la vie éternelle (voir Jean 6 : 48-58).

                         Préparation au combat

            David est amené devant Saül et lui annonce sa décision de combattre celui qui jette de l’opprobre sur le peuple de Dieu et outrage le Dieu d’Israël. Saül, un homme charnel, incapable de discerner la pensée de Dieu et de reconnaître la foi du jeune homme, ne regarde qu’aux apparences : que peut ce jeune gardien de brebis contre le géant, « homme de guerre dès sa jeunesse », aux armes et à l’armure impressionnantes ? Il n’avait pas appris la leçon que Samuel avait reçue de Dieu : « Ne regarde pas son apparence, ni la hauteur de sa taille… car l’Éternel ne regarde pas ce à quoi l’homme regarde, car l’homme regarde à l’apparence extérieure, et l’Éternel regarde au cœur » (16 : 7).
            C’est alors que David révèle au roi un secret jusque-là bien gardé entre son Dieu et lui : lorsque le lion et l’ours sont venus pour s’emparer d’un mouton du troupeau de son père, il ne s’est pas enfui en abandonnant ses brebis. Il a poursuivi ces deux fauves, il a délivré le mouton de leur gueule et les a tués l’un et l’autre. Quelle différence maintenant pour lui entre le lion, l’ours, et l’ennemi du peuple de Dieu ? « Sa dépendance de ce Dieu, dont il a éprouvé la délivrance dans sa lutte au désert avec le lion et l’ours, le rend sans crainte et calme en présence d’un terrible adversaire » (J.B. Stoney).
            « Tu n’es pas capable » de combattre le Philistin, dit Saül à David (17 : 33). Ni même avec les armes et l’armure du roi d’Israël. Que peut la chair, que peuvent les ressources humaines contre la puissance de Satan ? Mais la foi de David répond : « L’Éternel… lui me délivrera » (v. 37). Les expériences qu’il avait faites avec son Dieu au désert l’avaient préparé pour ce combat public, devant tout le peuple d’Israël.

            Avant de le vaincre définitivement à la croix, le Seigneur Jésus a été confronté par deux fois à Satan et a triomphé de lui :
                  Au moment d’entrer dans son ministère, Il est tenté par le diable dans le désert, pendant 40 jours. Mais l’Homme obéissant et dépendant remporte la victoire par la seule parole de Dieu : « Il est écrit… » (Luc 4 : 4, 8, 12).
                  A la veille de la crucifixion, à Gethsémané, Satan s’approche une nouvelle fois et place devant l’âme sainte du Seigneur les terreurs de la mort, dont il possédait alors encore le pouvoir. Jésus lutte en prières et en supplications adressées à son Père et sort vainqueur de ce douloureux combat moral, dans la perfection de son obéissance. Il dit à son disciple : « La coupe que le Père m’a donnée, ne la boirai-je pas ? » (Jean 18 : 11).

            Sur la ligne de bataille

            Nos pensées sont dirigées vers Celui qui est venu sur la terre, devenu homme pour glorifier le Père, dans sa vie et dans sa mort, et pour accomplir entièrement l’œuvre qu’Il lui avait donnée à faire. Christ a dressé sa face résolument vers « Jérusalem, la ville qui tue les prophètes et qui lapide ceux qui lui sont envoyés » (Mat. 23 : 37). Rien ni personne n’a pu Le détourner du but qui était devant Lui. A l’approche de l’heure de l’abandon, Il dit : « C’est pour cela, pour cette heure, que je suis venu. Père, glorifie ton nom » (Jean 12 : 27-28).

                        La victoire remportée

            David répond au mépris et aux insultes du géant par la ferme assurance que l’Éternel sauve et que la bataille est comme déjà gagnée. Une seule pierre suffit pour atteindre le Philistin au front. Cette pierre, qui a atteint son but en un seul coup, nous fait penser à l’œuvre unique, à laquelle il n’y a rien à ajouter, accomplie par le Seigneur Jésus. Elle est pleinement suffisante pour renverser définitivement Satan et toute sa puissance.
            Le guerrier philistin s’écroule. David court à nouveau (v. 51 ; voir v. 22 et 48), s’empare de l’épée du géant et le tue avec sa propre arme. Christ a remporté la victoire décisive sur Satan, une fois pour toutes. « Par la mort », Il a rendu « impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort, c’est-à-dire le diable » (Héb. 2 : 14). Il est entré volontairement dans la mort, il l’a annulée (2 Tim. 1 : 10) et en a enlevé le pouvoir à celui qui le détenait.
            La crainte de la mort est ôtée par la victoire de David et la mort du champion des Philistins. Les fils d’Israël se lèvent et poursuivent leurs ennemis qui s’enfuient devant eux. « La défaite de Goliath est celle de tous les Philistins ; le monde, comme son chef, est maintenant un ennemi vaincu, devant lequel nous avons bon courage » (H. Rossier).
            L’homme fort des Philistins est mort. A la question posée en Ésaïe 49 : 24 : « Ce qu’il a pris sera-t-il enlevé à l’homme fort, et celui qui est justement captif sera-t-il délivré ? », Dieu répond Lui-même : « Car ainsi dit l’Éternel : Même le captif de l’homme fort lui sera enlevé, et ce qui a été pris par l’homme puissant sera délivré… et toute chair saura que je suis l’Éternel, ton sauveur, et ton rédempteur » (v. 25-26). Christ est Celui qui, par sa croix et dans sa mort, a « enlevé » les prisonniers à Satan, l’homme fort, et libéré ceux que l’homme puissant maintenait sous son pouvoir.
            La victoire de David et la délivrance obtenue proviennent de l’Éternel (v. 47). Christ a remporté seul, sur la croix, la victoire complète sur Satan. C’est en vainqueur qu’Il est entré dans la mort pour nous délivrer de la captivité et nous affranchir de la peur de la mort. Le croyant peut lancer, avec l’apôtre, ce cri de triomphe : « Où est, ô mort, ta victoire ? » (1 Cor. 15 : 55).

Amour et dévouement pour le Seigneur

            Que nos cœurs s’attachent à notre Sauveur, comme « l’âme de Jonathan se lia à l’âme de David » (1 Sam. 18 : 1) ! Il en sera ainsi si nous pensons à sa Personne et méditons sur l’amour de Celui qui a donné sa vie pour nous, qui a vaincu le puissant adversaire qui nous tenait prisonniers, et est entré dans la mort pour nous en délivrer pour toujours. Nous méritions la mort parce que nous étions des pécheurs, et « le salaire du péché, c’est la mort » ; mais nous avons reçu dans notre Seigneur « le don de grâce de Dieu… la vie éternelle » (Rom. 6 : 23).
            Contemplons l’anéantissement du Christ Jésus, son abaissement. Souvenons-nous de la mort du Seigneur, pensons à sa victoire, son élévation dans la gloire et sa position à la droite de Dieu dans les lieux célestes. Réjouissons-nous des résultats présents et éternels de son œuvre. Il nous a délivrés de Satan, de la mort, du monde, de la chair ; puissions-nous alors ne plus vivre pour nous-mêmes, mais pour Celui qui pour nous est mort et a été ressuscité (2 Cor. 5 : 15), marcher « en nouveauté de vie » (Rom. 6 : 4) pour L’aimer, le servir et l’attendre.


Résumé

            Après la triste expérience de Saül, Dieu voulait un roi selon son cœur, car Il avait en vue Christ. David est celui que l’Éternel désigne pour être oint sur Israël : « J’ai choisi David pour être roi sur mon peuple Israël » (1 Rois 8 : 16). David préfigure Christ dans son humanité, mais en même temps il offre bien des contrastes avec la personne du Seigneur Jésus venu comme homme sur la terre.
            Dans l’histoire de David et Goliath, beaucoup de faits et de détails nous ramènent à Christ, à son œuvre et à sa victoire remportée sur Satan. « Par la mort, il a rendu impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort » (Héb. 2 : 14).
            Que nos cœurs s’attachent à notre Sauveur comme « l’âme de Jonathan se lia à l’âme de David ». Cela se réalisera si nous pensons à sa Personne et si nous méditons sur l’amour de Celui qui a donné sa vie pour nous.


Ph. F - « Messager évangélique » 2018 n°6