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L’avenir selon les prophéties de la Bible (6)


UN AVENIR POUR ISRAEL ?
 
Les promesses de Dieu
 
La souveraineté de Dieu
 
L'appel de Dieu
 Les alliances conclues dans le désert
  Dans le pays
 
Dieu a-t-il rejeté son peuple ?
 
Les prophéties



UN AVENIR POUR ISRAEL ?
          

            Dans quelques passages de l'Ecriture, Dieu est nommé « le Très-Haut, possesseur des cieux et de la terre », et en Apocalypse 11 : 4, « le Seigneur de la terre ».
            Bien que Dieu exerce ses droits sur la terre tout entière, il y a pourtant un pays qu'il désigne plus spécialement comme le sien et qui jouit d'une position particulière. Ce pays c’est la Palestine. En Lévitique 25 : 23, Dieu déclare à son sujet : « Le pays est à moi ».
            Ce pays est appelé « le pays de beauté » en Daniel 11 : 41, et le « centre du pays », ou « nombril de la terre » en Ézéchiel 38 : 12.
            Sur la terre se trouve également un peuple qui occupe une position particulière, que Dieu nomme « son peuple » (Deut. 7 : 6-8). « Je vous prendrai pour être mon peuple » (Ex. 6 : 7). Lorsqu'Il le mentionne au Pharaon, Dieu dit expressément : « Laisse aller mon peuple, pour qu'ils me servent dans le désert » (Ex. 7 : 16). Il s'agit du peuple d'Israël.
            Dieu a lié ce peuple et ce pays l'un à l'autre. « Quand vous serez entrés dans le pays que je vous donne... le pays est à moi ; car vous, vous êtes chez moi comme des étrangers et comme des hôtes » (Lév. 25 : 2 et 23). Tous deux sont en relation étroite avec les conseils de Dieu concernant cette terre.
            Dieu déclare au sujet du pays : « ... un pays dont l'Eternel, ton Dieu, a soin, sur lequel l'Eternel, ton Dieu, a continuellement les yeux, depuis le commencement de l'année jusqu'à la fin de l'année » (Deut 11 : 12), et au sujet du peuple : « l'Eternel vous a aimés » (Deut. 7 : 8), et « ils sont bien-aimés à cause des pères » (Rom. 11 : 28).
            C'est dans ce pays, au milieu de ce peuple, que se trouve Jérusalem, la ville bien-aimée, la ville du grand roi, le « lieu que l'Eternel, votre Dieu, choisira pour y faire habiter son nom » (Deut. 12 : 11 ; voir 1 Rois 11 : 36). C'est là qu'était établi le trône de l'Eternel (1 Chr. 19 : 23), là que Dieu suscita ses prophètes et fit mettre sa Parole par écrit, là enfin que le Fils de Dieu - « Dieu manifesté en chair » (1 Tim. 3 : 16) - vint sur la terre, vécut et marcha parmi ce peuple. « Car il est évident que notre Seigneur a surgi de Juda » (Héb. 7 : 14). C'est là aussi qu'Il fut crucifié et qu'Il accomplit l'œuvre de la réconciliation, seule base sur laquelle Dieu peut entrer en relation avec le pécheur, et sur laquelle toutes choses peuvent être réconciliées avec Lui. C'est là encore qu'Il ressuscita, de là qu'Il monta au ciel. C'est également l'endroit où naquit l'Assemblée de Dieu. Finalement, c'est le lieu où le Seigneur Jésus reviendra lorsqu'Il redescendra du ciel pour juger ses ennemis (Act. 1 : 11 ; Zach. 14 : 3-4). C'est de Jérusalem qu'Il régnera sur la terre en jugement et en justice (Es. 9 : 7 ; 11 : 1-10), faisant d'Israël le centre et le canal de bénédiction pour le monde.
            De fait, Israël et la Palestine sont les clés de la crise mondiale. C'est là que tous les problèmes trouveront leur solution - non pas en Russie, ni en Amérique, ni en Europe occidentale, mais bien en Palestine. La Parole de Dieu va même jusqu'à affirmer en Deutéronome 32 : 8 que Dieu a établi les frontières des peuples selon le nombre des fils d'Israël. Israël se trouve au centre des voies divines à l'égard de cette terre ; il est par conséquent le plus important de tous les peuples.
            Pourquoi donc Dieu a-t-il conféré à ce peuple une telle position ? Non pas, comme certains blasphémateurs l'ont prétendu, que Dieu serait du côté du peuple qui possède le plus grand nombre de canons !
            « Ce n'est pas parce que vous étiez plus nombreux que tous les peuples, que l'Eternel s'est attaché à vous et vous a choisis ; car vous êtes le plus petit de tous les peuples ; mais parce que l'Eternel vous a aimés et parce qu'il garde le serment qu'il a juré à vos pères » (Deut. 7 : 7, 8). Avant même qu'Abraham, le père d'Israël, soit né, Dieu avait disposé les nations de la terre autour de la Palestine en fonction du nombre de tribus d'un peuple qui n'existait pas encore et qui ne prendrait possession de ce pays que bien des siècles plus tard (Gen. 10 : 25 ; Deut. 32 : 8).
            Les bénédictions d'Israël se fondent exclusivement sur la puissance de Dieu et sur Ses promesses.

 
Les promesses de Dieu

            Romains 11 : 29 déclare que « les dons de grâce et l'appel de Dieu sont irrévocables ». C'est un passage fréquemment cité, que nous appliquons aussi à nous-mêmes avec raison, puisqu'il s'agit là d'un principe divin.
            Mais que ceux qui nient tout avenir à Israël veuillent bien remarquer que ces paroles concernent en premier lieu les promesses données à ce peuple.
            Par une telle affirmation, l'apôtre ne voulait pas dire que des individus parmi les Juifs pourraient encore se convertir après la mise de côté de leur peuple en tant que tel. Personne n'en a jamais douté. Les milliers de Juifs convertis au christianisme, en Palestine comme partout ailleurs, même à Rome, en donnent la preuve éclatante. Paul n'était-il pas lui-même Juif ?
            Non, l'apôtre utilise ce principe reconnu de tous pour prouver que le peuple d'Israël n'est pas rejeté pour toujours. Momentanément, il a été mis de côté, et le salut est parvenu aux nations (Rom. 11 : 11). Dieu s'est servi de cette circonstance pour les exciter à jalousie. Une fois la plénitude des nations entrée, « tout Israël sera sauvé, comme il est écrit : Il viendra de Sion, le Libérateur ; il détournera de Jacob l'impiété » ; « Dieu n'a pas rejeté son peuple » (Rom. 11 : 26 et 2).
            Emerveillé alors par la considération des voies de Dieu, Paul éclate en louange dans les derniers versets de notre chapitre : « O profondeur des richesses et de la sagesse et de la connaissance de Dieu ! Que ses jugements sont insondables et ses voies indiscernables ! » (Romains 11 : 33).
            Pour bien nous convaincre que tant la mise de côté actuelle d'Israël que son rétablissement futur concordent parfaitement avec les promesses de Dieu, nous allons examiner ces dernières d'un peu plus près. Le retour de nombreux Juifs en Palestine et la reconstitution de la nation juive remontent à 1948, mais ces événements ont eu lieu dans l'incrédulité ; ils correspondent à la scène des ossements rassemblés, mais encore sans souffle, décrite en Ezéchiel 37.

 
La souveraineté de Dieu

            Une distinction claire est faite entre la position de l'homme avant et après le déluge. Avant ce cataclysme, il existait déjà un peuple de Dieu, mais nulle part nous ne le voyons recevoir d'injonctions précises à se séparer du monde. Par ailleurs, l'autorité de Dieu ne s'était pas encore manifestée en jugement sur le mal.
            Après le déluge, une terre nouvelle apparaît, et Dieu confie à Noé la responsabilité d'exercer l'autorité, afin que le mal soit contenu. « Qui aura versé le sang de l'homme, par l'homme son sang sera versé » (Gen. 9 : 6).
            Hélas, Noé manque à son tour, tout comme l'humanité n'a cessé de le faire après lui. A cause de son ébriété, il perd la considération de celui à qui elle est le plus nécessaire : son fils.
            Puis Satan a su très vite séduire à nouveau les hommes et les conduire à commettre un péché jamais mentionné avant le déluge : l'idolâtrie (Jos. 24 : 2). Il devint ainsi le dieu de ce monde, puisque l'idolâtrie n'est en réalité rien d'autre que le « culte des démons » (1 Cor. 10 : 20).

 
L'appel de Dieu

            Dieu appelle alors Abram à quitter son pays, sa parenté et la maison de son père pour se rendre dans le pays qu'Il lui montrera. Nous avons donc là un nouveau commencement.
            Aucune responsabilité n'est confiée à Abram ; Dieu l'appelle tel qu'il est hors du milieu où il se trouve, pour qu'il vienne vers Lui et soit séparé pour Lui. Voilà la grâce. Les promesses que Dieu lui donne correspondent d'ailleurs à cette grâce : pas une seule condition n'est posée à leur accomplissement.
            En Genèse 12 : 7, Dieu déclare à Abram : « Je donnerai ce pays à ta semence », et lui répète, après sa séparation d'avec Lot : « Lève tes yeux, et regarde, du lieu où tu es, vers le nord, et vers le midi, et vers l'orient, et vers l'occident ; car tout le pays que tu vois, je te le donnerai, et à ta semence, pour toujours » (Gen. 13 : 14-15). Il lui définit plus loin avec exactitude les frontières de ce pays : « Je donne ce pays à ta semence, depuis le fleuve d'Egypte jusqu'au grand fleuve, le fleuve Euphrate... » (Gen. 15 : 18).
            Ces promesses sont confirmées expressément à Isaac et à Jacob en Genèse 26 : 3 et 28 : 13, là encore sans aucune condition. Dieu a donc donné à Abraham, Isaac et Jacob la promesse inconditionnelle que leur semence posséderait pour l'éternité la Palestine, délimitée selon les frontières établies en Genèse 15.
            Lorsque plus tard le peuple se trouve oppressé en Egypte, et que Dieu entend son cri, il se souvient de son alliance avec Abraham, Isaac et Jacob. « Et Dieu regarda les fils d'Israël, et Dieu connut leur état » (Ex. 2 : 25). Dans sa bonté et sa grâce, Dieu les délivre du pays de l'esclavage et supporte avec une patience infinie tous leurs murmures et leurs plaintes. Il leur donne la manne du ciel pour nourriture, l'eau du rocher et la victoire sur leurs ennemis (Ex. 15 et 17).

 
Les alliances conclues dans le désert

            En Exode 19, les principes de l'alliance de Noé se trouvent associés aux principes de l'alliance d'Abraham. Il s'agit toujours de promesses de la bonté de Dieu, mais liées cette fois-ci à des conditions. La Loi exprime à quelles conditions la souveraineté de Dieu sera réalisée.
            Le peuple se place volontairement sous la Loi. Mais, avant même qu'il l’ait reçue, il l'a déjà transgressée. Moïse, dans son rôle d'intermédiaire, ne peut détourner le jugement qu'en se basant devant Dieu sur les promesses données à Abraham, Isaac et Jacob (Ex. 33 : 13).
            Nous retrouvons les mêmes principes dans le Deutéronome chaque fois qu'il est question de l'alliance. De grandes bénédictions sont promises aux fils d'Israël, mais sous la condition de leur obéissance. Faute de respecter cette condition, ils perdraient toutes ces bénédictions et tomberaient sous le jugement de Dieu. Telle est la base sur laquelle le peuple d'Israël entre dans le pays promis pour le prendre en possession.

 
Dans le pays

            Nous connaissons bien l'histoire du peuple dans le pays promis. Loin d'être obéissants, les fils d'Israël tournent le dos à Dieu et transgressent tous ses commandements. La sacrificature se corrompt avec Eli (1 Sam. 2 et 4). Lorsque Dieu leur donne un prophète - d'après Actes 3 : 24, Samuel était le premier des prophètes -, le peuple réclame un roi et par-là rejette pratiquement la royauté de Dieu (1 Sam. 8 : 7). Après la faillite de Saül, le roi selon la chair, Dieu fait oindre roi David, l'homme selon son cœur ; mais ses descendants se corrompent eux aussi, de sorte que le peuple tout entier devient l'esclave de l'idolâtrie la plus abjecte. Dieu doit agir désormais selon les exigences de sa souveraineté. Il fait venir sur le peuple toutes les malédictions dont Il les avait menacés en cas de désobéissance. Les dix tribus sont les premières à connaître l'exil, suivies plus tard des deux dernières. Et lorsque, par la grâce de Dieu, un résidu des deux tribus est ramené de Babylone, Il doit lui-même les chasser à nouveau du pays : ils avaient rejeté même leur Messie, le Fils de Dieu. Dieu agit ainsi selon les conditions qu'Il avait posées à ses promesses dans l'Exode et le Deutéronome.

 
Dieu a-t-il rejeté son peuple ?

            L'infidélité du peuple peut-elle vraiment annuler les promesses inconditionnelles que Dieu a données à Abraham, Isaac et Jacob ?
            « Les dons de grâce et l'appel de Dieu sont irrévocables », affirme l'apôtre Paul (Rom.11 : 29). Quel bonheur ! Quelle certitude aurions-nous de l'accomplissement des promesses de Dieu à notre égard, s'Il rétractait ses promesses inconditionnelles envers Israël ?
            Devrions-nous douter de l'immutabilité de Dieu quant à ses engagements ? Non, les promesses de Dieu données à Abraham, Isaac et Jacob s'accompliront certainement ! Israël possédera le pays pour l'éternité, et tel qu'il a été délimité : du Nil jusqu'à l'Euphrate (Genèse 15).

 
Les prophéties

            Des centaines de passages de la Bible confirment prophétiquement cette dernière déclaration. Malheureusement, pris dans l'un ou l'autre des systèmes théologiques, on leur a souvent enlevé leur portée réelle. On a tenté de les appliquer au retour de la captivité babylonienne, ou même à la première venue du Seigneur Jésus sur la terre.
            C'est pourquoi nous allons nous pencher de plus près sur certains passages, qui montrent à l'évidence qu'il ne peut en être ainsi. Mais pour cela, il nous faut tenir compte des points suivants :
                    - Quand il est question du retour de Juda (les deux tribus) et d'Israël ou d'Ephraïm (les dix tribus), et s'agit nécessairement (abstraction faite du retour partiel de Juda déjà réalisé) d'un événement futur, puisque les dix tribus ne sont aujourd'hui toujours pas revenues de la captivité où les avait emmenées Shalmanéser (2 Rois 17). Le retour de Babylone n'a concerné qu'un petit résidu des deux tribus.
                    - Les passages qui affirment que le peuple sera non seulement rétabli, mais également régénéré, ne peuvent en aucune manière s'appliquer au retour de l'exil babylonien. A ce moment-là, le peuple n'était pas encore régénéré.
                    - Il en est de même des versets qui nous parlent des victoires décisives remportées par Israël et de la captivité babylonienne ; le peuple s'est trouvé en tout temps (jusqu'en 1948) sous la domination de peuples étrangers.
                    - Toutes les déclarations selon lesquelles le peuple ne tombera plus dans le péché et n'abandonnera plus Dieu se rapportent nécessairement à un temps futur. N'est-ce pas justement après le retour de Babylone qu'Israël s'est rendu coupable du plus grand des péchés en rejetant et en mettant à mort le Messie ?
                    - Lorsque la délivrance d'Israël est mise en relation avec la venue du Seigneur, il ne peut s'agir que de son retour. Lors de sa première venue, le peuple comme tel n'a pas été libéré. Au contraire, il a été déporté peu de temps après par les Romains.
                    - La promesse qu'Israël demeurera pour toujours dans le pays ne peut concerner que l'avenir. Personne n'ignore que ce peuple n'a pas habité son pays pendant les 1900 dernières années - du moins jusqu'en 1948.
                    - Les prophéties données par les prophètes après le retour de Babylone ne peuvent en aucune façon se rapporter à ce retour.

            Si nous appliquons ces différents points aux passages mentionnés ci-après, aucun doute ne peut encore subsister quant au caractère futur des événements qu'ils décrivent, ni donc quant au fait qu'Israël - exception faite, bien entendu, du retour partiel des deux tribus qui a déjà eu lieu - doit encore réintégrer la Palestine.
            Les passages auxquels nous pensons sont les suivants : Esaïe 11 ; 14 : 1, 2 ; 18 ; Jérémie 3 : 17, 18 ; 31 : 27-40 ; 33 : 14-16 ; Ezéchiel 34 : 13, 14 et 23-31 ; 36 : 6-12 et 22-38 ; 37, particulièrement à partir du v. 21 ; 38 : 8, 11, 16 ; 39 : 25-29 ; Osée 3 : 4, 5 ; Joël 3 : 1, 2 et 16-21 ; Amos 9 : 14, 15 ; Michée 4 : 1-8 ; Sophonie 3 : 12-20 ; Zacharie 9 : 9-13 ; 10 : 6-12 ; 12 : 9-14 ; 14.
            Prenons par exemple Esaïe 11. Tous s'accordent à reconnaître qu'il est question dans ce chapitre du Messie. Juifs et chrétiens sont unanimes là-dessus.
            Peut-on cependant appliquer les versets 4 et suivants au temps où nous vivons ? 2 Thessaloniciens 2 : 8 nous montre bien que tout cela est encore à venir. Qui oserait prétendre qu'aujourd'hui la terre est remplie de la connaissance de l'Eternel ? « En ce jour-là » en effet, le Seigneur rassemblera le résidu de son peuple, les exilés d'Israël et les dispersés de Juda, des quatre bouts de la terre. D'autres événements importants sont également énumérés, qui ne sont pas davantage réalisés jusqu'à présent.
            En Jérémie 3 : 17, 18, nous voyons le trône de l'Eternel établi à Jérusalem et toutes les nations rassemblées autour de Lui. Les dix tribus se trouvent également dans le pays avec les deux tribus. Un tel passage ne peut concerner qu'un temps à venir, puisque aucune de ces trois choses ne s'est réalisée depuis que Jérémie les a annoncées.
            Zacharie 9 : 9 se trouve cité aussi bien en Matthieu 21 qu'en Jean 12, mais chaque fois les mots « il est juste et ayant le salut » sont omis. En effet, le Seigneur n'était pas venu comme Sauveur de Jérusalem et de la fille de Sion. Un jour pourtant, Il établira sa domination « d'une mer à l'autre, et depuis le fleuve jusqu'aux bouts de la terre » (Zach. 9 : 10). Sion verra ses prisonniers délivrés à cause du sang de l'alliance (v. 11), et ses ennemis détruits.
            En Zacharie 14 : 3 et 4, nous voyons le Seigneur se tenir sur la montagne des Oliviers pour combattre ses ennemis. En ce jour-là, l'Eternel sera Roi sur toute la terre. « Et on y habitera, et il n'y aura plus d'anathème ; et Jérusalem habitera en sécurité » (Zach. 14 : 11).
            Tous les passages mentionnés ici, parmi des dizaines d'autres, confirment que Dieu accomplira ses promesses envers Abraham, Isaac et Jacob. Israël habitera le pays et y jouira des bénédictions de l'Éternel.

 

                                                                                 H.L. Heijkoop