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La communion : une relation étroite avec Dieu

 

Être proche de Jésus
Marcher avec Dieu
Demeurer près du Seigneur et demeurer en Lui
S'entretenir avec Dieu – des exemples de l’Ecriture
Partager un repas
Comment définir ce qu'est précisément la communion ?


            « Marie, s'étant assise aux pieds de Jésus, écoutait sa parole » (Luc 10 : 39)
            « Dieu est fidèle, lui par qui vous avez été appelés à la communion de son Fils Jésus Christ, notre Seigneur » (1 Cor. 1 : 9).


Être proche de Jésus

            En 1972, lors de la sortie d'un de ses romans, on a demandé à un écrivain, Gilbert Cesbron (1913-1979), de remplir un questionnaire psychologique, le « questionnaire de Proust ». A la question : « Quel serait mon plus grand malheur ? », il a répondu : « Ne plus vivre dans la proximité de Jésus de Nazareth ». Quelques années plus tard, après la publication d'un nouveau roman, on lui a fait remplir à nouveau le questionnaire. A la même question, sa réponse a été : « Ne plus vivre dans la compagnie du Christ de Nazareth ». Quelle constance ! Le romancier n'avait jamais caché sa foi, et tous ses livres en étaient empreints.

             « Vivre dans la proximité de Jésus », ou « vivre dans la compagnie du Christ », la Bible appelle cela la communion avec le Seigneur. Une telle vie suppose d'abord qu'on ait cru en Jésus Christ et que par Lui on ait reçu le pardon de Dieu. Mais la communion, c'est bien plus que cela, c'est connaître le Seigneur comme Celui avec qui j'ai une relation vivante de proximité, celui que je laisse intervenir dans ma vie. La Bible emploie plusieurs images pour évoquer la communion :
                    - marcher avec un ami et parler avec lui ;
                    - passer quelque temps chez lui ;
                    - avoir un dialogue en échangeant des pensées et des sentiments ;
                    - partager un repas avec lui.

            Nous pouvons tous exprimer cette demande : Seigneur, donne-moi ce désir de vivre à tes côtés, j'ai besoin de Toi.


Marcher avec Dieu

            « Hénoc marcha avec Dieu ; et il ne fut plus, car Dieu le prit » (Gen. 5 : 24).
            « Marchez comme des enfants de lumière... éprouvant ce qui est agréable au Seigneur... comprenez quelle est la volonté du Seigneur » (Éph. 5 : 8-9, 17).

            Avec un ami, nous échangeons sur de nombreux sujets, tout en marchant jusqu'à son lieu de travail. Quand nous arrivons près de l'entrée de son bureau, notre conversation est souvent loin d'être finie ; mais nous savons qu'elle pourra se poursuivre le lendemain. Nous marchons ensemble, partageant nos pensées ; nous avons « communion » l'un avec l'autre.
            Au début de la Bible, il est parlé d'un homme, Hénoc, dont la vie n’est décrite qu’en quelques phrases ; mais, à deux reprises, nous lisons qu'il « marcha avec Dieu » (Gen. 5 : 22, 24). Ainsi Hénoc était en communion avec Dieu, c'était comme s'il se promenait, parlant et s'entretenant avec Lui. Et un jour, fait mystérieux, on ne le trouva plus, car Dieu l'avait « enlevé pour qu’il ne voie pas la mort » (Héb. 11 : 5). Hénoc avait été dans la proximité de Dieu pendant 300 ans ! Et, à la fin, Dieu l'a pris pour toujours avec Lui. Ce n'est pas Dieu qui a marché avec lui, c'est Lui qui a marché avec Dieu (c'est autre chose) ; il y avait accord de pensées, de conduite et de but entre eux. Son enlèvement a couronné sa belle marche au cours de laquelle il avait été enseigné par Dieu lui-même. La marche du Seigneur avec Dieu est le modèle absolu de la marche chrétienne.

            D'autres croyants ont aussi marché avec Dieu : par exemple Abraham, qui est appelé « ami de Dieu » (2 Chr. 20 : 7 ; Es. 41 : 8 ; Jac. 2 : 23).
            Marcher avec quelqu'un permet de parler avec lui. « Marcher avec le Seigneur », c'est avoir affaire à Lui dans toutes les circonstances de notre vie. C'est rechercher sa volonté, Lui poser des questions et attendre ses réponses.
            Dieu peut-il marcher avec nous ? Sommes-nous d'accord avec Lui ? Notre passage sur la terre pourra-t-il se résumer par ces mots : il (ou elle) a marché avec Dieu ?


Demeurer près du Seigneur et demeurer en Lui

            « Si quelqu'un m'aime, il gardera ma parole, et mon Père l'aimera ; nous viendrons à lui et nous ferons notre demeure chez lui » (Jean 14 : 23).
            « Comme le Père m'a aimé, moi aussi je vous ai aimés ; demeurez dans mon amour » (Jean 15 : 9).

            Jean 1 : 35-39 : Deux disciples suivent Jésus. Il se retourne et leur demande : « Que cherchez-vous ? ». Ils lui dirent : « Où demeures-tu ? » et Jésus les invite à venir près de Lui. Ces deux disciples voulaient la compagnie du Seigneur pour pouvoir L'entendre, Le questionner et bénéficier de son intimité.
            Luc 19 : 2-6 : Zachée, lui aussi, voulait connaître Jésus : il cherchait à savoir « qui il était ». Il est alors monté sur un arbre au bord du chemin, et il a vu Jésus arriver. Mais surtout, il L’a entendu lui dire : « Zachée, descends vite, car il faut que je demeure aujourd'hui dans ta maison ». Aussitôt il a reçu Jésus chez lui, avec joie.

            Pour nous, chrétiens, la communion avec le Seigneur, c'est effectivement « demeurer avec Lui ». Ainsi nous pouvons nous tenir, par la foi, près de Lui, en le priant et en lisant sa Parole. Nous pouvons aussi rechercher la communion des croyants, lors de réunions chrétiennes, là où le Seigneur a promis sa présence (Matt. 28 : 20). Son Esprit nous fait éprouver sa présence, quand nous vivons en obéissant à sa Parole, quand nous « gardons » sa Parole (voir Jean 14 : 23).
            Sur la terre, le Seigneur faisait la volonté de son Père en ayant toujours conscience de son amour. Il nous invite à faire de même. Ainsi notre joie pourra être « complète » (Jean 15 : 10-11), notre vie reflétera quelque chose de ses caractères, et Dieu en sera honoré.

            Jésus a dit à ses disciples :« Demeurez en moi, comme moi en vous. De même que le sarment ne peut pas de lui-même porter de fruit, à moins qu'il ne demeure dans le cep, de même vous non plus vous ne le pouvez pas, à moins que vous ne demeuriez en moi... Celui qui demeure en moi, et moi en lui, celui-là porte beaucoup de fruit » (Jean 15 : 4-5).
            Voici le commentaire de H. Smith sur ce passage :
                    Que devons-nous comprendre par ces paroles du Seigneur : « Demeurez en moi » ? Elles suggèrent une marche dans une telle proximité de Jésus que l'âme trouve ses délices dans toute la beauté de son Seigneur. Demeurer en Christ sous-entend que le cœur est en communion avec Lui, se réjouit de se confier en Lui et d'apprendre de Lui. Par-dessus tout, le fait de demeurer en Christ implique une vie vécue sous l'influence de sa présence, expérimentée par la foi. C'est marcher en réalisant qu'Il écoute nos paroles, qu'Il voit ce que nous faisons et qu'Il connaît nos peines. Demeurer en Lui, c'est ainsi marcher sous son influence bénie.
            En demeurant en Christ nous porterons du fruit, et ce fruit dont le Seigneur parle, est produit lorsque son propre caractère se manifeste dans la vie des croyants. Le fait de refléter les merveilleux caractères de Christ, même faiblement, est un fruit produit pour le Père et un témoignage envers le monde. Le but essentiel de notre vie terrestre dans ce monde de ténèbres est donc de « briller comme des luminaires » (Phil. 2 : 15), en reflétant quelque chose de la beauté du caractère de Christ. Nous ne ferons jamais voir le caractère de Christ simplement par nos propres efforts pour être semblable à Lui. En revanche, si nous recherchons sa présence et si nous nous plaçons sous sa direction en demeurant en Lui, nous serons peu à peu transformés à son image (2 Cor. 3 : 18).
            Nous pouvons posséder un don, avoir beaucoup de connaissance et de zèle. Toutefois cette vérité demeure : « Séparés du Seigneur, vous ne pouvez rien faire » (Jean 15 : 5). Un don, de la connaissance, du zèle ne sont pas synonymes de puissance. Ces choses ne nous rendent pas capables de vaincre la chair, de dire non au monde, ni d'échapper aux pièges du diable. Donc, si nous ne pouvons rien faire sans Christ, cherchons à demeurer en Lui et craignons d'avancer un seul jour, de faire un seul pas, sans Lui.


S'entretenir avec Dieu – des exemples de l’Ecriture

            (Le jeune Samuel a répondu à Dieu :) « Parle, car ton serviteur écoute » (1 Sam. 3 : 10).
            « L'Éternel parlait à Moïse face à face, comme un homme parle avec son ami » (Ex. 33 : 11).
            « Je parle avec lui bouche à bouche, et en me révélant clairement, et non en énigmes » (Nom. 12 : 8).

            Citons quelques exemples de dialogues :

                    L'Éternel dit à Abraham : « Ne crains point ; moi, je suis ton bouclier et ta très grande récompense » (Gen. 15 : 1). Abraham, qui n'a pas d'enfant, répond : « Que me donneras-tu ? Je m'en vais sans enfant...  » (v. 2). Alors le Seigneur lui annonce qu'il aura vraiment un enfant. Puis il le fait sortir et lui dit : « Regarde vers les cieux, et compte les étoiles… Ainsi sera ta descendance » (v. 5). Dans un premier temps, l'Éternel ne lui dit pas ce qu'Il veut lui donner, mais ce qu'Il veut être pour lui : c'est la chose la plus élevée qui soit. Cela est lié au refus d'Abraham de prendre quelque chose du monde (Gen. 14 : 23). Cette relation pousse le patriarche à exprimer ce qu'il a au fond du cœur, ce qu'il éprouvait secrètement.

                    Moïse se trouve dans la tente d'assignation dans une communion comme il n'en avait jamais connue avec son Dieu. Conscient d'être un objet de grâce, il supplie l'Éternel d'étendre cette grâce à tout le peuple (Ex. 33 : 12-16). L'Éternel va exaucer sa prière.

                    L'apôtre Paul supportait une souffrance physique continuelle ; alors il a supplié une fois le Seigneur afin d'être guéri. La réponse ne nous est pas donnée, mais nous savons que l'apôtre a supplié une deuxième fois, et une troisième. Et là seulement, nous pouvons entendre la réponse divine : « Ma grâce te suffit, car ma puissance s'accomplit dans la faiblesse » (2 Cor. 12 : 9).

                    Jésus parle de son retour. Alors avec l'Esprit, l'Église, son épouse, s'écrie : « Viens ». Ensuite, le Seigneur répond : « Oui, je viens bientôt ». Et l'Église répond à son tour : « Amen ; viens, Seigneur Jésus ! » (Apoc. 22 : 16-20).

            Ces dialogues montrent ce qu'est la communion avec Dieu. Par l'écoute du Seigneur, par la prière, par la méditation de sa Parole, nous échangeons avec Lui - cela, bien sûr, si au préalable, nous L'avons reçu dans notre vie. Parfois le Seigneur nous parle et nous interpelle d'une manière ou d'une autre. Pouvons-nous alors Lui répondre nous aussi : « Parle, Seigneur, car ton serviteur écoute » ?


Partager un repas

            (Jésus dit :) « Voici, je me tiens à la porte et je frappe : si quelqu'un entend ma voix et qu'il ouvre la porte, j'entrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec moi » (Apoc. 3 : 20).

            Prendre un repas ensemble a souvent une valeur symbolique, car le repas est un moment privilégié pour l'échange.
            Ainsi, plusieurs passages de la Bible montrent que les repas sont l'occasion d'une conversation, d'un échange, d'une communication réciproque, mais aussi de réconciliation et d'alliance :

                    Dieu fait l'honneur à Abraham de l'appeler « son ami » (voir citations données plus haut) ; c'est un modèle pour la communion. A ce titre, Il lui rend visite (Gen. 18) et veut le mettre au courant de ses intentions à son sujet (v. 9-15), et au sujet  du monde (v. 20-21). Le patriarche Lui répond dans une liberté confiante qui n'exclut pas le respect. L'empressement joyeux avec lequel il reçoit ses invités révèle l'état de son cœur : il connaît son Dieu, il a « goûté que le Seigneur est bon » (1 Pier. 2 : 3). Quelle intimité entre Dieu et le patriarche !

                    Laban et Jacob ont fait ensemble une alliance, en établissant entre eux une frontière par un monument de pierres (Gen 31 : 45-48). Jacob offre alors un sacrifice sur la montagne pour rendre grâces à Dieu, puis il invite Laban et ceux qui l'accompagnaient à manger, signe de leur entente (v. 54).

                    Avec Elimélec, son mari, Naomi s'était éloignée d'Israël pour aller dans les champs de Moab (Ruth 1 : 2). Devenue veuve, elle prend le chemin du retour avec ses deux belles-filles moabites. Orpa la laisse. Ruth l'accompagne, faisant ce choix irrévocable de la foi (v. 16). Ruth la glaneuse va finir par rencontrer Boaz, un type de Christ (2 : 3). Elle sera conviée à sa table, assise en sa compagnie à côté des moissonneurs. Boaz lui tend du grain rôti ; son âme est nourrie et son cœur satisfait (v. 14). La communion trouvée à la table de Boaz ne lui fait pas oublier sa tâche. Elle puise dans cette communion une force et une activité nouvelles, avec des résultats plus abondants et plus bénis qu’auparavant. Pour être efficace, le travail pour le Seigneur doit découler de cette précieuse communion et de ce que nous avons reçu pour nous-mêmes.

                    Mephibosheth, infirme, était rempli de son indignité : il se qualifie de « chien mort » (2 Sam. 9 : 8). Il attendait, effrayé, un jugement. Cependant, le roi David lui manifeste une grâce unique : il est cherché, appelé par son nom, rassuré, enrichi, invité comme un membre de la famille royale à la table du roi (v. 11). Il est enfin pris en charge pour toujours.

            Cette valeur symbolique du repas est particulièrement claire quand c'est avec le Seigneur lui-même qu’il est partagé . Alors s'exprime notre communion avec Lui, comme le montrent plusieurs scènes des évangiles :

                    Dans le chapitre 13 de Jean, nous voyons le Seigneur interrompre le repas pour laver les pieds de ses disciples. Si les croyants sont lavés une fois pour toutes par le sang de Christ, ils ont aussi besoin d'être purifiés des souillures de leur marche quotidienne, sinon leur communion avec le Seigneur - une « part » avec Lui » (v. 8) - est interrompue. S'étant remis à table, L'Ecriture nous révèle la place particulière du disciple Jean lorsque le Seigneur se remet à table : il est « tout contre le sein de Jésus », « penché sur la poitrine de Jésus » (v. 23, 25) - à sa place naturelle, le plus près du Seigneur possible. Il jouissait de la communion avec Jésus et recevait la réponse à ses questions.

                    Le jour de sa résurrection, Jésus a marché avec deux disciples, mais Il a attendu qu'ils l'invitent pour rester avec eux. Alors, au moment du repas, leurs yeux se sont ouverts et ils L’ont reconnu comme le Seigneur ressuscité (Luc 24 : 36-39). Le Seigneur veut parler avec nous, Il frappe à notre porte, Il s'abaisse à dire à chacun : Ouvre-moi la porte de ton cœur ! - Mais Il ne s'impose pas à celui qui ne souhaite pas sa présence : « il fit comme s’il allait plus loin », et ce sont les disciples qui l’ont forcé à rester avec eux, en disant : « Demeure avec nous... » (v. 28-29).

                    Jésus a demandé à deux de ses disciples, Pierre et Jean, de préparer la Pâque. Il leur suffira de suivre un homme portant une cruche d’eau, image du Saint Esprit (Luc 22 : 8-12). Ils sont conduits dans une « grande salle garnie ». Quand l’heure est venue, le Seigneur se met à table. Lui-même a « fortement désiré manger cette pâque » avec eux, avant qu’Il souffre (v. 15). A la fin de ce repas, le Seigneur a institué la Cène.

            Cette communion avec le Seigneur est particulièrement vécue lors d'un culte où la Cène est célébrée (1 Cor. 10 : 16). Il y a la communion les uns avec les autres - « horizontale » - qui unit ceux qui y participent : ils partagent les mêmes privilèges par rapport au Seigneur et ils sont liés entre eux. Il y a aussi, et même avant tout, la communion « verticale » qui unit chacun au Seigneur qui est dans le ciel, et qui unit l'ensemble (image de l'Église) au Christ (l'Époux). La Cène du Seigneur est le souvenir de Celui qui s'est donné pour nous. Combien il est heureux de pouvoir y participer !


Comment définir ce qu'est précisément la communion ?

            « Notre communion est avec le Père et avec son Fils Jésus Christ » (1 Jean 1 : 3).

            Voici un commentaire de C.H. Mackintosh à propos du verset ci-dessus :
                    Peu de termes sont autant employés, et pourtant aussi peu compris que la communion. Souvent il exprime simplement le fait d'être compté parmi les membres d'une dénomination religieuse – ce qui n'est pas le gage d'une communion vivante avec Christ ou d'un réel dévouement pour Lui. Si tous ceux qui se disent en communion se comportaient réellement comme des hommes de Dieu, les choses seraient bien différentes !
            Mais qu'est-ce que la communion ? C'est avoir avec Dieu un objet commun, et goûter la même part. Cet objet, cette part, c'est Christ - connaître Christ, nous réjouir en Lui par le Saint Esprit. C'est la communion avec Dieu lui-même ! Quel privilège : il nous est accordé d'avoir une part et un objet communs avec Dieu lui-même ! Nous réjouir en Celui en qui Dieu trouve ses délices ! Il n'y a rien de plus précieux. Même dans le ciel, nous n'aurons pas plus que cela. Notre condition sera tout à fait différente : nous en aurons fini avec nos corps de péché et de mort, et nous aurons revêtu un corps de gloire. Mais dans la mesure où notre communion est réelle, elle est dès maintenant, comme elle le sera alors, « avec le Père et son Fils Jésus Christ » - « dans la lumière », et par la puissance du Saint Esprit.
            Ce n'est que dans la lumière que l'on peut jouir de la vraie communion chrétienne. Lorsque chacun de nous marche avec Dieu, dans une relation personnelle avec Lui, nous avons réellement communion les uns avec les autres. Cette communion consiste en une réelle jouissance de Christ, dans le cœur, comme notre seul objet, notre part commune.

            Veillons afin que cette part si heureuse avec Christ ne soit pas troublée mais maintenue.
 

M. T